Contenu - LA DIPLOMATIQUE D'ABIDJAN
LDA Journaliste

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L’actualité internationale et africaine est profondément marquée par plusieurs situations de conflits. Les conséquences humanitaires qu’elles engendrent met l’application effective des règles et principes du droit international humanitaire (DIH) au cœur des préoccupations de la communauté des États.

Les règles du DIH cherchent, pour des raisons humanitaires, à limiter les effets des conflits armées. Elles protègent les personnes qui ne participent pas ou plus aux combats et restreint les moyens et méthodes de guerre. Il faut cependant reconnaître qu’à ce jour, le DIH reste encore mal et difficilement mis en œuvre.

C’est dans ce cadre que le CICR a organisé un atelier de réflexion et d’échanges avec les membres du corps diplomatique de Côte d’Ivoire ce jeudi 27 Avril 2023 à la salle des Banquets du Ministère d’Etat, ministère des Affaires Étrangères, de l’intégration africaine et de la diaspora, sous le thème : « Les défis humanitaires contemporains et le rôle des diplomates dans la mise en œuvre du DIH ». Le comité international de la Croix-Rouge (CICR), en sa qualité de gardien du DIH qui a pour mission d’accompagner les États dans leurs efforts de mise en œuvre, notamment en tenant à disposition, un service consultatif susceptible de fournir l’appui technique dont ils auraient besoin.

Pour Pélagie Manzan Dékou, représentante CICR : «  L’objectif est de sensibiliser les diplomates à la connaissance des règles et principes du droit international humanitaire et sur leur rôle dans la mise en œuvre nationale du DIH, susciter une implication des diplomates sur tous les projets de textes relatifs à la promotion et la protection du DIH, échanger sur les défis humanitaires contemporains », a-telle expliqué.

Ce sont au total 88 participants qui ont pris part à cet atelier dont 30 en présentiel et 58 diplomates en poste dans les Ambassades, certains membres pertinents du personnel du ministère, Consulats et missions permanentes de la Côte d’Ivoire dans le monde.

Notons que depuis son installation en Côte d’Ivoire, la délégation régionale du CICR à Abidjan (DR-ABI) entretient des rapports étroits avec le MAE. Plusieurs départements de la DR-ABI interagissent régulièrement avec différents services du MAE.

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Tous les ans, les amateurs de ballon rond ont droit à différents types de compétitions. La Coupe d’Afrique des Nations TotalEnergies ou CAN en fait partie. Orchestrée par la Confédération africaine de football ou CAF tous les deux ans, elle oppose les meilleures équipes nationales masculines du continent africain. La prochaine édition de cette rencontre internationale, qui aurait dû se dérouler en juin et en juillet 2023 en Côte d’Ivoire, se tiendra finalement en janvier et février 2024. Zoom sur les principales informations concernant cette CAN 2023.

Les raisons du report de la CAN 2023

Comme l’a déclaré Patrice Motsepe, président de la CAF, la CAN TotalEnergies 2023 aura donc lieu en janvier et février 2024. Au départ, les matchs de cette compétition auraient dû être organisés entre le 23 juin et le 23 juillet 2023, dans cinq localités de la Côte d’Ivoire, à savoir Yamoussoukro, Abidjan, San-Pedro, Bouaké et Korhogo.

Au cours du mois de juin 2022, le pays a été frappé par d’importantes inondations engendrées par des pluies torrentielles. Celles-ci ont causé cinq décès à Abidjan. Haute saison des pluies dans cette région soumise à un climat tropical, juin est le mois durant lequel il pleut le plus.

Cette décision ne relève pas du hasard. Ce n’est pas comme s’il fallait jouer à la roulette en ligne et choisir un chiffre de manière aléatoire. En réalité, le choix de la date de cette compétition tient compte de nombreux paramètres, et la météo compte parmi ceux-ci. Chaque année, la saison pluvieuse ivoirienne entraîne des pertes humaines. Pour éviter des problèmes pendant la compétition, la période de janvier à février 2024 a été sélectionnée.

Les dates de la CAN 2023 sont donc officielles

Ça y est, la CAF a annoncé les dates officielles de la 34ème édition de la CAN. Pour la seconde fois dans l’histoire de la Coupe d’Afrique, la Côte d’Ivoire sera l’hôte de l’événement. Ainsi, la compétition débutera le 13 janvier pour s’achever le 11 février 2024. Elle comptera 24 équipes qui se disputeront le titre. Le stade Alassane Ouattara d’Ebimpe situé à Abidjan accueillera le match d’ouverture.

En tout, six stades recevront les différentes rencontres de la CAN. Pour information, lors du précédent volet de la Coupe d’Afrique, la compétition s’est déroulée au Cameroun. Les Comores y ont pris part pour la toute première fois. L’équipe a réalisé d’excellentes performances et est parvenue à se hisser aux huitièmes de finale.

Qu’en est-il des éliminatoires pour cette 34ème édition de la CAN ?

Quatre journées d’élimination se sont écoulées et quelques nations ont déjà obtenu leur billet pour la participation à la CAN TotalEnergies 2023. Puisque l’équipe marocaine a fini en demi-finale de la Coupe du Monde au Qatar, elle se qualifie officiellement à la CAN 2023, sans passer par les phases éliminatoires.

De son côté, l’équipe du Sénégal a elle aussi sa place pour cette rencontre en 2024. Championne d’Afrique en titre, l’équipe a écrasé celle du Mozambique pendant la 3ème journée des qualifications, avec un score de 5 à 1. Il en est de même pour la Tunisie qui gagne sa qualification pour la CAN 2023, lorsqu’elle s’est imposée face à la Libye.

Parmi les autres équipes qualifiées, l’on peut en outre citer le Burkina Faso, qui a fait un match nul face à l’équipe togolaise. L’Algérie, la Côte d’Ivoire, l’Afrique du Sud figurent également parmi les équipes ayant obtenu le droit de prendre part à la CAN 2023.

Autre point à souligner : Veron Mosengo-Omba, le secrétaire général de la CAF a assuré que l’ultime tirage au sort pour le déroulement des matchs de la CAN 2023 sera effectué durant le mois de septembre 2023. La date exacte, ainsi que le lieu, sera communiquée d’ici quelque temps.

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La ville de Beijing abritera le 24 mai prochain, un sommet mondial sur le commerce et l’investissement, a annoncé mercredi 27 avril 2023 le Conseil chinois de promotion du commerce international (CCPIT).

Le conclave vise à promouvoir un dialogue de haut niveau parmi les communautés d’affaires mondiales sur les moyens d’encourager la croissance de l’économie mondiale, a indiqué Wang Linjie, porte-parole du CCPIT.

Des dirigeants étrangers, des responsables d’organisations et d’institutions économiques et financières internationales et des représentants de multinationales ainsi que des chercheurs devront prendre part au sommet.

Plusieurs forums se tiendront en marge du sommet sur un large éventail de questions dont le développement vert et l’économie numérique.

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La Chine est en train de construire 24 centrales nucléaires, pour une capacité installée totale d’environ 26,81 millions de kilowatts (kW), classant ainsi le pays au premier rang mondial, selon un rapport de l’industrie.

Depuis 2022, la Chine a approuvé 10 nouvelles unités nucléaires, a mis en service 3 nouvelles unités commerciales, et a commencé la construction de 6 nouvelles unités, indique le « Rapport sur le développement de l’énergie nucléaire en Chine 2023 » publié par l’Association chinoise de l’énergie nucléaire (CNEA).

La Chine dispose désormais de 54 centrales nucléaires commerciales pour une capacité installée totale de 56,82 millions de kW, se classant au troisième rang mondial, souligne le rapport, qui ajoute que les centrales nucléaires chinoises ont maintenu un fonctionnement sûr et stable pendant longtemps et que la construction des nouvelles unités progresse de manière régulière.

En 2022, les centrales nucléaires chinoises ont produit 417,78 milliards de kilowattheures (kWh) d’électricité, en hausse de 2,5% en glissement annuel, représentant environ 4,7% de la production totale d’électricité du pays.

La production d’énergie nucléaire en Chine se classe au deuxième rang mondial, révèle le rapport.

Par rapport aux centrales électriques au charbon, la production d’énergie nucléaire de la Chine en 2022 a représenté une réduction de la combustion de près de 120 millions de tonnes de charbon standard, et une réduction des émissions de dioxyde de carbone de près de 310 millions de tonnes, note le document.

Les performances de sécurité de l’énergie nucléaire chinoise sont également à un niveau avancé à l’échelle mondiale, selon le rapport.

L’année dernière, 37 unités en Chine ont obtenu des notes parfaites dans l’indice global de l’Association mondiale des exploitants nucléaires (WANO), représentant 50% des unités ayant reçu une note parfaite dans le monde, a fait savoir Zhang Tingke, secrétaire général de la CNEA.

Le rapport montre également que la capacité d’innovation indépendante de la Chine dans le domaine de l’énergie nucléaire a été considérablement renforcée.

Les travaux de construction de la première centrale nucléaire ont commencé le 22 mars au comté de Sanmen, dans la province du Zhejiang (Est). La production annuelle d’électricité de l’unité Sanmen n°4 devrait atteindre 10 milliards de kWh.

NG

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La production du champ de pétrole Baleine en Côte d’Ivoire est imminente. Ce champ devrait produire plus de 2 milliards de barils de pétrole brut et plus de 2400 à 3300 milliards de pieds cubes de gaz naturel en deux phases. Le consortium ENI, une société multinationale italienne d’exploitation de pétrole et de gaz, et Petroci, la compagnie pétrolière nationale ivoirienne, exploitent et gèrent conjointement le champ pour l’exploration, le développement et la production d’hydrocarbures dans la région.

La première phase, prévue pour commencer en 2023, représentera 15 % de la production totale du champ, tandis que la seconde phase devrait durer 30 ans.

Des forages récents dans Baleine E1X ont révélé des réserves encore plus importantes de pétrole et de gaz dans le bloc adjacent, portant les quantités estimées totales à environ 2,5 milliards de barils de pétrole et 3 300 milliards de pieds cubes de gaz, dépassant les projections antérieures de 25 %.

Selon les autorités ivoiriennes, un navire FPSO nommé Baleine a quitté Dubaï le 6 avril à destination de la Côte d’Ivoire pour commencer la production, dix-huit mois après la découverte commerciale du champ Baleine. Le navire a une capacité de traitement de 15 000 barils/jour de pétrole brut, une capacité de stockage de 650 000 barils, une capacité de déchargement de 520 000 barils, un traitement de l’eau produite de 7 600 barils/jour et un tirant d’eau de 5,5 mètres.

Le 6 avril à Dubaï, le ministre des Mines, du Pétrole et de l’Énergie de la Côte d’Ivoire, Mamadou Sangafowa Coulibaly, a souligné les progrès rapides du projet Baleine qui ont nécessité des investissements importants dans le pays, notamment le forage de trois puits de production dans le champ qui sont presque achevés.

De plus, une pipeline de transport d’hydrocarbures de 80 km a été installée, et le FPSO a été rénové pour répondre aux exigences opérationnelles. Sangafowa Coulibaly a encouragé les principaux acteurs de l’industrie à explorer le vaste potentiel du bassin sédimentaire de la Côte d’Ivoire, affirmant qu’il existe de nombreuses autres “Baleines” à découvrir dans le pays. La prochaine conférence MSGBC 2023 , qui réunit les acteurs clés du secteur pétrolier et gazier, offre une occasion de poursuivre l’exploration et l’investissement dans le paysage énergétique florissant de la Côte d’Ivoire.

Historiquement, la Côte d’Ivoire a maintenu un niveau relativement modéré de production d’hydrocarbures, avec une moyenne d’environ 30 000 barils par jour. Cependant, avec la phase d’exploitation imminente du champ Baleine, la production de pétrole brut du pays devrait augmenter de 50% à court terme, annonçant un changement transformateur.

De plus, la Côte d’Ivoire est susceptible de bénéficier du gaz naturel associé, qui peut être utilisé pour alimenter ses centrales électriques, renforçant ainsi la sécurité et la durabilité énergétiques du pays. Ces développements considérables ont également le potentiel de favoriser la collaboration régionale, car des projets offshore similaires sont en cours dans le bassin MSGBC, notamment en Mauritanie et au Sénégal. Le prochain événement annuel de l’industrie de l’énergie MSGBC Oil, Gas, and Power organisé par Energy Capital & Power - à Nouakchott, en Mauritanie, qui se tiendra les 21 et 22 novembre, présente une opportunité sans précédent pour les producteurs, les fournisseurs locaux et les acheteurs de se réunir, d’échanger et de créer des partenariats significatifs dans le paysage dynamique de la région.

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Le Président de la République, Chef de l’Etat, SEM Mohamed Bazoum, a reçu le mercredi 26 avril 2023, une délégation officielle du Bénin conduite par le Ministre d'Etat, chargé du Développement et de la Coordination de l’Action Gouvernementale, M. Abdoulaye Bio Tchané.

La délégation a remis au Président Mohamed Bazoum un message du Président béninois, SEM Patrice Talon, portant sur la coopération entre le Niger et le Bénin, a indiqué M. Bio Tchané à leur sortie d’audience. Il fait suite « aux échanges très profonds sur la coopération entre les deux pays », tenus lors de la visite effectuée au Bénin par le Président de le République du Niger il y a quelques semaines, a-t-il rappelé.

Dans ce cadre, des décisions ont été prises et la mise en œuvre concrète des accords entre les deux pays a commencé sur la coopération portuaire et le transit des marchandises, a-t-il ajouté. « Nous sommes venus rendre compte de tout cela au Président Mohamed Bazoum », a-t-il conclu.  

Outre M. Bio Tchané, la délégation béninoise comprend le Ministre d'Etat, chargé de l'Economie et des Finances, M. Romuald Wadagni, et celui des Affaires Etrangères, M. Aurélien Agbénonci.

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En cohérence avec la mise en œuvre de sa politique publique dénommée Programme Jeunesse du Gouvernement (PJ Gouv), d’un coût global de 1 118 milliards de FCFA et qui s’étend sur la période 2023-2025, l’Etat de Côte d’Ivoire a décidé de mobiliser des opportunités de formation, de favoriser l’insertion professionnelle des jeunes et de promouvoir l’entrepreneuriat des jeunes. A terme, il permettra d’offrir près de 1 500 000 opportunités d’emplois aux jeunes.

Pour y parvenir, le gouvernement a procédé, en avril 2023, au lancement d’un programme d’un montant global de 513 millions de FCFA visant à accompagner 820 jeunes de la région du Sud Comoé à l’auto-emploi.

Dans la commune d’Abobo, ce sont des chèques d’un montant de 120 000 FCFA qui ont été remis à chacun des 100 jeunes ayant pris part aux Travaux à haute intensité de Main d’œuvre (THIMO) dans ladite commune.

Dans le cadre de l’entreprenariat jeune, cette opération qui intervient dans le cadre de l’année 2023, 16 000 jeunes porteurs de projets seront pris en compte. Ils bénéficieront d’un montant entre 100 000 et 1 000 000 FCFA.

Dans cet élan, le projet dénommé « Startups Boost Capital », doté d’un fonds d’un milliard de FCFA pour le financement de startup a été lancé.

Le ministère de l’Enseignement technique et de la Formation professionnelle dont l’objectif est de porter le taux de l’insertion de ses diplômés à 65% d’ici à 2025 contre 32% selon les statistiques de 2020, a décidé d’accélérer la formation des jeunes.

En soutien à cette politique, le Chef du gouvernement a procédé au lancement des travaux de construction de sept établissements de formation professionnelle, d’un coût global de 146,5 milliards de F CFA, répartis sur l’ensemble du territoire national.

Par ailleurs, le Programme Jeunesse du Gouvernement (PJ Gouv) prévoit un montant de 99 280 291 089 FCFA pour la construction et la réhabilitation d’infrastructures de jeunesse.

Pour l’année 2023, le gouvernement ivoirien a décidé de mettre en place une politique intense de formation et d’insertion professionnelle des jeunes. Plus de 2 500 bénéficiaires potentiels sont attendus.

En mars 2023, le Premier Ministre Patrick Achi a procédé à la remise à 1 000 jeunes, de leurs attestations d’apprentissage aux métiers de la mer et de l’industrie.

Ces efforts du gouvernement sont une réponse concrète du gouvernement pour résorber la question du chômage et améliorer l’employabilité des jeunes qui représentent une frange importante de la population active.

Et les initiatives novatrices qui sous-tendent la politique d’emploi-jeunes avant 2023 sont légion. Entre 2020 et 2022, le ministère de la Promotion de la jeunesse a accompagné 2 847 jeunes dans différents programmes, pour un montant total de 577 millions FCFA.

De même, les activités d’amélioration de l’employabilité et le programme d’entrepreneuriat des jeunes sur le reste du territoire national en 2022 ont touché 39 528 jeunes bénéficiaires, soit un taux de réalisation de 105,20%.

S’inscrivant dans le cadre du développement de « l’École de la Deuxième Chance », le gouvernement a initié un projet de formation par apprentissage d’environ 6 000 apprenants qui est en cours de réalisation. 2 032 jeunes ont été sélectionnés pour la première vague et 4000 autres à partir de juillet 2022.

Plus de 18 000 jeunes bénéficient, sur la période 2022-2024, de formations qualifiantes et par apprentissage dans le cadre du Projet Emploi Jeune et Développement des Compétences (PEJEDEC).

L’opération "Agir pour les jeunes" dans sa phase 2 a également permis à l’Etat de débloquer 10 milliards FCFA pour le financement de 23 000 jeunes porteurs de projets.

L’amélioration de l’accès des jeunes à des opportunités d’emplois participe au progrès et la résilience économique du pays. Le gouvernement qui en est conscient met en place des dispositifs pour une insertion socioprofessionnelle réussie des jeunes. 

km

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Le ministre des Sports, Monsieur Oswald HOMEKY et son homologue de la Fédération de Russie, Oleg MATYTSIN, ont procédé, au nom de leurs pays respectifs, à la signature d'un accord de partenariat. Il s'agit d'un Mémorandum d'entente entre les deux nations pour matérialiser la coopération et la formation dans le domaine de l'éducation sportive et physique pour le Bénin. C'était le mardi 25 avril 2023 dans la salle fleuve jaune du Ministère des affaires étrangères. 

Cette signature intervient dans le cadre de la visite de travail au Bénin du Ministre des sports de la Fédération de Russie. Le Bénin peut aussi désormais compter sur l’expertise de la Russie notamment les aspects de coopération, de formation et de partenariat entre différentes associations sportives.

Heureux de voir formaliser un partenariat, pour le ministre des Sports Russe, Monsieur Oleg MATYTSIN, « c'est un pas très important que le Bénin et la Russie viennent de faire. Nous allons coopérer dans le domaine du sport et de la culture physique. Le sport est une force qui nous unit tous. C'est aussi la volonté du Président Vladimir POUTINE qui a signé récemment un document conceptuel dans ce sens ». Il a fait savoir que le sport est une force qui unit. "Si on parle le langage de la diplomatie, le sport c'est l'ambassadeur de la paix... Nous constatons aujourd'hui qu'il y a certaines turbulences dans les relations internationales. En signant donc ce genre de Mémorandum, nous rendons le monde plus stable ". 

Monsieur Oswald HOMEKY, quant à lui, s'est dit heureux de savoir que l'action menée humblement par le gouvernement du Président Patrice TALON, suscite de l'intérêt auprès des grandes Nations comme la Russie. Il ajoutera que « la signature de ce Mémorandum est un acte fondateur qui est pour nous, le début d'une marche que nous devons faire ensemble. Le Bénin est un pays rempli de talents dans l'ensemble de nos 77 communes et aussi au sein de la diaspora... Je suis heureux que le Mémorandum que nous avons signé, comprenne principalement les aspects de coopération, en ce qui concerne la formation ainsi que la coopération entre les différentes associations sportives. C'est un bonheur de vous avoir à nos côtés ». 

L'hôte du Ministre Oswald HOMEKY a par la suite visité le stade Général Mathieu KEREKOU où il a vu le joyau, objet de toutes les convoitises dans la sous-région. C'est a Grand-Popo à 70 km de Cotonou que le ministre des Sports Russe, Oleg MATYTSIN a terminé son périple. Il a apprécié le stade de Grand-Popo qui accueille les matchs du championnat Beninois de football, stade construit dans le cadre du projet des 22 stades dans nos pays. 

Il faut rappeler que c'est une première fois qu'un ministre des Sports Russe foule le sol Beninois.

hn

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Ecobank Côte d’Ivoire, filiale de banque panafricaine Ecobank a tenu ce jour - son Assemblée Générale ordinaire annuelle en présence de M. Michel Aka-Anghui, Président du Conseil d’Administration et de M. Paul-Harry Aithnard, Directeur Général de Ecobank Côte d’Ivoire et Directeur Exécutif pour la zone UEMOA.

Ecobank Côte d’Ivoire a réuni ses actionnaires lors de son Assemblée Générale ordinaire annuelle. Après présentation du rapport de gestion du Conseil d’Administration, du rapport général et des rapports spéciaux des Commissaires aux comptes, l’Assemblée Générale Ordinaire a approuvé sans réserve lesdits rapports, les comptes et les états financiers de synthèse de Ecobank Côte d’Ivoire au titre de l’exercice clos le 31 décembre 2022.

Ainsi, il ressort de l’analyse des comptes un résultat net bénéficiaire d’un montant de quarante-quatre milliards cinq cent quatre-vingt-dix-sept millions six cent cinquante-deux mille deux cent vingt-trois (44 597 652 223) Francs. Sur ce résultat net, l’Assemblée Générale a approuvé la distribution d’un dividende de Trente-trois milliards cinq cent quatre-vingts millions huit cent soixante-six mille Francs CFA (33 580 866 000) Francs CFA, qui correspond à un montant brut de six cent dix (610) Francs, et un montant net par action de cinq cent quarante-neuf (549) Francs CFA.

Au niveau de la gouvernance, l’Assemblée Générale Ordinaire a pris acte de la démission de Monsieur Adonis Raphaël Séka, de sa fonction d’Administrateur de Ecobank Côte d’Ivoire intervenue le 29 juillet 2022. L’Assemblée Générale Ordinaire a également décidé de renouveler les mandats d’Administrateurs de Ecobank Transnational Incorporated (ETI), de Madame Alice Anthony Diomandé et de Monsieur Jean-Pierre N’Guessan, pour une durée de trois ans. Enfin, l’Assemblée Générale Ordinaire, sous réserve de l’avis favorable de la Commission Bancaire de l’UEMOA, nomme Madame Marjorie Saint Lot et Monsieur Semiyou Wilfrid Lauriano Do Rego, en qualité d’Administrateurs de Ecobank Côte d’Ivoire.

« Avec un produit net bancaire de 99 milliards, et un résultat net de 45 milliards, Ecobank est fière de présenter à ses actionnaires un résultat en constante croissance depuis plusieurs années. Ces résultats positifs s’inscrivent dans l’exécution du plan de notre institution « Réussir Ensemble » porté par l’ensemble des Ecobanquiers » explique Paul Harry Aithnard, Directeur Général de Ecobank Côte d’Ivoire et Directeur exécutif pour la région UEMOA.

« Le dividende proposé aux actionnaires représente un ratio de 75% du résultat net, ce qui reflète la volonté de rémunérer les actionnaires à un niveau adéquat tout en continuant à renforcer les fonds propres de la banque. Ce niveau de dividende est en progression de 32% par rapport à l’exercice précédent. Quant au montant net par action, il se traduit par un rendement  net de 11 % par rapport à un cours de l’action de Quatre mille neuf cent quarante-cinq (4945) Francs CFA au 31 décembre 2022 » conclu M. Michel Aka-Anghui, Président du Conseil d’Administration.

A propos de Ecobank Côte d'Ivoire :

Ecobank Côte d’Ivoire est une filiale du Groupe Ecobank, le principal groupe bancaire panafricain indépendant. Ecobank Transnational Incorporated (ETI) est la société mère du Groupe Ecobank, le premier groupe bancaire panafricain indépendant. Le Groupe Ecobank emploie plus de 13 000 collaborateurs au service d’environ 32 millions de clients dans les secteurs de la banque des particuliers, la banque commerciale et la banque de grande clientèle dans 33 pays africains. Le Groupe possède un agrément bancaire en France et dispose de bureaux de représentation à Addis Abeba en Éthiopie, à Johannesburg en Afrique du Sud, à Beijing en Chine, à Londres au Royaume-Uni et à Dubaï aux Émirats Arabes Unis. Le Groupe offre une gamme complète de produits, services et solutions bancaires notamment les comptes bancaires et de dépôt, la gestion de trésorerie, le conseil, les opérations de trading, la négociation des valeurs et la gestion de patrimoine. ETI est cotée en bourse sur plusieurs marchés boursiers, à savoir le Nigérian Stock Exchange à Lagos, le Ghana Stock Exchange à Accra et la Bourse Régionale des Valeurs Mobilières à Abidjan.

km

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L’Union Africaine de Radiodiffusion (UAR), organisation professionnelle incontournable en Afrique, devient membre de l’Association Convergence, engagée en faveur de la protection et de la valorisation des contenus audiovisuels sur le continent africain. À travers cette adhésion, l’UAR affirme ainsi son soutien à la création audiovisuelle, notamment à travers la lutte contre le piratage.

À travers la signature d’un accord, le 3 avril 2023, l’Union Africaine de Radiodiffusion (UAR) a officialisé son adhésion à l’Association Convergence. Organisation professionnelle de premier plan en Afrique qui rassemble 80 acteurs de l’audiovisuel sur le continent, l’UAR est également la seule organisation africaine membre de la World Broadcasting Union (WBU), fédération internationale de ce secteur.

Compte tenu de l’engagement de l’Union Africaine de Radiodiffusion dans le développement des médias africains et de leur rayonnement, l’Association Convergence a aussi admis cette organisation en tant que neuvième membre de son Conseil d’administration. L’UAR a en effet sollicité l’appui de l’Association Convergence dans le but de sensibiliser et de mobiliser les chaînes publiques africaines contre le piratage, lequel entraîne chaque année des pertes significatives estimées à 120 milliards de francs CFA (183 millions d’euros) pour le secteur audiovisuel.

« En rejoignant l’Association Convergence, nous souhaitons envoyer un signal fort en faveur de la production audiovisuelle et de son développement pérenne sur le continent africain. Nous partageons une ambition commune, celle de faire rayonner les médias et les contenus innovants. Et pour cela, il est nécessaire de travailler ensemble autour de solutions et d’actions destinées à valoriser le potentiel de l’audiovisuel en Afrique » déclare Grégoire Ndjaka, directeur général de l’Union Africaine de Radiodiffusion (UAR).

« Il est crucial que les professionnels du secteur de l’audiovisuel et leur travail puissent être reconnus, telle est la raison d’être de l’Association Convergence et le sens de cette nouvelle adhésion de l’Union Africaine de Radiodiffusion » rappelle Béatrice Damiba, présidente de l’Association Convergence. « Nous agissons au quotidien pour la protection et de la valorisation des contenus audiovisuels en Afrique. En accueillant le réseau UAR, nous sommes convaincus qu’ensemble, nous pourrons porter cet engagement et soutenir les acteurs de l’audiovisuel africain. » 

L’Union Africaine de Radiodiffusion contribuera de manière effective à l’ensemble des activités de l’Association Convergence, notamment en jouant un rôle actif d’information, de sensibilisation et de formation auprès de ses membres à travers le continent et des membres des associations partenaires dans le monde entier.

À propos de l’Union Africaine de radiodiffusion (UAR)

L’Union Africaine de Radiodiffusion est le plus grand organisme professionnel des médias en Afrique qui rassemble les organismes de radio et de télévision nationaux et privés des États Africains. L’UAR est chargé de développer tous les segments de l’industrie de la télévision et de la radiodiffusion en Afrique.

km

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