Contenu - LA DIPLOMATIQUE D'ABIDJAN
LDA Journaliste

LDA Journaliste

Email: Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

Le Président de la République, Alassane Ouattara, veut le meilleur pour l’ensemble des travailleurs en Côte d’Ivoire. À travers son programme de gouvernement "Une Côte d’Ivoire solidaire’’, le Chef de l’État a fait de l’amélioration de la qualité de vie de ses concitoyens, une priorité absolue.

Le gouvernement du Premier Ministre Patrick Achi traduit cet engagement politique fort par la mise en œuvre de nombreuses politiques et programmes en guise de réponses aux revendications et doléances des travailleurs. Grâce à un dialogue social constructif entre le gouvernement et les organisations syndicales, un bond qualitatif a été effectué en 2022, en ce qui concerne l’amélioration des conditions de vie et de travail aussi bien des fonctionnaires et agents de l’État que des travailleurs du secteur privé. Cette amélioration globale de la qualité de vie des populations a été possible grâce à plusieurs mesures qui redonnent de la dignité aux travailleurs.

Dans le secteur public, deux trêves sociales ont été signées sur les périodes 2017-2022 et 2022-2027. Elles ont permis, sur le plan national, d’obtenir, en une décennie, des performances économiques et sociales remarquables. Au profit de l’ensemble des fonctionnaires et agents de l’État, y compris les Forces de Défense et de Sécurité, il s’agit de l’extension et de la revalorisation de 20 000 FCFA par mois de l’indemnité contributive au logement qui était restée inchangée depuis 1993 pour les fonctionnaires civils ; de la revalorisation de la prime mensuelle de transport restée inchangée depuis 2008 ; de la revalorisation, pour la première fois depuis 1960, de l’allocation familiale qui a triplé, en passant de 2 500 à 7 500 FCFA par mois et par enfant, selon les modalités d’application habituelle. Une prime exceptionnelle de fin d’année représentant un tiers du salaire mensuel indiciaire de base du mois de décembre a été instaurée. Elle est payable en janvier de chaque année.

De même, des avancées notables ont été enregistrées dans le secteur privé. On peut citer entre autres, la deuxième revalorisation, en moins de dix ans, du Salaire minimum interprofessionnel garanti (SMIG), qui est passé de 60 000 à 75 000 FCFA, depuis le 1er janvier de l’année ; la revalorisation des Salaires minima catégoriels conventionnels de 9 à 18%, moins de huit ans après le barème de 2015, pour les différents secteurs d’activité auxquels, il faut ajouter trois nouveaux secteurs, notamment les secteurs des mines et carrières, éducation/formation/enseignement confessionnel et éduction/formation/enseignement privé laïc.

Des mesures à l’endroit des retraités ont également été prises. Ainsi, désormais, les retraités du secteur public bénéficient, depuis août 2022, d’une hausse de l’allocation familiale de 5 000 FCFA par mois et par enfant. Et ceux du secteur privé bénéficient d’une augmentation de 5% sur leurs pensions de retraite.

En plus des avantages, l’État a fait un effort exceptionnel en apportant une subvention sur le carburant et la farine boulangère pour un montant de près de 800 milliards FCFA. Il a obtenu des acteurs du secteur privé qu’ils réduisent leur marge en acceptant de plafonner les prix des produits de première nécessité afin de maintenir le pouvoir d’achat des populations.

En outre, en vue de garantir aux populations ivoiriennes, notamment aux travailleurs, l’accessibilité à une meilleure protection sociale, le gouvernement ivoirien, sous l’impulsion du Président de la République, a mis en place la Retraite Complémentaire par capitalisation dénommée La Complémentaire, le Régime social des travailleurs indépendants (RSTI) et la Couverture maladie universelle (CMU), trois nouveaux produits de sécurité sociale.

Ces instruments, mis en place dans le cadre du Programme social du gouvernement (PS-GOUV), ont récemment fait l’objet de la "Ronde du social’’, une campagne itinérante de promotion des outils de protection sociale. Ils participent à améliorer les conditions de vie des populations y compris des travailleurs.

À en croire, le ministre de l’Emploi et de la Protection sociale, Adama Kamara, qui s’exprimait à la cérémonie commémorative de la fête du travail, le 1er mai 2023 à la Primature, tous ces acquis montrent, à suffisance, l’importance accordée au dialogue social dans la recherche des solutions aux préoccupations des concitoyens.

C’est à juste titre que les centrales syndicales ont chacune exprimé, ce jour, leurs profondes reconnaissances au Chef de l’État et au Premier Ministre ainsi qu’à tout le gouvernement pour tous ces acquis sociaux qui redonnent de la dignité aux travailleurs.

km

Comment

La ministre de l’Éducation nationale et de l’Alphabétisation, Mariatou Koné, a procédé, le vendredi 05 mai à Grand-Bassam, à l’inauguration du nouveau bâtiment de la Direction des technologies et des systèmes d’information (DTSI) de son département ministériel pour une école performante et de qualité.

« L’inauguration de ce bâtiment de trois niveaux constitue une étape importante du projet d’éducation numérique. Elle marque l’installation de la direction des technologies et des systèmes d’information dans ses locaux », a souligné Mariatou Koné.

D’une capacité d’accueil de 50 agents, le nouveau siège de la DTSI est composé d’une salle de réunion, de deux salles d’information, d’une cantine et d’une salle pour accueillir les data centers de la phase II du projet.

Cette direction abritera de nombreux services dont* les services de renseignement et d’apprentissage à distance, le système de vidéo-surveillance des établissements, le système de vidéo-conférence pour un travail collaboratif renforcé...

Pour la ministre, la modernisation de l’école ivoirienne, à travers ce projet est une preuve de plus que l’éducation de la jeunesse est et demeure la priorité du gouvernement. Elle a indiqué que la digitalisation s’impose comme « un passage obligé » pour garantir la performance de l’offre éducative face aux nouveaux défis pédagogiques et de développement du pays.

Démarré en 2020, le projet éducation numérique est, selon la ministre Mariatou Koné, est l’illustration parfaite de la volonté affichée du gouvernement de poursuivre les efforts de digitalisation du système éducatif. D’ailleurs, la digitalisation figure au rang des quatre priorités qui se dégagent de l’EGENA, adopté en Conseil des ministres le 03 mai 2023.

Mariatou Koné a exhorté ses collaborateurs à utiliser les outils technologiques pour faire baisser la fraude et la tricherie aux examens.  

km

Comment

Le représentant de la Confédération générale des Entreprises de Côte d’Ivoire (CGECI), représentant le président de la CGECI, Sanga Koné et le président de l’Association professionnelle des Banques et Établissements financiers de Côte d’Ivoire APBEF-CI, Jérôme Ehui, se sont tous félicités de l’arrivée en Côte d’Ivoire du Fonds de Solidarité africain (FSA) qui entend investir 100 milliards de FCFA en 2023 au profit des entreprises ivoiriennes.

C’était le mercredi 3 mai 2023 à Abidjan-Plateau au cours d’un déjeuner d’affaires ayant pour thème ’’FSA, APEF-CI, CGECI : un partenariat naturel pour la couverture des besoins de financement des entreprises ivoiriennes ’’.

Sanga Koné représentant le président de la CGECI, Ahmed Cissé, a dit au chef de la mission résidente du FSA en Côte d’Ivoire, Aly Guindo, que " les besoins de financement émis par les PME/PMI qui sont estimés à 25%, ne sont pas couverts ".

Aly Guindo, pour sa part, a soutenu que son objectif est d’investir d’ici au 31 décembre 2023 au minimum 100 milliards de FCFA au profit des grandes, des PME et des Petites et moyennes industries (PMI). Un investissement qui pourrait générer, in fine, entre 200 et 300 milliards de FCFA, selon lui.

Saluant les performances économiques enregistrées au cours de ces dernières années par la Côte d’Ivoire, locomotive économique de la sous-région, Aly Guindo s’est engagé à contribuer à l’émergence d’un secteur privé dynamique, résilient et à fort impact.

L’ambition de FSA, selon Aly Guindo, est aussi de travailler au quotidien pour le renforcement et la facilitation de la collaboration entre les banques et les entreprises. « Les banques sont soumises à des pesanteurs opérationnelles et réglementaires, le FSA a des outils pour atténuer ces limites. Et c’est dans ce cadre que nous sommes là », a assuré Aly Guindo.

Le FSA est une institution financière spécialisée dans le développement économique et la lutte contre la pauvreté dans 16 États membres, en facilitant l’accès aux financements des projets d’investissement tant dans le secteur public, privé que dans les activités des microfinances.  

KI

Comment

Le ministre chinois des Affaires étrangères, Qin Gang, a assuré ses homologues russe et indien de la volonté de Beijing de renforcer les relations avec Moscou et Delhi, promettant que “la coordination et la coopération” ne feront que se renforcer, dans une démonstration de solidarité avec deux des plus grands voisins de la Chine.

Lors d’une rencontre avec le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov, en marge de la réunion des chefs de la diplomatie de l’Organisation de Coopération de Shanghai (OCS) qui se tient à Goa, en Inde, le ministre chinois des Affaires étrangères, a indiqué que la Chine et la Russie sont convenues de développer davantage leurs relations bilatérales et de faire de l’OCS une plate-forme de coopération mutuellement bénéfique.

Les deux parties ont également convenu de renforcer la communication et la coordination avec les autres États membres de l’OCS et de maintenir “l’unité” du bloc.

Par ailleurs, le chef de la diplomatie chinoise a indiqué, lors d’une réunion similaire avec le ministre indien des Affaires étrangères, Subrahmanyam Jaishankar, que la Chine est disposée à approfondir “la coordination et la coopération” sur les questions internationales et régionales avec l’Inde et à ramener les liens sur une voie “saine” de développement.

“Nous devons tirer des expériences et des leçons de l’histoire, appréhender les relations bilatérales d’un point de vue stratégique et dans une perspective à long terme, nous respecter mutuellement, apprendre les uns des autres et parvenir à un succès mutuel”, a déclaré M. Qin à son homologue indien.

L’OCS a été créée en 2001, principalement à l’initiative de la Chine. L’Inde et le Pakistan sont devenus membres à part entière en juin 2017, et les autres membres sont la Chine, le Kazakhstan, le Kirghizistan, la Russie, le Tadjikistan et l’Ouzbékistan.

ng

Comment

Le ministre italien des Affaires étrangères, Antonio Tajani, a annulé jeudi 4 mai 2023 sa venue à Paris après les propos du ministre français de l’Intérieur, Gérald Darmanin, qui a jugé la Première ministre Giorgia Meloni “incapable de régler les problèmes migratoires” de son pays.

“Je n’irai pas à Paris pour la rencontre prévue avec la ministre des Affaires étrangères française Catherine Colonna”, a annoncé M. Tajani sur Twitter. ” Ce n’est pas l’esprit avec lequel on doit affronter les défis européens communs”, a-t-il poursuivi.

S’exprimant jeudi sur les antennes de la radio française RMC, M. Darmanin a critiqué la politique migratoire de la cheffe du gouvernement italien de manière jugée “inacceptable” par Rome.

Le gouvernement italien a déclaré récemment un état d’urgence national de six mois pour faire face à l’afflux de migrants illégaux, ayant augmenté de plus de 55% en 2022.

Plus de 105.130 migrants en situation irrégulière sont arrivés l’année précédente en Italie par les voies maritimes méditerranéennes dans le sillage de 2.539 débarquements, enregistrant une hausse “significative” de 55,80% par rapport à 2021, selon des données de la police d’État italienne.

La pression migratoire irrégulière par voie maritime, qui a diminué régulièrement de 2017 à 2019, a inversé la tendance de 2020 à 2022, enregistrant une augmentation significative, a souligné la police d’Etat dans un rapport publié récemment, signalant que le pic d’arrivées a été enregistré en août, ou 16.816 migrants sont arrivés, avec une moyenne de 542,45 débarqués par jour.

ng

 
 

Comment

Le sommet entre le président sud-coréen, Yoon Suk Yeol, et le Premier ministre japonais, Fumio Kishida, prévu dimanche 7 mai 2023 à Séoul portera sur des sujets bilatéraux majeurs tels que la sécurité nationale et les industries de pointe.

Les parties aborderont également la coopération en matière de sciences et technologies, ainsi que les questions liées à la jeunesse et à la culture, a indiqué l’agence de presse sud-coréenne Yonhap, citant le porte-parole présidentiel, Lee Do-woon.

“Etant donné que les mesures à prendre pour les générations futures, incluant les jeunes, sont au centre des intérêts des dirigeants de tous les pays, y compris la Corée du Sud et le Japon, MM. Yoon et Kishida devraient aborder ce sujet”, a ajouté M. Lee.

Par ailleurs, le responsable a indiqué que la visite en Corée du Sud du Premier ministre japonais Kishida “marquera le redémarrage véritable de la diplomatie de la navette”.

M. Kishida avait annoncé par le biais du secrétaire général à la sécurité nationale du Japon, Takeo Akiba, avoir décidé d’effectuer cette visite de réciprocité en réponse à l’initiative du président sud-coréen Yoon de tenter d’améliorer les relations bilatérales.

En mars, les deux pays se sont engagés à rétablir leurs relations et à renforcer leur coopération dans le domaine de la sécurité après que la Corée du Sud a annoncé des plans pour indemniser les victimes du “travail forcé” sans demander de contribution au Japon.

hn

 
 

Comment

La Chine a réitéré, jeudi 4 mai 2023, sa volonté de renforcer sa politique d’ouverture notamment dans le domaine de la technologie des semi-conducteurs, sur fond d’escalade de la guerre avec les Etats-Unis au sujet de ce segment très sensible.

« La Chine est engagée en faveur d’une ouverture de haut niveau. Nous sommes prêts à œuvrer pour un développement commun avec tous les autres pays à travers le partage des opportunités », a indiqué Mme Mao Ning, porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères.

Les propos de la responsable interviennent suite à la publication de déclarations attribuées à John Neuffer, président directeur général de la Semiconductor Industry Association des États-Unis, qui a affirmé que la Chine est « notre plus grand marché » et que les sociétés américaines de semi-conducteurs « veulent accéder » au marché chinois malgré les préoccupations du gouvernement américain en matière de sécurité nationale.

La porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères a souligné que la Chine va continuer à défendre ses « droits et intérêts légitimes » dans ce domaine.

Les États-Unis et la Chine se disputent, depuis un certain temps, le leadership mondial des semi-conducteurs, composante essentielle des technologies nouvelles. En automne 2022, Washington a annoncé l’instauration de nouveaux contrôles à l’exportation visant à limiter la capacité de la Chine à acheter et fabriquer des semi-conducteurs dont le monde entier connaît actuellement une forte pénurie. La décision a provoqué la colère de Beijing.

« La Chine est le plus grand marché de semi-conducteurs au monde », a dit la porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, soulignant qu’« il n’est dans l’intérêt d’aucune partie de rompre les chaînes d’approvisionnement et perturber le marché ».

hn

Comment

La Traite des personnes est un fléau qui constitue une violation des droits de l’homme. Conscient de ce phénomène multiforme dont la manifestation porte atteinte à la dignité humaine (les victimes subissent des mauvais traitements d’ordre physique, sexuel et psychologique), le gouvernement ivoirien a mis en place un arsenal institutionnel et a pris des mesures reflétant son engagement renouvelé à lutter contre la traite des êtres humains.

La traite des êtres humains désigne généralement le processus par lequel des personnes sont placées ou maintenues en situation d’exploitation à des fins économiques. De 2019 à 2021, la Côte d’Ivoire a enregistré 1 382 victimes de traite des personnes dont 636 mineurs et 746 adultes.

Face à la gravité de ce crime, l’Etat ivoirien a mis en place un dispositif institutionnel et juridique de lutte contre la traite des personnes: une Stratégie nationale de lutte contre la Traite des personnes 2016-2020. Ce dispositif est un cadre de référence de toutes les interventions en matière de lutte contre le fléau.

Les efforts du gouvernement dans l’optique d’éradiquer le phénomène de la traite des personnes se traduit également par la création du Comité national de lutte contre la traite des personnes.

L’installation des cellules régionales de lutte contre la traite des Personnes dans les régions du Sud-Comoé, Gontougo et du Poro vient en soutien de ces actions de lutte contre le fléau.

Du point de vue juridique, l’adoption de la loi nº2016-1111 du 8 décembre 2016 vise à prévenir et à réprimer la traite et l’exploitation des personnes, notamment celles des jeunes filles.

Le pays a aussi ratifié la Convention de Palerme en 2012, avec ses protocoles additionnels.

La législation ivoirienne prévoit des sanctions pécuniaires et préventives aux individus coupables de traite de personne. La traite des personnes est sévèrement punie par la loi allant d’un emprisonnement de 10 à 20 ans et d’une amende de 5 à 20 millions de FCFA.

Pour intensifier le combat contre la traite des personnes, le pays a procédé à la formation de 99 Magistrats, 363 Officiers de la Police Judiciaire et Agents de la Police Judiciaire, ainsi que 157 Diplomates.

De même, un investissement global de 8,802 milliards de FCFA a été fait par le gouvernement pour financer la stratégie nationale de lutte contre ce phénomène, couplée à un plan d’actions quinquennal.

À cela s’ajoute, le renforcement de la coopération internationale et sous-régionale avec certains pays dans le cadre de la protection et de la prise en charge des victimes de traite.

L’objectif de toutes ces initiatives est de promouvoir une approche holistique et multisectorielle dans la lutte contre la Traite des personnes en renforçant les stratégies de prévention, de protection, de répression, de poursuite et de prise en charge des victimes témoins.

Les résultats sont encourageants. De 2019 à 2021, le nombre de plaintes enregistrées s’élève à 419 pour 115 individus poursuivis, 88 condamnés pour traite.

En 2022, ce sont 1 234 victimes qui ont été secourues et prises en charge en Côte d’Ivoire. 56 d’entre elles ont pu être mises en apprentissage quand 49 trafiquants ont été poursuivis.

Déjà en 2015,107 ressortissants ivoiriens, en transit dans des pays voisins ou victimes de traite dans leur pays d’accueil, ont été rapatriés en Côte d’Ivoire.

La prise en charge holistique de victimes de traite est estimée à 2 165 personnes en 2022.

La Côte d’Ivoire continue la lutte contre ce phénomène criminel et accentue la sensibilisation des populations sur ses conséquences. Cette lutte connaît des avancées. L’Ivoirien étant au cœur de la Côte d’Ivoire Solidaire, le gouvernement appelle à une synergie d’actions à l’effet de dénoncer les auteurs de ces actes ignobles. 

KI

Comment

En termes de trésorerie, le secteur de l’électricité a enregistré un déficit de 33,32 milliards de FCFA à fin décembre 2022 contre 57,099 milliards de FCFA en 2021, en dépit de la subvention de l’Etat et des facilités de trésorerie qui ont été mobilisées, a indiqué le porte-parole du gouvernement Amadou Coulibaly, dans le compte rendu du Conseil des ministres tenu le mercredi 03 mai 2023 à Abidjan-Plateau.

À l’en croire, la production totale de l’électricité à fin décembre 2022 s’établit à 12 139 GWh dont 76,41% de source thermique et 23,59% au titre de la production hydroélectrique. Cette production enregistre une hausse de 6,25% par rapport à son niveau à fin décembre 2021, s’est-il félicité.

Par ailleurs, a-t-il relevé, les achats de combustibles pour la production d’électricité de source thermique évalués à 354,08 milliards de francs CFA dont 309,25 milliards de FCFA pour l’achat de gaz naturel, sont en hausse de 16,27% par rapport à la même période de 2021.  

km

Comment

Le Conseil des ministres a adopté, le mercredi 03 mai 2023 à Abidjan, un décret portant approbation du contrat de partenariat entre l’État de Côte d’Ivoire et la Société Ivoirienne des Eaux et de l’Environnement pour l’exploitation et la maintenance de l’usine de production d’eau potable de la Mé.

Selon le porte-parole du gouvernement, Amadou Coulibaly, qui l’a rapporté au terme du Conseil des ministres, la réalisation de l’usine de production d’eau potable de la Mé, d’une capacité de production journalière de 240 000 m3, vise à répondre durablement à la demande croissante d’eau potable dans le District d’Abidjan, par prélèvement d’eau dans la rivière Mé. « Á pleine capacité, l’usine fournira environ 25% des besoins journaliers de consommation en eau de la ville d’Abidjan », a déclaré Amadou Coulibaly.

La convention permettra d’assurer la pérennité de l’exploitation de l’ouvrage et des équipements associés et de les maintenir dans un état de fonctionnement optimal, a-t-il conclu.  

KM

Comment