Lorem Ipsum is simply dummy text of the printing and typesetting industry. Lorem Ipsum has been....
La salle de conférence du Centre Suisse de Recherches Scientifique (CSRS) sis Adiapodoumé route de Dabou, a servi de cadre à la conférence de presse de lancement du 10ème anniversaire du Programme d'appui stratégique à la Recherche Scientifique en Côte d'Ivoire (PASRES) autour de la thématique « Dix ans d’appui à la recherche et au développement de la Côte d’Ivoire ». C’était dans la matinée du jeudi 22 février 2018 en présence de plusieurs personnalités ainsi que de nombreux journalistes.
Le secrétaire exécutif du Pasres Dr Sangaré Yaya est, dans son intervention, revenu sur la mise en place de l’organisme qu’il dirige. Il a fait savoir que le Pasres est le fruit de la coopération bilatérale entre la Suisse et la Côte d’Ivoire, en vue de soutenir la recherche scientifique au profit du développement de la Côte d’Ivoire. Aussi, depuis sa création, affirme le conférencier, 187 projets de recherche dans des domaines variés tels que les sciences exactes, les sciences médicales, juridiques et économiques, ont-ils trouvé financement. Plus de mille chercheurs pris en compte, des laboratoires et stations de recherche équipés, des bourses d’étude octroyées à de jeunes chercheurs ivoiriens. Pour toutes ces réalisations, ce dixième anniversaire est placé sous le thème évocateur « Dix ans d’appui à la recherche et au développement de la Côte d’Ivoire ».
Selon le premier responsable du Pasres, Dr Sangaré Yaya, l'’objectif général de ces festivités est de faire le bilan scientifique et organisationnel de ses activités de 2007 à ce jour et dégager des perspectives pour les années à venir. « Les perspectives pour les années avenir sont d’abord de mettre l’accent sur le financement de la recherche technologique tout en souhaitant des partenariats entre la recherche et le secteur privé, en suite d’opérationnaliser, avec l’aide du fond National pour la Science, la Technologie et l’Innovation qui viens d’être crée par le gouvernement ivoirien», a-t-il ajouté. « Nous avons dix ans. C’est-à-dire que l’enfant est arrivé à maturité. Nous nous arrêtons aujourd’hui pour fêter, non pas pour seulement faire le bilan scientifique et organisationnel de nos activités, mais pour savoir où nous allons. Nous entrons dans un nouveau cycle pour montrer ce que nous savons faire », a déclaré le professeur Biaka Ignace du comité de pilotage du PASRES.
Par ailleurs la célébration des 10 ans du Pasres sera marqué par des rencontres scientifiques internationales, des ateliers de formations dans les 6 universités publiques et quelques centres de recherche ; des journées scientifiques (bilan scientifique du PASRES par domaine scientifique) , des conférences thématiques sur des sujets d’intérêts national ,des prix à décerner ,une cérémonie de distinction.
Notons que Le PASRES est le Programme d'Appui Stratégique à la Recherche Scientifique en Côte d'Ivoire. C'est un Fonds compétitif de financement de la recherche scientifique, fruit de la coopération ivoiro-suisse. Ce programme a été mis en place le 15 Juin 2007.
HENRI KOUASSI
La Côte d’Ivoire bénéficie de l’Administration américaine une aide de plus de 13 milliards de F CFA dans le cadre de la lutte contre le paludisme.
«La Côte d’Ivoire vient de bénéficier de l’Initiative Présidentielle de Lutte contre le Paludisme d’un montant de 25 millions de dollars (plus de 13 milliards de FCFA), en vue du renforcement de la lutte contre cette affection », a signifié la ministre de la Santé et de l’Hygiène publique, Raymonde Goudou Coffie, le vendredi 2 mars 2018 au cours d’une cérémonie de lancement du financement de ladite initiative.
Pour Jeff Bryan, le représentant pays de l’Usaid, cet appui doit contribuer à l’amélioration de la productivité économique en augmentant le revenu des ménages et en assurant un meilleur avenir aux enfants.
De son côté, le directeur-coordonnateur du Programme national de lutte contre le paludisme, Dr Tanoh Mea Antoine, a indiqué que ces ressources permettront d’acquérir des intrants et médicaments au profit des populations de 34 districts sanitaires.
Daniel Coulibaly
Ethiopian Cargo &Logistics Services, l’un des plus grands opérateurs de fret d'Afrique, a été désignée compagnie aérienne internationale de fret à la croissance la plus rapide de l'année 2017, au cours de la conférence internationale Air Cargo India qui s’est tenue à Mumbai, le 21 février 2018.
La cérémonie biennale de remise des prix a eu lieu en même temps que la septième édition des expositions et conférences d'Air Cargo India qui honore les transporteurs de fret ayant accompli des progrès remarquables et des innovations de premier plan dans l'industrie du fret aérien tout en améliorant l'expérience client. Les gagnants du prestigieux prix ont été sélectionnés par les lecteurs de STAT Times grâce au système de vote en ligne.
Le directeur général du groupe Ethiopian Airlines, M. Tewolde GebreMariam, a déclaré : « Nous sommes honorés d’avoir remporté ce prestigieux prix. Ethiopian Cargo &Logistics est l'une des unités opérationnelles stratégiques à plus forte croissance du groupe Ethiopian Airlines.
En plus de sa capacité de chargement vers 110 destinations internationales, Ethiopian Cargo &Logistics dessert actuellement 44 destinations spécifiques cargo sur cinq continents en utilisant huit avions cargos spécialisés dont six gros porteurs Boeing B777-200LRF ultra-modernes (quatre autres sont commandés) et exploite des terminaux de fret de pointe à Addis-Abeba, notre hub principal, qui a une capacité d'accueil d’un million de tonnes par an. Aujourd'hui, Ethiopian Cargo &Logistics transporte environs 400 000 tonnes de marchandises par an soutenant ainsi la croissance commerciale et économique de l'Afrique.
Conformément à notre Vision 2025, nous aspirons à doubler ces chiffres à 800 000 tonnes par an et contribuer à la renaissance économique de l'Afrique en général et de l'Éthiopie en particulier. »
Ethiopian Cargo &Logistics s'efforce actuellement d'être la compagnie africaine de fret aérien la plus compétitive et la plus performante en fournissant des services fiables de messagerie, de transport de marchandises et de courriers et de services de transport de courrier axés sur le marché et la clientèle d'ici 2025.
Daniel Coulibaly
Une trentaine de personnes sont mortes dans l'attaque contre l'état-major des armées burkinabè vendredi, selon des sources sécuritaires françaises. De source diplomatique, aucun ressortissant français n'a été tué ou blessé.
La France a été visée vendredi au Burkina Faso où son ambassade à Ouagadougou a été attaquée par des hommes armés qui s'en sont également pris à l'état-major des forces armées burkinabè. Selon des sources sécuritaires interrogées par l'AFP, au moins 28 personnes ont été tuées dans l'attaque contre l'état-major des armées. Une autre source évoque un bilan d'une "trentaine" de morts dans l'attaque.
De source diplomatique, aucun ressortissant français n'a été tué ou blessé dans l'attaque contre l'ambassade. Le Parquet de Paris a annoncé l'ouverture d'une enquête pour "tentative d'assassinat terroriste". Pour le ministre de l'Information burkinabè Rémis Fulgance Dandjinou, ces attaques ont un "relent terroriste très fort", ajoutant que six assaillants ont été "neutralisés".
Des attaques armées étaient en cours ce vendredi matin dans le centre de la capitale du Burkina Faso, notamment près de l'ambassade de France et de l’état-major des armées, rapporte l’AFP.
Cinq hommes armés sont sortis d’une voiture et ont ouvert le feu sur des passants avant de se diriger vers l’ambassade, selon des témoins. D’autres témoignages ont fait état d’une explosion près de l’état-major des armées et de l’Institut français, à environ un kilomètre de là, toujours dans le centre de la capitale burkinabè.
Des échanges de tirs intenses
Un correspondant de l’AFP sur place a entendu des échanges de tirs intenses et vu un véhicule, celui des assaillants selon des témoins, en feu sur la chaussée. Des unités de gendarmerie et de l’armée se déployaient sur les lieux, a également constaté ce correspondant.
Des journalistes sur place ont tweeté des photos montrant un panache de fumée en plein centre de Ouagadougou.
Le 18 mars prochain, les Russes sont appelés aux urnes pour désigner leur président. Vladimir Poutine est en lice pour un quatrième mandat. Mais la bataille semble être gagnée d’avance, car l'actuel locataire du Kremlin n’a aucun véritable adversaire dans la course à la présidentielle.
La présidentielle russe était prévue pour décembre 2017, mais elle a été reportée à maintes reprises. Finalement, le mois de mars 2018 a été retenu pour ce scrutin, où l’actuel locataire du Kremlin est sans contexte le seul candidat de poids.
«Quand on vote pour Vladimir Poutine, on vote pour le leader de la nation, pour le chef qui ne s’abaisse pas à évoquer des thèmes aussi mesquins que la question du faible revenu de la population. Poutine, c’est celui qui relève la Russie qui était à genoux, celui qui repousse les manigances des Etats-Unis et de l’Europe, celui qui rattache la Crimée - et ça n’est d’ailleurs pas innocent si l’élection a lieu
le jour même du quatrième anniversaire du retour de la Crimée à la Russie. En réalité, il ne peut plus réaliser de nouveaux exploits, et donc l’idée est de conserver cette image de l’aigle qui vole très haut, qui a vaincu et convaincu le monde entier », explique Dmitri Orechkine, le politologue russe.
Déjà, les instituts de sondage donnent Vladimir Poutine gagnant dès le premier tour avec plus de 60 % des intentions de vote. Il est loin des autres adversaires tel que le candidat du Parti communiste, le directeur du « Sovkhoze Lénine », Pavel Groudinine (7,5%), qui arrive en deuxième position devant le nationaliste Vladimir Jirinovski (5,3%).
Le chef de l’Etat russe a nettoyé le champ politique et fait en sorte de n’avoir aucune opposition digne de ce nom.
Vladimir Poutine devient président pour la première fois, le 7 mai 2000. Après 18 années aux affaires, malgré les critiques, il reste populaire dans son pays et est régulièrement présenté comme le garant de la stabilité du pays.
Daniel Coulibaly
Le gouvernement Amadou Gon vient de subir un réamenagement technique, après le remaniement de juillet 2017. Ce jeudi 1 mars 2018, le ministre du Commerce, de l'Artisanat et de la Promotion des PME, Souleymane Diarassouba, a été nommé ministre de l’Industrie et des Mines par intérim en remplacement de Jean Claude Brou, nouveau président de la Commission de la CEDEAO. Selon un communiqué officiel de la présidence ivoirienne rendu public ce même jeudi.
La veille (mercredi), le ministre Jean Claude Brou avait participé à son dernier conseil des ministres en tant que ministre de l’Industrie et des Mines.
Après ce conseil, il a été reçu par le président ivoirien Alassane Ouattara qui lui a prodigué des conseils avant son départ pour la présidence de la Commission de la CEDEAO à Abuja (Nigeria).
Le nouveau Président de la Commission de la CEDEAO a dit être conscient des défis qui sont les siens, mais mettra tout en œuvre pour le processus d’intégration sous- régional.
Daniel Coulibaly
Sur 82.363 demandes d’affectation reçues, 20.545 nouveaux Bacheliers ont été orientés dans les Universités publiques de Côte d’Ivoire, dont 8.044 jeunes filles (32%) et 4503 Bacheliers dans l’Université virtuelle, a indiqué le ministre Bruno Nabagné Koné, porte-parole du gouvernement, après le conseil des ministres du mercredi 28 février 2018.
Quant aux Bacheliers affectés dans les Universités privés d’Enseignement supérieur, ils sont au nombre 61.818 (75%), précisant que ces orientations rentrent dans le cadre de l’année Universitaire 2017–2018.
Aussi, le Conseil a-t-il pris une ordonnance réduisant le montant du Droit de timbre applicable au Document Unique de Transport (DUT), antérieurement fixé entre 1000 et 4000 F CFA, à un montant unique de 500 F CFA, quelle que soit la charge utile des véhicules de transport ou la nature du produit transporté.
A cela s’ajoutent les nominations de l’ancien Général de l’Armée à la retraite Soumaïla Bakayoko au Conseil d’Administration de la Société Ivoirienne de Raffinage (SIR) et de Rémi Allah Kouadio, au Conseil d’Administration du Bureau National d’Etudes Techniques et de Développement (BNETD), représentants le Président Alassane Ouattara.
Daniel Coulibaly
Le roi Mohammed VI, âgé de 54 ans, a été opéré "avec succès" à la clinique Ambroise Paré de Neuilly-sur-Seine, région parisienne, le lundi 26 févier 2018. Il souffrait de problèmes cardiaques.
Selon un communiqué officiel de l'équipe médicale traitante, Mohammed VI a présenté le samedi 20 janvier 2018 un "trouble du rythme cardiaque". Et ses médecins avaient conclu à un "flutter auriculaire sur cœur sain".
C’est bien après ce diagnostic qu’il a subi l'opération "avec succès", toujours selon le communiqué de l'équipe médicale.
L’opération a permis au Roi de retrouver un rythme cardiaque normal. Il pourra ainsi "reprendre ses activités normales sans restriction aucune" à l'issue d'une période de repos "prescrite par ses médecins traitants", poursuit le même communiqué.
Rappelons qu’en septembre 2017, le monarque marocain avait subi dans un hôpital parisien une intervention chirurgicale pour une lésion bénigne à l'œil.
Daniel Coulibaly