Contenu - LA DIPLOMATIQUE D'ABIDJAN
Armand Tanoh

Armand Tanoh

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Face au défi de la libération de l’espace audiovisuel en Côte d’Ivoire, la Radiodiffusion télévision ivoirienne (RTI) dispose avant tout de son personnel, de sa capacité à tirer les meilleurs revenus et a engagé des innovations a fait savoir, samedi à Bouaké, son directeur général, Amadou Bakayoko.

Le DG de la RTI s’exprimait ainsi lors d’une conférence qu’il a prononcée à l’occasion de la rentrée académique du département des sciences du langage et de la communication de l’université Alassane Ouattara.

Le directeur général de la RTI a souligné que son entreprise a réalisé des investissements dans le numérique, depuis quelques années, et est devenu un groupe multimédia fortement présent sur Facebook, YouTube, Twitter et l’Internet.

Des révolutions ont été introduites dans la gestion telles que le management par objectif qui permettra d’évaluer chacun des 600 agents de l’entreprise en fonction des objectifs préétablis, le renforcement des capacités du personnel en vue d’adapter leurs connaissances aux évolutions technologiques, la recherche permanente des meilleurs talents dans les métiers de la production, le journalisme et la technique.

En matière de production audiovisuelle, un concours de recherche de meilleurs jeunes scénaristes a été initié depuis deux ans. Deux lauréats ont été primés et leurs projets seront financés par des partenaires extérieurs. De plus, a annoncé M. Bakayoko, la RTI exporte des séries télévisées dans six pays et finance désormais des productions ambitieuses.

A l’en croire, l’entreprise audiovisuelle à capitaux publics prévoit l’amélioration de la qualité du contenu des programmes de la télévision et la radio pour l’adapter aux besoins des populations ivoiriennes mais, en plus, elle ambitionne de conquérir de nouvelles audiences au-delà des frontières ivoiriennes.

A. T, Source : AIP, Titre LDA

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La Côte d'ivoire va renforcer la médecine de proximité dans la lutte contre la lèpre en 2016 afin de favoriser une réduction « drastique »  de la prévalence de la maladie, a annoncé, lundi, le ministre de la Santé et de l’Hygiène publique, Raymonde Goudou Coffie, livrant le message du gouvernement à l’occasion de la célébration de la journée mondiale des lépreux.

« Le Gouvernement a le devoir de réduire la prévalence de la lèpre de manière drastique. Aussi, s’engage-t-il, pour les perspectives 2016, à poursuivre les actions communautaires par le renforcement de la médecine de proximité», a notamment déclaré Mme Goudou, soulignant qu’« il est aujourd’hui possible de débarrasser notre pays de la lèpre ».

« Nous disposons d’un traitement  efficace, la polychimiotherapie (PCT), disponible dans tous les Centres de santé et offert gratuitement à tout malade de la lèpre », a justifié la ministre de la Santé avant d’exhorter tous les malades à se conformer aux directives des agents de santé en se rendant immédiatement dans le centre de santé le plus proche pour se faire consulter.

La communauté mondiale célèbre dimanche la 63ème  journée des lépreux.  Le département d’Oumé, une des plus endémiques du pays, accueillera les cérémonies officielles pour ce qui concerne la Côte d’Ivoire.

Malgré une prévalence de la maladie qui a continué de décroitre passant de 0.92 en 2001 à 0.29 en fin 2015, la Côte d’Ivoire figure encore parmi les pays les plus endémiques au monde, avec des zones de fortes endémicités, notamment la région Ouest du pays, dans les départements de Man, Zouan-Hounien et Oumé où 16 nouveaux malades ont été dépistés en 2015, signale-t-on.

Dans cette région sanitaire, le taux de prévalence est de 0.36 pour 10 000 habitants, contre 0,29 au plan national.

A. T., source: AIP

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La Banque Centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO) et la Société Islamique pour le Développement du secteur privé (SID) signent un Protocole d'Accord de coopération dans le cadre de la mise en place d'un dispositif de soutien au financement des Petites et Moyennes Entreprises / Petites et Moyennes Industries (PME/PMI) dans l’UEMOA

Monsieur Tiémoko Meyliet KONE, Gouverneur de la Banque Centrale des Etats de l'Afrique de l'Ouest (BCEAO), et Monsieur Khaled Al-ABOODI, Président-Directeur Général de  la Société Islamique pour le Développement du secteur privé (SID, ont procédé à la signature de cet accord le 18 janvier  2016 à Djeddah (Royaume d’Arabie Saoudite), annonce un communiqué.

Ce Protocole d'Accord définit le cadre de partenariat et fixe les principes directeurs ainsi que les modalités de la collaboration entre la SID et la BCEAO dans le cadre du soutien au financement des PME/PMI dans l'Union Economique et Monétaire Ouest Africaine (UEMOA).

En effet, considérant que la promotion des PME/PMI constitue un levier important de lutte contre la pauvreté et d'émergence des économies des Etats membres de l'UEMOA, le Conseil des Ministres de l'Union a adopté, lors de sa session du 29 septembre 2015, le «dispositif de soutien au financement des PME/PMI dans l'UEMOA» dont le suivi de la mise en œuvre a été confiée à la BCEAO.

A travers ce protocole d'accord, la SID apporte son appui à l'opérationnalisation du dispositif de soutien au financement des PME/PMI dans l’UEMOA par une participation directe plafonnée à 30 millions de dollars des Etats-Unis (15 milliards de FCFA) à travers des instruments conformes aux principes de la finance islamique.

Par ailleurs, en relation avec la BCEAO, la SID s'engage à porter le montant global de sa participation à 100 millions de dollars des Etats-Unis (50 milliards de FCFA), en fonction de l’intérêt suscité par le projet au niveau des investisseurs et/ou partenaires potentiels, par la mobilisation de ressources additionnelles.

Ce que la BCEAO va faire

Pour sa part, la BCEAO est chargée de la mise en œuvre du dispositif de soutien au financement des PME/PMI dans l'UEMOA. Elle apporte son appui, notamment en offrant des incitations aux établissements de crédit pour le financement des PME/PMI, en réalisant des études sur les structures d'appui et d'encadrement des PME/PMI ainsi que sur l'impact du dispositif de soutien au financement des PME/PMI dans l'UEMOA, et en promouvant des instruments complémentaires adaptés au financement des PME/PMI (crédit bureau, crédit-bail, capital-investissement, etc.).

Les deux institutions se sont accordées sur l’importance de la contribution des PME/PMI pour le développement économique en général et du secteur privé en particulier dans les pays membres de l’UEMOA. Elles ont souligné leur volonté commune d’œuvrer au renforcement de leur coopération, notamment en matière de financement des économies de la zone.

A cette occasion, M. Khaled Al Aboodi, Directeur Général de la SID a expliqué, que l'accord permettra de renforcer le soutien de la SID envers les économies régionales de l’UEMOA notamment en favorisant le transfert de connaissances et la mobilisation des ressources pour soutenir les PME/PMI.

Pour sa part, M. Tiémoko Meyliet Koné, le Gouverneur de la BCEAO, a salué ce nouveau partenariat, qui devrait contribuer à la promotion des PME/PMI dans les pays membres de l’UEMOA. Cette promotion est indispensable à la transformation économique de la zone. Il est également attendu de ce partenariat le renforcement de la croissance économique et la création d’emplois, notamment au profit des jeunes.

Armand Tanoh

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Par FOUSSENI N’GUESSAN*

« (…)Ellen Johnson-Sirleaf et moi, nous nous sommes concertés, et nous avons dit non, nous n’avons pas besoin de cela », aurait laissé entendre Alassane Ouattara, le président ivoirien, en réaction pleine d’à-propos, à une adresse faite, le 18 janvier 2016, à Guiglo, en terre ivoirienne, par un  représentant du conseil des chefs traditionnels et coutumiers libériens appelant à une révision des lois libérienne et ivoirienne pour leur permettre un troisième mandat aux présidents libérien et ivoirien.

Le chef de l’Etat ivoirien vient-il de clôturer le débat ? Tout porte à le croire, si l’on s’en tient au contenu sibyllin de ces propos, sorte de réponse à la généreuse suggestion-proposition de l’ancien ministre ivoirien de la Fonction Publique et de la Réforme Administrative, Dr Ibrahim BACONGO Cissé, sur l’abrogation de la limitation du mandat présidentiel, dans le cadre du projet de révision constitutionnelle en vue par le Gouvernement ivoirien.

Sur la question, trois écoles ou doxas, fondamentalement, s’opposent, et se sont, depuis ces 30 dernières années, affrontées ; l’une allègue des dérives ou autres attitudes corruptibles que la longue présence aux affaires fait engendrer, avec les risques de tribulations ou de totalitarisme possibles ; la deuxième proclamant l’idéal démocratique, par la liberté à accorder qu’au seul peuple le pouvoir du choix ou de la sanction à l’un ou l’autre des candidats à l’élection présidentielle, et que ni la limitation du mandat, ni l’âge ne doivent tenir lieu. La troisième tire son argumentaire des effets des crises endémiques, prégnantes, sur le continent, aggravées par la menace terroriste et le crime transfrontalier qui ne favorisent pas une gouvernance aisée.

Supposons, un instant, que le chef de l’Etat ivoirien n’a pas l’expérience de la gestion d’un pays en crise, comme il a eu à le faire, entre 1989-1993, lorsqu’il fut Premier ministre, après avoir conduit le plan de restructuration et de relance de l’économie du pays, à la tête d’un comité Interministériel ? Sans faire des gloses inutiles, l’on peut imaginer que le sort aurait pu être autre chose, surtout lorsque l’on sait à quelle aventure le pays fut exposé dans un passé récent. A

Ailleurs sur le continent, le projet a rencontré des fortunes diverses. Si au Rwanda de Paul Kagame et au Congo-Brazzaville de Sassou-NGuesso, la pilule a plus ou moins bien été ingurgitée, cette tentative, au Burkina Faso voisin, ne fut pas heureuse, et atteste de l’intérêt du sujet. Toutefois, comparaison n’est pas raison !

Au surplus, l’initiative, osons-le dire, relève plutôt d’une certaine éthique qui, elle-même, découle des mœurs, de l’agir ou de la praxis politiques à l’usage dans un pays, du modèle des rapports à la gouvernance publique ainsi que de la mentalité dominante. C’est pourquoi, plus  que des échanges d’amabilités ou de bons procédés entre partisans et adversaires sur la question, la mesure et l’humilité devraient expurger le débat de toutes émotions.

Certes, le président Ouattara n’est pas demandeur, mais le débat ne doit-il pas avoir lieu pour autant ? Loin s’en faut, et il indique la trajectoire lui-même. A la manœuvre et, en fin stratégiste, anticipant sur le cours des événements dont il entend imprimer les notes, le très structuré président ivoirien rouvre ainsi le débat sur les perspectives d’un débat plus global sur tous les textes qui régissent la vie publique, de même sur le statut et la vie des citoyens, nécessaires à l’émergence d’un « Ivoirien nouveau ». Et c’est là que, d’un point de vue plus général, le projet garde tout son intérêt.

L’exemple d’un pays comme le Botswana de Ian Khama, fils du tout-premier président, Sir Seretse Khama (1966-1980), et au pouvoir depuis 2008, ayant succédé à Festius Mogae (1998-2008), un ancien du prestigieux FMI, est à ce point édifiant. La pratique de la gouvernance publique et politique propre à cet ancien Etat du Commonwealth, indépendant depuis 1966, est un exemple de réussite et de succès  économique et politique, eu égard aux indices de développement (PIB, développement humain,  gouvernance publique,…).

« Un Etat n’est pas un donné naturel ; il est une construction de l’histoire », selon les précis de droit constitutionnel ; c’est pourquoi, celui-ci se doit de se doter d’une Constitution qui se fonde sur son histoire propre, sa culture, son modèle de relation existentiel, sa diachronie(son évolution) et sa pratique politique. Un Etat comme la Côte d’Ivoire, riche de ses diversités humaines et socioculturelles, doit se donner une Constitution qui ne ressemble qu’à elle, et à elle seule, et qui ne doit ressembler à celle d’aucun autre Etat.

L’Ivoirien nouveau de nos rêves, de notre idéal ou de notre destin communs devra s’ingénier à tuer  le sentiment de culpabilité morbide qui a longtemps nourrit en lui le mythe de Sisyphe, la lâcheté collective, la schizophrénie et… le complexe de tribu assiégée, volontiers, distillé dans les consciences incultes et affadies. Gageons que les temps nouveaux, ceux de la citoyenneté universelle, inspirent et permettre de mettre fin aux débats ou autres controverses qui ne servent à rien. Pas même à leurs auteurs ou promoteurs !

*FOUSSENI N’GUESSAN

 Journaliste, Conseiller chargé du Développement des Rédactions à l’AIP

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Le Premier ministre Daniel Kablan Duncan va procéder lundi matin à Odienné, au lancement des travaux de réhabilitation du Lycée professionnel d’Odienné qui avait été délocalisé à Abidjan depuis la crise militaro-politique de 2002.

 

Cette réhabilitation, finanancée par la Banque islamique de developpement, coûtera quatre milliards FCFA avec une contrepartie nationale de 1,251 milliard FCFA pour 21 bâtiments existants et diverses infrastructures. Elle prend en compte l’acquisition des équipements didactiques, bureautiques et mobiliers et divers matériels et le recyclage des enseignants et du personnel d’encadrement.

 

Le même jour, le Premier ministre procédera au lancement des travaux de bitumage de la route Odienné-Gbéléban longue de 71 km et à la pose de la première pierre du pont reliant Dioulatièdougou à Djibrosso.

AIP

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Le ministère de la Communication prévoit la réalisation de  quelque projets en 2016 afin de jouer « sa partition dans l’avènement de l’émergence », a annoncé vendredi la ministre Affoussiata Bamba-Lamine, au cours de la cérémonie de présentation de vœux de nouvel an à son cabinet situé dans les tours administratives du Plateau.

 

Répondant aux doléances des organisations des professionnelles de la communication, aux membres du cabinet, aux directeurs généraux et des directeurs centraux des structures sous tutelle, la ministre de la communication  a annoncé que 2016 verra la réalisation de certains projets.

Il s’agit de la révision des lois jumelles de 2004, portant respectivement sur les régimes juridiques de la presse et de la communication audiovisuelle, de l’achèvement de la transition vers la télévision numérique de terre (TNT), de la libéralisation de l’espace télévisuel, de la couverture de l’Asie par la RTI,  de la réflexion sur l’aide publique à la presse et l’extension du SMIG au personnel des radios rurales et de proximité, conformément aux instructions données par le Chef de l’Etat.

Elle a par ailleurs annoncé le renouvellement partiel ou total des membres du Conseil national de la presse (CNP) et de la Haute autorité de la communication audiovisuel ( HACA) et de ceux des Conseils de gestion de l’Institut des sciences et techniques de la communication (ISTC) et du Fonds de soutien et de développement de la presse (FSDP).

 

« Concernant l’application effective du décret portant création de l’Ordre du mérite de la communication, je puis vous rassurer que tous ces projets sont très avancés et devraient être achevés très.

Abdoul R. Dembélé

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Les feux de brousse ont ravagé dans le département de Koun-Fao (Nord- est, région du Gontougo) 125,75 ha de culture pérenne et 39 ha de culture vivrière en ce début d’année, a alerté le directeur régional des Eaux et Forêts du Gontougo, le commandant Zouzou Mailly Joëlle.

 
A la faveur d’une campagne de sensibilisation à la lutte contre les feux de brousse, tenue vendredi à Koun-Fao, le commandant Mailly a rappelé qu’en 2015, les feux de brousse avaient détruit dans la même localité 239,75 ha de culture pérenne et 10 ha de vivriers.

 
« Ensemble, joignons nos forces et voix pour dire halte aux feux de brousse pour une région du Gontougo verdoyante, pour une Côte d’Ivoire toujours plus économique, forte et prospère », a-t-elle recommandé aux comités villageois et aux ONG de lutte contre les feux de brousse ainsi qu’aux populations de Koun-Fao.

Vigilance accrue à Madinani (Nord-Ouest)

Le chef du cantonnement des Eaux et Forêts de Madinani (Nord-ouest, région du Kabadougou), le lieutenant Coulibaly Yacouba, appelle les chefs de village et les comités de veille à une vigilance plus accrue dans la lutte contre les feux de brousse, rappelant que la présente saison est généralement favorable au phénomène.

« Nous n’avons pas encore enregistré de cas graves de feu de brousse comme dans certaines localités. Je vous exhorte encore une fois de plus à une vigilance très accrue face à la menace des feux de brousse », a engagé, vendredi, lors d’une réunion de concertation, à la sous-préfecture à Madinani, le lieutenant Coulibaly, se félicitant de l’action accomplie par les comités locaux.

Rassurant ses interlocuteurs que son équipe et lui sont à pied d’œuvre pour accroître la sensibilisation des éleveurs bouviers, le chef du cantonnement des Eaux et Forêts à Madinani prévient qu’une fois la phase de la sensibilisation passée (celle-ci ayant pris fin en décembre), sera mise en mouvement la  phase de la répression, et quiconque osera se livrer à cette pratique devra subir la rigueur de la loi.

 

Armand Tanoh, avec AIP

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Dans le but  de promouvoir le tourisme durable en Afrique, le ministre ivoirien du Tourisme, Roger Kacou et le secrétaire général de l’Organisation Mondiale du Tourisme (OMT), Taleb Rifai, ont signé jeudi à Madrid, en Espagne, un accord.

 

Cette signature intervenue au cours du VII Forum Touristique sur les Investissements et les Opportunités d’Affaires en Afrique (INVESTOUR 2016), organisé en marge de la Foire Internationale du Tourisme de Madrid (FITUR 2016) qui se déroule en Espagne du 20 au 24 janvier, porte principalement sur l’organisation de la 58ème réunion de la Commission de l’OMT pour l’Afrique (CAF) prévue à Abidjan, du 19 au 21 avril prochain.

 

A cette rencontre seront présents les ministres africains en charge du Tourisme, leurs homologues des autres continents ainsi que toute l’équipe dirigeante de l’OMT avec à sa tête Taleb Rifai.

 

Après la signature de l’accord par les deux personnalités, Jean Marie Somet, directeur général de Côte d’Ivoire Tourisme a donné un aperçu des potentialités infrastructurelles et touristiques de la Côte d’Ivoire, à travers une présentation fort appréciée, rapporte un communiqué de presse publié vendredi.

Abdoul R. Dembélé

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Le Chef de l’Etat échange avec le vice-président de la Conférence Consultative Politique du Peuple Chinois. Le Président de la République, Alassane Ouattara, s’est entretenu jeudi, au Palais présidentiel avec M. Wang Jiarui, vice-président de la Conférence Consultative Politique du Peuple Chinois.

 

 

Selon un communiqué de presse publié vendredi, les échanges avec M. Wang ont porté sur le renforcement de la coopération entre la Chine et la Côte d’Ivoire.

 

 

A cet égard, un projet de jumelage des villes de Beijing et d’Abidjan est envisagé. Ce jumelage permettra à la ville de Beijing, selon le Président Alassane Ouattara, d’aider la capitale économique ivoirienne à résoudre ses problèmes d’insalubrité.

Armand Tanoh

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Le rond central (carrefour du grand marché, de la cathédrale et la préfecture de police) de Bouaké rénové par la mairie, a été inauguré vendredi, après trois mois de travaux.

 

Le maire de la commune, Djibo Youssouf Nicolas, a dit avoir initié ces travaux pour donner ‘’un visage plus reluisant’’ et rendre ‘’productif’’ ce carrefour stratégique de la ville qui servira désormais de lieu de pose d’affiches publicitaires.

«Pour une municipalité comme la nôtre, engagée dans diverses reformes pour rehausser le budget communal, l’aménagement de cette esplanade tombe à point nommé», a-t-il signifié, invitant les populations à prendre soins de cette infrastructure et les annonceurs à s’en servir.

Il a promis, par ailleurs, l’inauguration très prochaine d’autres ouvrages qui ont été réalisés dans la ville.

 

Dans le décor de ce rond-point, l’on trouve des symboles témoignant de l’hospitalité et le brassage culturel de la ville deuxième grande ville du pays.

Armand Tanoh

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