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Le Rotary club Abidjan Akwaba, membre du District 9101 du Rotary club de Côte d’Ivoire, a fait don de 2000 livres ludiques et éducatifs au foyer des jeunes de la commune de Marcory.
Rangés dans la nouvelle bibliothèque flambant neuve construite par le Conseil municipal, ces ouvrages permettront, selon la présidente du club rotarien, Soumah Nina Diarra, d’améliorer les infrastructures culturelles de la mairie en mettant le savoir à portée de sa jeunesse.
Cette action fait partie des six axes stratégiques du Rotary qui sont, notamment, la prévention et le traitement des maladies, la fourniture en eau et l’assainissement, la santé de la mère et de l’enfant, l’alphabétisation et l’éducation de base.
L’adjointe au maire de Marcory, Boété Laurette, a félicité le Rotary club d’Abidjan pour son choix porté sur la lecture, une activité essentielle de développement intellectuel, mental et d’expression orale. Pour elle, accompagner la mairie, en équipant sa nouvelle bibliothèque, est une façon d’inciter la jeunesse à se familiariser avec la lecture. C’est pourquoi, elle a dit compter, avec les organisations des jeunes et les responsables d’établissements, faire une sensibilisation, afin que ce nouveau « temple du savoir » soit fréquenté et ne désemplisse pas.
Pour le responsable de la bibliothèque, Doumbia Mariam, ces livres donneront la possibilité aux enfants de trois à quinze ans de se cultiver. Par ailleurs, elle compte, avec l’appui de la mairie et d’autres partenaires, équiper l’espace et le transformer en médiathèque en y installant des ordinateurs et la connexion internet.
AIP
La président du Libéria, Ellen Johnson Sirleaf, sera la conférencière d’honneur du 6ème Forum de Tana prévu du 22 au 23 avril 2017 sur le thème « La gouvernance des ressources naturelles en Afrique ».
Première femme élue chef d’Etat en Afrique, Mme Sirleaf est élue en juin 2016, présidente de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), la première femme à occuper ce poste.
Lauréate du prix Nobel de la paix de 2011, la Présidente Ellen Sirleaf, selon Michelle Ndiaye, chef du Secrétariat du Forum Tana, pourra « utiliser son leadership pour mettre en exergue le rôle de l’Etat dans la gouvernance des ressources naturelles et appeler à une bonne participation des femmes à tous les débats qui mettent l’accent sur l’utilisation des ressources naturelles en Afrique ».
Le Forum de haut niveau de Tana, organisé chaque année dans la ville de Bahir Dar, dans le nord de l’Ethiopie, est un rassemblement informel de chefs d’Etat et de gouvernement, de dirigeants d’organisations régionales, de la société civile, du secteur privé et d’éminents universitaires et praticiens.
Cette initiative mise en place en 2009 par l’Institut d’études sur la paix et la sécurité (IPSS, Université d’Addis-Abeba), est une réponse à la Déclaration de Tripoli appelant à des « solutions purement africaines » et qualifie la paix et la sécurité de « défi intellectuel » collectif, rappelle-t-on.
AIP
Le ministre auprès du président de la République, chargé de la Défense, Alain Donwahi a apporté un démenti à l’arrestation de l’ancien Commandant Supérieur de la Gendarmerie Nationale, le Général de Corps d’Armée Gervais Kouakou Kouassi, rapporte l'AIP.
Dans un communiqué transmis mercredi à l’AIP, M. Donwahi apporte un « démenti formel » aux allégations publiées lundi 23 janvier dans le quotidien « Le Temps » qui stipulait l’arrestation de l’ex Commandant supérieur de la Gendarmerie, pour un présumé détournement de fonds d’un montant de 250 milliards de francs CFA.
Le ministre en charge de la défense invite les médias à plus de professionnalisme afin d’éviter de mettre à mal la cohésion sociale, conclut le document.
Les soldats invités à la discipline
Le chef d’état-major général des Forces armées, le général de division Touré Sékou, a exhorté les soldats à l’apaisement et à la discipline, lors des rencontres initiées respectivement aux places d’armes du camp Gallieni du Plateau, au GATL de Port Bouet et à l’ancien camp d’Akouédo.
« L’Armée doit au plus vite redorer son blason, les querelles intestines doivent prendre fin et laisser la place à la discipline sans laquelle l’Armée n’a plus sa raison d’être », a déclaré mardi le nouveau chef d’état-major général des FACI dans une note d’information du Bureau d’information et presse des Armées (BIPA) transmise à l’AIP.
Il a, à l’occasion de cette visite échangé aussi bien avec les militaires ayant bénéficié des primes qu’avec ceux n’ayant rien perçu, afin d’apaiser les uns et les autres tout en les instruisant sur la valeur d’unité qui doit prévaloir au sein des armées. « Ce qui doit nous unir est plus fort que ce qui doit nous divise », a déclaré Touré Sékou.
Le chef d’état-major a annoncé que des mesures ont été prises pour la régularisation des grades. Concernant le reversement de primes, a-t-il martelé, « Le paiement des primes n’est pas de notre ressort nous avons écouté vos préoccupations et nous les transmettrons auprès des autorités plus compétentes».
Une tournée de sensibilisation à l’intérieur du pays, notamment à Korhogo, Bouaké, Daloa et San Pedro est prévue mercredi, souligne-t-on.
A T
Un projet de pôle agro-industriel dans la région du Bélier, au Centre de la Côte d'Ivoire, d’un montant total de 67 milliards de FCFA, sera financé par la Banque africaine de développement (BAD).
Le projet vise à contribuer à l’émergence d’un pôle agro-industriel dans la région du Bélier à travers une dynamisation des filières agricoles porteuses (riz, maïs, manioc, légumes, porcine et poisson) et une implication accrue du secteur privé, des jeunes et des femmes, pour assurer de la sécurité alimentaire et nutritionnelle au pays, signale-t-on.
D’un coût total de 81 milliards FCFA, dont 67 milliards à la charge de la Banque, et le reste financé par le Gouvernement et les bénéficiaires, ce projet concerne la région administrative du Bélier et le District autonome de Yamoussoukro, un site abritant environ 702.000 habitants et couvrant une superficie de 11.695 km2, avec une densité moyenne de 60 habitants/km2.
Il comportera trois composantes, à savoir restauration du capital productif, développement des chaines de valeur et gestion du projet.
Il s’agit précisément de doter la région, actuellement en déclin économique, d’infrastructures clés pour permettre le développement des activités agricoles et agro-industrielles, d’appuyer, à travers sa deuxième composante, l’ensemble des acteurs pour qu’ils puissent évoluer de manière dynamique autour des chaines de valeur, dans un environnement plus intégrateur et inclusif, et d’assurer la gestion du projet, selon le calendrier fixé, à travers des dispositifs d’exécution et de suivi performants.
Quelque 461.600 personnes (64% des habitants de la zone) dont 112.000 personnes d’une manière directe, 800 jeunes diplômés et 200 PME (dont 50 dans la transformation des produits) seront bénéficiaires de projet qui permettra d’accroitre, à terme, le taux de transformation actuel des produits agricoles de 51% à environ 85%. Il créera l’équivalent d’environ 19.000 emplois permanents et bénéficiera à environ 230.000 femmes dont 4.300 productrices, 400 jeunes filles et 25 transformatrices et commerçantes, pour une production additionnelle estimée à 465.000 T/an.
Ce projet approuvé mercredi par le Conseil d’administration de la BAD, cadre avec le Plan national de développement (PND 2016-2020), le Document de stratégie pays de la Côte d’Ivoire (2013-2017) et avec quatre priorités stratégiques de la Banque (High5 s) – Eclairer l’Afrique ; Nourrir l’Afrique; Industrialiser l’Afrique ; et Améliorer les conditions de vie des africains, note-t-on.
Pour le directeur général, Région Ouest de la BAD, Janvier Litse, « le projet ambitionne d’asseoir les conditions préalables à l’émergence d’un pôle agro-industriel au centre du pays, comme premier agropole pour transformer et moderniser l’agriculture ivoirienne ».
AIP
Un fonds spécial, d’un montant de 3275 milliards de francs CFA, a été alloué au secteur agricole togolais, selon une annonce conjointe du ministère allemand de l’Agriculture et de l’entreprise américaine de fabrication et de distribution de matériels agricoles « AGCO », à l’issue des travaux du 6ème sommet sur le financement de l’agriculture tenu, lundi, à Berlin, en Allemagne.
Ce fonds, réservé au secteur public et privé togolais, va permettre de multiplier les réformes agricoles et renforcer les différents projets déjà existants. Le Togo a été retenu parmi les pays bénéficiaires des fonds spéciaux qui s’inscrivent dans le cadre du développement agricole, signale-t-on.
Pour le chef de la délégation togolaise à ce 6e sommet sur le financement de l’agriculture , Lambert Nayanté, , ce soutien financier en faveur des jeunes agriculteurs vient appuyer les différents efforts déployés par l’Etat togolais dans le secteur agricole. Dans ce sens , un partenaire de ce projet de développement agricole, la banque Rabobank va offrir un chèque de près 196,5 milliards de francs CFA.
Le 6e sommet sur le financement de l’agriculture organisé par le ministère allemand de l’Agriculture et la société AGCO a vu la participation de plusieurs délégations africaines. Les échanges ont porté sur les politiques de développement du secteur agricole des pays participants.
AIP
L’ambassadeur de la République islamique d’Iran en Côte d’Ivoire, S.E.M Mansour Shakib Mehr, a indiqué que l’ancien président iranien, Hakbar Hachémi Rafsandjani laisse au peuple iranien, le refus des influences des grandes puissances et le progrès mais aussi ses appuis aux opprimés du monde notamment le peuple palestinien.
« Durant sa vie, il a rendu beaucoup de services précieux au peuple Iranien. On peut dire que le plus grand héritage de l’Ayatollah Hachémi Rafsandjani c’est le progrès de l’Iran et le refus des influences des puissances arrogantes et aussi ses appuis aux opprimés du monde notamment le peuple Palestinien », a-t-il indiqué mercredi lors d’un entretien avec l’AIP.
« La vie, les efforts, le dévouement et l’abnégation de M. Rafsandjani peuvent être un exemple pour tous les peuples particulièrement pour les peuples de l’Afrique », a-t-il souligné en citant par ailleurs l’’Université Azad Islamique, une des plus grandes universités Iraniennes qui fut selon lui, créée à l’initiative de Rafsandjani pour démontrer son attachement au progrès et à la formation dans le pays.
« Une grande disparition »
Mansour Shakib Mehr, a également indiqué que la disparition de l’ancien président iranien, Hakbar Hachemi Rafsandjani constitue « une grande perte » pour l’Iran, mais cela ne pourra pas entamer la volonté du peuple iranien d’aller de l’avant.
« Il est cependant évident que sa disparition constitue une grande perte mais cela n’affaiblira pas l’avancement de la République islamique d’Iran dans son cheminement sous la guidance de l’Ayatollah Khamenei », a-t-il indiqué.
« Bien que le rôle de grandes personnalités comme Ayatollah Hachémi Rafsandjani soit important, le système politique de la République Islamique demeure bien structuré et stable. La disparition d’une des autorités du pays ne pourra pas entamer la volonté du peuple iranien », a-t-il souligné.
Un fidèle des idéaux de l’imam Khomeiny
L’ambassadeur de la République islamique d’Iran en Côte d’Ivoire relève également que l’ancien président iranien, Akbar Hachémi Rafsandjani est toujours resté fidèle aux idéaux de l’Imam Khoméiny et ceux du grand guide de la révolution malgré son emprisonnement sept fois par le régime du shah.
« Au début de l’opposition de l’Imam Khomeiny au régime du Shah, il rejoint les rangs des activistes contre le pouvoir des Pahlavi. Durant sa lutte contre ce régime entre 1958 et 1979, il fut emprisonné sept fois pour une durée totale de 4 ans et 5 mois pour ses activités secrètes contre le régime Pahlavi. Malgré cela, il est resté fidèle aux idéaux de l’Imam Khomeiny et ceux du grand guide de la Révolution », a indiqué Mansour Shakir Mehr lors d’un entretien avec l’AIP.
Cette fidélité, a-t-il souligné, a permis à Rafsandjani après la victoire de la révolution islamique, de devenir l’un des membres du Conseil révolutionnaire, d’assurer l’intérim du Ministre de l’Intérieur, d’exercer plusieurs mandats du président du parlement iranien, d’être élu deux fois président de la république islamique d’Iran et d’être nommé président du conseil de discernement de l’Etat iranien.
AIP
Les Forces françaises en Côte d’Ivoire (FFCI) ont fait don de cinq véhicules militaires tactiques de type TRM 2000 aux Forces armées de Côte d’Ivoire, pour renforcer les capacités motrices des soldats ivoiriens, rapporte une note d’information du Bureau information et presse des armées (BIPA) transmise mercredi à l’AIP.
« La France, par la cession gratuite de ces 5 camionnettes tactiques, entend participer à la reconstruction de l’outil de défense ivoirien et soutenir son effort à la projection des forces en opération extérieure », a indiqué l’attaché de défense de France en Côte d’Ivoire, le colonel Lafargue, lors d’une cérémonie au camp français de Port-Bouët à Abidjan.
Cet appui technique de la France a été apprécié par le chef d’Etat-major général adjoint des FACI, chargé des Opérations, le général de brigade Lassina Doumbia qui a témoigné toute la reconnaissance des Forces armées ivoiriennes aux Forces françaises en Côte d’Ivoire. « Grâce à la formation de qualité que nos hommes viennent de recevoir sur l’utilisation et la maintenance de ces engins (…), j’ai la ferme conviction qu’ils sauront veiller au parfait entretien de ces véhicules et nous en prenons l’engagement en leurs noms », a-t-il déclaré.
AIP
Les activités des entreprises dites d’agrobusiness relèvent de l’« escroquerie », a informé, mercredi, le gouvernement, s’appuyant sur les conclusions des enquêtes ouvertes depuis novembre 2016 face à la prolifération de ce type de sociétés, rapporte l'AIP.
Escroquerie
« Il n’y a pas d’autres noms en français, c’est carrément une cavalerie financière qui est mise en place », a affirmé le porte-parole du gouvernement, Bruno Nabagné Koné, expliquant le mode de fonctionnement de ces entreprises tel que mis à jour par les investigations.
Les enquêtes selon M Nabagné Koné, révèlent notamment que le système mis en place consiste à utiliser les montants des nouvelles souscriptions pour payer les premiers sociétaires et ainsi de suite, contrairement à ce qu’allèguent les entreprises en question dont « quelques unes seulement (sur 28 listées) disposent à peine de terres même pas mises en valeur ».
Le gouvernement, face à la prolifération des entreprises d’agrobusiness et aux risques qu’elles laissaient planer sur le secteur financier d’une part et d’autre part sur les populations, a mis en place, le 4 novembre 2016, un groupe de travail avec pour mission de conduire une étude pour renseigner sur l’ampleur du phénomène, d’en évaluer les risques et ainsi orienter la prise de décision.
Le groupe a listé un total de « 28 sociétés» dites d’agrobusiness avec un nombre de souscripteurs estimé à « 36 699 » (résidents comme non résidents) pour un montant investi de « 66 milliards de FCFA ». Un montant de « 22,7 milliards » F CFA est disponible sur les comptes de l’ensemble des entreprises là où les promesses de retour sur investissement sont évaluées à « 660 milliards F CFA » à en croire le porte-parole du gouvernement.
« Voyez c’est très simple vous avez 66 milliards de F CFA investi par les populations. Aujourd’hui sur les comptes nous retrouvons 22,7 milliards F CFA et ces personnes promettent payer 660 milliards à leurs souscripteurs », a-t-il fait remarquer, réaffirmant la thèse de l’escroquerie.
Poursuites judiciaires
« Le gouvernement exhorte les autorités judiciaires à engager des poursuites contre les dirigeants sociaux des entreprises (d’agro-business)», a déclaré, mercredi, le porte-parole du gouvernement, Bruno Nabagné Koné, après publication des résultats des investigations du groupe de travail mis en place en novembre 2016 face à l’ampleur du phénomène, pour évaluer les risques et ainsi orienter l’Etat dans la prise de décision.
Le gouvernement, en outre, a appelé les autorités judiciaires à accélérer les procédures en cours en vue du remboursement des souscripteurs, « dans la mesure du possible » et sur la base du capital investi.
Le gouvernement fera tout pour qu’au moins une partie (des montants souscrits) soit remboursée », a promis le porte-parole du gouvernement, avant de préciser que la décision de publier les conclusions des investigations répond au besoin de « tirer la sonnette d’alarme » face à l’ampleur du phénomène.
Bruno Koné a informé, par ailleurs, que les mesures de surveillance des comptes des entreprises concernées seront étendues aux dirigeants sociaux et à leurs ayant-droits et que la sensibilisation des populations sur les risques liés à ce type d’activités va être renforcée.
« L’objectif aujourd’hui, ce n’est pas de sanctionner quelqu’un, le gouvernement travaille pour les populations. Il n’a pas d’autre objet que celui-là. Donc le gouvernement n’arrêtera jamais quelque chose qui est bien pour les populations, au contraire le gouvernement encouragera », a-t-il déclaré en réponse à une opinion tendant à faire croire que la réaction des autorités ivoiriennes face au phénomène est une cabale de riches pour empêcher le citoyen ordinaire d’accéder à la fortune.
« Il est bon, il est important que nos populations sachent que tout ce qui est trop beau, n’est pas réaliste, cache quelque chose », a conclu le ministre de la Communication, de l’Economie numérique et de la Poste, porte-parole du gouvernement.
Colère des souscripteurs
De leur côtés, des souscripteurs des entreprises d`Agro-Business ne décolèrent pas contre le gouvernement. Ces derniers ont bruyamment manifesté le mercredi 25 janvier 2017 à Abidjan, en vue d’exiger la levée de scellée sur les comptes des entreprises d’abro-business.
A T
De nouveaux chefs viennent d'être promus à la tête de deux états-majors des forces armées de Côte d'Ivoire, a appris, mercredi, l’AIP auprès de la haute hiérarchie militaire.
Le général de brigade Lassina Doumbia, ancien patron des forces spéciales, a été promu chef d’état-major adjoint des armées, et devra seconder le chef d’état-major général, le général de division Touré Sékou.
L’ancien commandant en second des forces terrestres, le général de brigade Julien Kouamé, a été promu chef d’état-major de l’armée de terre, succédant au général de brigade Gaoussou Soumahoro, muté à l’inspection générale, en remplacement pour sa part du général de brigade Detoh Letho, admis à faire valoir ses droits à la retraite, depuis le 31 décembre 2016.
L'état-major de l'armée de l'Air est désormais confié au colonel-major N’Guessan Koffi Alfred, qui succède au général de brigade, Jean-Jacques Ouégnin.
Ces changements, qui devraient s’étendre à d’autres unités, interviennent après un récent réaménagement à la tête du commandement des forces armées de Côte d'Ivoire, de la gendarmerie et de la police.
AIP
Une unité de transformation de fèves de cacao verra bientôt le jour, à Guinglo-Zagna, dans la commune de Bangolo, annoncent les autorités communales, se félicitant de ce que le projet va notamment aider à lutter contre l’exode des jeunes de la localité vers les grandes agglomérations.
D’un coût global d’environ 6,5 milliards de francs CFA, cette unité sera livrée, dans 24 mois, et elle permettra, selon ses promoteurs, de mettre fin au désœuvrement des jeunes ainsi qu’à leur exode vers les grandes villes. Elle générera à cet égard 150 emplois directs et 500 emplois indirects, à terme.
Oeuvre d’un partenariat avec des industriels italiens, cette infrastructure sera réalisée sur une parcelle de deux hectares, gracieusement offerte par les chefs de terre de Guinglo-Zagna, révèle-t-on. Le début des travaux est annoncé pour avril, et ils dureront 24 mois.
Initié par un fils de la région du nom de Michel Ouladé, cette unité, selon le maire de Bangolo, Sah Evariste, engendrera de plus d’autres projets annexes, notamment la construction d’un quartier ultra-moderne doté d’une infirmerie et d’une école, ainsi que l’électrification de plusieurs villages.
AIP