Contenu - LA DIPLOMATIQUE D'ABIDJAN
LDA Journaliste

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Cent cinquante agents du groupe franco-japonais CFAO, entreprise spécialisée dans la grande distribution , ont été décorés par le ministre de l’Emploi et de la Protection sociale, Jean-Claude Kouassi.

« Votre apport a contribué à bâtir la notoriété du groupe CFAO à le hisser au rang des entreprises qui comptent non seulement en Côte d’Ivoire, mais aussi bien au-delà de nos frontières », a déclaré M. Kouassi, jeudi lors de cette cérémonie, à l’adresse des récipiendaires, qu’il a congratulé pour « le travail bien fait ».

« Vous pouvez être fiers de vous-mêmes, à juste titre », a ajouté le ministre, qui a lui-même reçu à cette occasion une médaille à l’honneur de son père, Kouassi Koffi Félix, un homme ayant effectué toute sa carrière professionnelle au sein du groupe CFAO de 1945 à 1984.

Six agents, justifiant d’au moins 35 ans de présence dans l’entreprise, au nombre de six, ont reçu chacun la « Médaille Grand or », quand huit autres ayant accompli entre 30 et 34 ans de service ont reçu la « Médaille or ». Douze travailleurs ayant passé entre 25 à 29 ans à la CFAO se sont vu attribuer la « Médaille Vermeille », et 127 de 15 à 24 ans, la « Médaille Argent ».

Présente en Côte d’Ivoire depuis 1954, ce groupe est spécialisé dans divers domaines, notamment la grande distribution, la vente d’automobiles, de produits pharmaceutiques, la technologie.

Le DG de CFAO Motors et délégué CFAO Afrique de l’Ouest, Fabrice de Creisquer, a pour sa part exhorté les agents décorés à être des exemples pour les jeunes qui entament leur carrière au sein de l’entreprise.

Pour la porte-parole des récipiendaires, Amy Kodjo, cette distinction, au-delà de la fierté qu’elle leur procure, constitue une source de motivation dans le travail.

La CFAO, à travers ses succursales, emploie plus de 2000 salariés dans en Côte d’Ivoire.

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Des hommes de scientifiques et de la recherche africains, issus de 54 établissements repartis dans 21 pays, participent depuis ce lundi à une importante rencontre au Ghana, pour les résultats de leurs travaux, notamment dans les disciplines des sciences médicales.

Cette rencontre entre dans le cadre du projet de Renforcement de l’excellence en matière de leadership, de formation et de Science (DELTA), un programme d’un montant de 100 millions de dollars (environ 50 milliards de FCFA), destiné à créer, en Afrique, des leaders de classe mondiale dans le secteur de la recherche.

Cette initiative a été lancée en 2015 avec des engagements de financement jusqu'en 2020 par l'Académie africaine des sciences et l'Alliance pour l'accélération de l'excellence en sciences en Afrique (AESA) de l’Agence du NEPAD, avec le soutien du Wellcome Trust et de l’Agence de coopération internationale du Royaume-Uni (UK Aid).

"Nous sommes heureux d'accueillir au Ghana des chercheurs considérés comme faisant partie des plus brillants esprits de l'Afrique ; ce dénote un engagement de nos scientifiques à galvaniser les ressources pour résoudre nos défis urgents en santé ", a déclaré le Professeur Kwabena Frimpong-Boateng, Ministre de l'Environnement, de la Science, de la Technologie et de l'Innovation du Ghana.

La Côte d’Ivoire est représentée à cette rencontre d’Accra par Dr Constant Ahoua, chercheur associé au Centre suisse de recherche scientifique d’Abidjan, et bénéficiaire d’une bourse de recherche postdoctorale du programme Afrique One-ASPIRE en ethnobotanique et phytothérapie, option phytochimie.

DELTAS Africa est dédié à la formation de la future génération de leaders scientifiques sur le continent au niveau de la maîtrise, du doctorat et des niveaux postdoctoraux. Il contribue également à la construction d'infrastructures modernes pour permettre des recherches aux normes internationales, en vue de répondre aux priorités en matière de santé et de recherche en Afrique.

AT

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Un atelier régional réuni depuis lundi au centre régional pour l’éducation à la culture de la paix (CRECP) de Yamoussoukro, des femmes leaders de huit pays africains en vue de la promotion de la culture de la paix sur le continent.

Le stage régional de formation initié par l’organisation islamique pour l’éducation les sciences et la culture (ISESCO), en collaboration avec la fondation Félix Houphouët-Boigny pour la recherche de la paix a pour thème « l’engagement des femmes leaders dans la promotion de la culture de la paix en Afrique ».

Il vise à renforcer la capacité des femmes leaders, de les outiller en matière de d’éducation, de cohésion sociale, de négociation citoyenne, de dialogue social, de plaidoyer et stratégies de mobilisation communautaire pour accroître la participation des femmes dans la promotion de la culture de paix. Il s’agira également de favoriser une réflexion sur la nécessité d’intégrer la dimension du genre dans l’ensemble des analyses politiques et programmes conçus pour régler les conflits, et les prises de décisions

Selon la directrice du centre régional du CRECP, et du département de la recherche de la paix à la fondation FHB, Dr Diénéba Doumbia les femmes sont marginalisées dans les initiatives de paix, et leur capacité à promouvoir une culture de paix est largement sous-estimée. Elles sont les plus exposées et les premières victimes des violences pendant les conflits déclenchées par les hommes.

« L’exclusion et la discrimination des femmes dans le processus de prise de décision, à l’accès aux ressources et aux revenus, sont considérées comme des facteurs expliquant la persistance des violences dans notre société », a fait remarquer Dr Diénéba Doumbia.

Elle a rappelé que l’histoire de la paix développée vers la fin du XIXè, siècle confirme que l’éducation à la paix, va de pair avec le genre qui est d’une importance capitale pour parvenir à la paix. « Il faut donc une prise en compte de la question du genre, et de l’éducation de la culture de la paix comme une thématique nouvelle et prometteuse, permettant à toutes et à tous de jouer véritablement le rôle de médiateurs, d’éducateurs, d’acteurs de paix et de réconciliateurs », a préconisé Dr Doumbia.

Pour la représente de l’ISESCO, Mariama N’Diaye Niang, face à la montée de la violence de l’extrémisme, du terrorisme, la radicalisation et la criminalité grandissante à travers le monde et la sous-région ouest africaine,« l’espoir de retrouver la paix, doit être mis sur femme « socle de la famille et de la société dans nos traditions », en lui redonnant la place qui est la sienne, et tous les moyens pour qu’elle puisse jouer son rôle d’actrice et d’éducatrice d’enfants, pour en faire des citoyens de paix.
AIP

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Le jubilé d’argent du diocèse de Yamoussoukro a pris fin dimanche par une messe dite à la basilique Notre dame de la paix en présence du nonce apostolique en Côte d’Ivoire, Mgr Joseph Spiteri.

La messe de clôture de l’année jubilaire du diocèse de Yamoussoukro, démarrée en novembre 2016, a été marquée par la présence du clergé ivoirien, des fidèles du diocèse de Yamoussoukro et des représentants des confessions et églises sœurs venus témoigner « le beau dialogue inter religieux et d’esprit œcuménique ».

L’histoire du diocèse de Yamoussoukro commence en 1930, avec les évêques de la société des missions africaines qui, après la mission de Bouaké, demandent au père Schmidt d’aller fonder la mission de Dimbokro. Le premier mai 1931, Dimbokro fut érigé en paroisse et devient la première paroisse de toute la région du diocèse de Yamoussoukro. C’est donc de Dimbokro que toutes les autres paroisses du diocèse seront fondées, rappelle-t-on.

L’évêque de Yamoussoukro, Mgr Marcellin Yao Kouadio, a remercié le seigneur pour ses bienfaits en faveur de son peuple. Il a rendu un hommage aux pionniers de l’église en Côte d’Ivoire et du diocèse de Yamoussoukro, ainsi qu’à toute la famille diocésaine pour leur contribution dans l’élévation de l’église du Christ. Le premier pasteur de l’Église catholique de Yamoussoukro a souhaité un engagement beaucoup plus grand des fidèles laïcs dans la vie dans son diocèse pour les 25 années à venir.

Le représentant du pape François a félicité les fidèles, membres de l’église famille de Dieu de Yamoussoukro, rassemblés dans la communion pour ses 25 ans d’existence, de vie chrétienne, de témoignage et pour toutes les vocations au service de toute l’Église catholique.

« Je demande au seigneur de vous aider à continuer le chemin dans la foi et à marcher ensemble vers le cinquantenaire pour bâtir une église de Dieu dans la justice, la charité au service de la Côte d’Ivoire et du monde », a indiqué Mgr Spiteri avant de lire la bénédiction du Pape François dans laquelle le souverain pontife invoque l’abondance de la grâce divine sur les prêtes, évêques et fidèles laïcs du diocèse de Yamoussoukro.

AIP

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Le chef de l’Etat ivoirien, Alassane Ouattara, est annoncé en Octobre à Soubré pour inaugurer le nouveau barrage hydroélectrique construit dans ce département par la Chine.

« Je vous annonce que le président Alassane Ouattara sera ici en octobre pour l’inauguration du barrage », a affirmé le Premier ministre Amadou Gon, lors de la mise en service officielle du premier groupe de production d’électricité de ce barrage, la semaine dernière. 

Il s’est félicité de la bonne avancée de cet ouvrage dont la première pierre a été posée en février 2013 par le président Ouattara. « Le chef de l’Etat a concrétisé la réalisation de l’un des projets majeurs de son programme de gouvernement, à savoir le barrage de Soubré afin de permettre à la Côte d’Ivoire de produire une électricité de qualité à un coût compétitif », a indiqué M. Gon.

Pour 331 milliards F CFA de budget, 275 MW de puissance pour une production annuelle de 1170 gigawatts/heure, le barrage de Soubré, fruit de la coopération sino-ivoirienne est réalisé à 98,90% selon le directeur de Sinohydro, M. Zhang.

L’ambassadeur de la République Populaire de Chine, Tang Wei Bin a salué la mise en service de ce premier groupe de production d’électricité avant la date prévue et financé à 85% par Eximbank Chine. « La Chine est prête à accompagner ses entreprises à investir en Côte d’Ivoire dans le but d’un partenariat gagnant-gagnant », a-t-il assuré.

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Arrivé jeudi à Man, l’ambassadeur de l’Inde en Côte d’Ivoire, Ragutahalli Ravindra, est reparti dimanche à Abidjan, après de nombreuses visites et séances de travail de prospection dans la région du Tonkpi, rapporte l'AIP.

« C’est la première fois que je viens à Man. J’apprécie beaucoup la région dont le climat et la topographie ressemblent à ceux de certaines régions de mon pays. Je mets à profit ce séjour agréable pour rendre visite aux autorités et responsables d’entreprises pour savoir qu’est-ce qu’ils font, quels sont leurs besoins et leur présenter les possibilités de coopération décentralisée », a déclaré l’invité du président du conseil régional du Tonkpi.

Entres autres institutions, l’ambassadeur Ragutahalli Ravindra, a visité vendredi l’université de Man, le siège de l’Union des sociétés coopératives agricoles de Côte d’Ivoire ( USCOA-CI), le bureau UNICEF de Man et le lycée professionnel. Il est allé également voir les singes de la forêt sacrée de Gbèpleu après une visite de courtoisie au chef du canton « Man Campagne », fils du village et gardien des lieux.

Samedi, le diplomate indien s’est rendu au pont de lianes de Lieupleu, dans le département de Danané, ensuite à Zouan-Hounien où il a visité le site de la future rizerie que l’Office national de développement de la riziculture (ONDR) réalisée avec l’appui de son gouvernement, dans le cadre d’un projet de développement du secteur rizicole dans l’ouest montagneux.

Le diplomate indien s’est recueilli dans la chapelle construite à l’endroit où s’est produit l’accident qui a coûté la vie Mgr Ambrose Mathda, ex-Nonce apostolique, le 9 décembre 2013 alors qu’il revenait d’une mission à Odienné. Mais avant, il a visité les installations de la station du centre émetteur de la RTI sur le Mont Tonkpi et la cascade naturelle de Man.

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Le secteur de la grande distribution est en pleine croissance en Côte d’Ivoire, avec la naissance d’une nouvelle classe moyenne. Il y a à peine un que l’homme d’affaire ivoirien Aboubacar Fofana lançait une chaine de supermarchés bandés Citydia à Abidjan et dans certaines villes du pays. Ce jeudi 29 juin 2017, c’était au tour de PlaYce Palmeraie, deuxième centre commercial conçu et opéré par CFAO Retail en Côte d’Ivoire, d’être inauguré à Abidjan, dans le quartier de Cocody-Riviera Palmeraie - Génie 2000.

La cérémonie a eu lieu sous la présidence de son Excellence Monsieur Amadou Gon Coulibaly, Premier Ministre de Côte d’Ivoire.

Surface

Sur une surface totale de 29 000 m2 (centre commercial, parking et espaces verts inclus), PlaYce Palmeraie abrite un supermarché Carrefour Market de 2 400 m2. Avec 24 enseignes, la galerie commerciale propose des enseignes partenaires du « Club de Marques » de CFAO Retail : San Marina, Jules, La Halle, Beauty Success, Vib’s (Cache-Cache et Bonobo) et Brioche Dorée ainsi que des boutiques de mode et de services. L’offre PlaYce Palmeraie s’enrichit aussi de nouvelles enseignes comme Ciss St Moïse, Startimes, Optic 2000, Photomaton, Bollé Store, Clean Pressing, La Périgourdine et Real Kebab.

 Xavier Desjobert, Directeur Général de CFAO Retail, explique : « Cette deuxième ouverture illustre le déploiement de notre stratégie Retail en Afrique. Le succès du premier PlaYce a été immédiat. Les consommateurs exigeaient une offre de qualité et diversifiée ainsi que des prix maîtrisés. Grâce à PlaYce Palmeraie et aux autres centres commerciaux que nous ouvrirons en Afrique, nous projetons l’exigence et la qualité PlaYce au plus près de nos consommateurs. »

Moins de deux ans après l’ouverture du premier centre PlaYce à Marcory (décembre 2015), la marque PlaYce est devenue une référence en Côte d’Ivoire par la modernité de ses infrastructures, mais aussi grâce à l’étendue de l’offre proposée et à la qualité du service délivré à sa clientèle. Carrefour Market de PlaYce Palmeraie bénéficie des mêmes approvisionnements que ceux développés pour Carrefour Marcory à l’importation et en local dans les secteurs agricoles, l’élevage et le textile notamment. Un service de livraison électroménager a par ailleurs été mis en place.

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L’entreprise PFO Africa, chargée des travaux de renforcement de la nationale autoroute- Gagnoa en passant par Divo, est à pied d’œuvre pour corriger les quatre points critiques qui ont coupé l’accès à la ville de Divo après les pluies diluviennes de samedi et dimanche.

Selon le chargé de communication de la mairie de Divo, Maxime Kouadio, qui a fait l’annonce mercredi sur les ondes de la radio Sud Bandama, le trafic pourrait reprendre sur l’axe dans quelques jours.

De samedi à dimanche, la pluie s’est abattue de façon ininterrompue sur le département de Divo et ses environs, causant la perte en vie humaine (deux garçonnets tués) dans le village de Kpakossou qui s’est retrouvé sous les eaux. Plusieurs ponts villageois, dont celui de Zégo sur la voie reliant la ville de Divo au centre émetteur de la Radiodiffusion télévision ivoirienne (RTI), ont été détruits, rappelle-t-on.

Un mort et un disparu

Le corps sans vie de Touré Batogoman Namory, a été repêché, lundi après midi, par les sapeurs pompiers dans la rivière Kassa dans le village de Kassasso dans le département de Tiassalé, au PK 120 sur l’Autoroute du nord.

L’homme s’était noyé la veille alors qu’il se baignait dans la rivière qui était en crue. Lundi matin, les parents de la victime avaient fait appel à Ouedraogo Moussa, réputé spécialiste dans la plongée pour retrouver les corps dont celui d’un plongeur, porté disparu dans la rivière lors de sa seconde tentative de recherche du corps de Touré Namory.

Selon un bilan officiel communiqué par le gouvernement, les pluies diluviennes de ces derniers jours ont fait au moins 20 morts et 43 blessés à Abidjan.

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L’Afrique connait depuis près d’une décennie une croissance économique confortable, qui suscite beaucoup de d’optimisme chez nombre d’observateurs. Selon les prévisions de la Banque mondiale, elle devrait atteindre un taux de 2,5 % en 2017, puis s’améliorer en 2018 grâce à la hausse des cours des matières premières et à l’amélioration de la situation intérieure. En Côte d’Ivoire où l’on enregistre une croissance moyenne de 9% ces cinq dernières années –l’une des plus fortes en Afrique-, et dans bien d’autres pays comme le Nigéria, la répartition des fruits de cette embellie croissance restent un sujet à polémique. Vu qu’elle éprouve encore du mal à profiter à tous.

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-Le représentant pays de Friedrich Ebert, une ONG allemande travaillant  à la promotion de la démocratie sociale, Thilo  Schöne, a affirmé vouloir  limiter les violations des droits syndicaux par la syndicalisation de la femme, lors d’un séminaire, mercredi, à l’hôtel La Madrague, à Grand-Bassam, à l’intention des femmes syndicalistes sur le thème « la syndicalisation de la femme : enjeux et perspectives ».

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