Contenu - LA DIPLOMATIQUE D'ABIDJAN
LDA Journaliste

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Le ministre de la Fonction publique, Issa Coulibaly, a procédé mardi, à Abidjan, au lancement de 379 concours administratifs pour 9.644 postes budgétaires à pourvoir pour l’édition 2018, rapporte l'AIP.

Il s’agit des concours directs, de recrutement et de recrutement exceptionnels pour 2.523 places, des concours professionnels et professionnels exceptionnels pour 6.699 postes budgétaires et des concours directs et de recrutements du secteur de la santé pour 2.945 places.

Les recrutements dans le secteur de la santé intègrent de nouveaux emplois tels que celui d’ingénieur des services de santé, option économie de la santé.

Les inscriptions en ligne sur le site du ministère de la Fonction publique (fonctionpublique.gouv.ci) démarrent mercredi, pour prendre fin le vendredi 4 mai, les visites médicales, du 27 mars au 25 mai, dans les 11 villes retenues et le dépôt des dossiers de candidature du 10 avril au 1er juin.

Les compositions aux épreuves se dérouleront du 8 au 30 septembre et les résultats définitifs seront connus le 30 novembre.

Selon le ministre Issa Coulibaly, à l’instar des sessions précédentes, le chronogramme de l’organisation de ces concours administratifs comprend sept étapes notamment l’inscription, les cours de préparation, la gestion des dossiers de candidature, les compositions, la gestion des copies, les délibérations et résultats et les des activités post-résultats.

Pour la transparence du processus, le ministre s’est engagé à organiser un recrutement dépourvu de toute contestation pour mettre à la disposition des administrations publiques des ressources humaines de qualité.

Car, a -t-il ajouté, le crédo de son département ministériel est d’amener les ivoiriens à sortir de la logique des réseaux pour s’inscrire dans la logique du mérite.

« Je profite de cette tribune pour clamer haut et fort que les réseaux dans les concours administratifs, c’est fini. J’invite, à ce titre, la population à s’impliquer activement pour la bonne organisation des concours administratifs, en exhortant les candidats à s’inscrire dans une préparation efficiente », a-t-il lancé.

Après une bonne organisation des concours administratifs de l’édition de 2017, le ministre Issa Coulibaly s’est  réjoui de l’introduction du numérique dans tout le processus, de l’inscription au traitement des résultats qui permet de juguler les comportements répréhensibles qui ternissent son département ministériel.

Pour l’édition 2017 des concours administratifs, au total, 70.129 candidats avaient pris part aux compositions pour 10.049 postes budgétaires à pourvoir, indique-t-on.

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Le président du Zimbabwe, Emmerson Mnangagwa, est annoncé à Abidjan, pour prendre part à la 6e édition de l’Africa CEO Forum qui se tient les 26 et 27 mars dans la capitale économique ivorienne.

M. Mnangagwa, à cette occasion, « partagera sa vision pour la relance économique de son pays », devant un parterre de plus de 1 200 chefs d’entreprises, d’investisseurs internationaux et de décideurs publics, précise un communiqué transmis à l’AIP par l’African Media Agency (AMA).

Il présentera le potentiel économique du Zimbabwe à la communauté des investisseurs internationaux et chefs d’entreprise réunis à ce rendez-vous.

A l’occasion d’un panel présidentiel inédit, le chef de l’Etat zimbabwéen se prêtera également au jeu de l’interview croisée, avec l’ancien président du Nigéria, Olusegun Obasanjo.

En s’appuyant sur l’exemple du Nigéria, qui a su sortir d’une longue période d’isolement économique, les homologues échangeront sur les priorités stratégiques à mettre en place pour relancer l’économie du Zimbabwe et mettre un terme aux sanctions.

La 6e édition d’AFRICA CEO FORUM, verra également la participation du président du Libéria, George Weah.

Le président du Zimbabwe, Emmerson Mnangagwa, est annoncé à Abidjan, pour prendre part à la 6e édition de l’Africa CEO Forum qui se tient les 26 et 27 mars dans la capitale économique ivorienne.

M. Mnangagwa, à cette occasion, « partagera sa vision pour la relance économique de son pays », devant un parterre de plus de 1 200 chefs d’entreprises, d’investisseurs internationaux et de décideurs publics, précise un communiqué transmis à l’AIP par l’African Media Agency (AMA).

Il présentera le potentiel économique du Zimbabwe à la communauté des investisseurs internationaux et chefs d’entreprise réunis à ce rendez-vous.

A l’occasion d’un panel présidentiel inédit, le chef de l’Etat zimbabwéen se prêtera également au jeu de l’interview croisée, avec l’ancien président du Nigéria, Olusegun Obasanjo.

En s’appuyant sur l’exemple du Nigéria, qui a su sortir d’une longue période d’isolement économique, les homologues échangeront sur les priorités stratégiques à mettre en place pour relancer l’économie du Zimbabwe et mettre un terme aux sanctions.

La 6e édition d’AFRICA CEO FORUM, verra également la participation du président du Libéria, George Weah.

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Le Secrétariat exécutif du Comité de Concertation Etat/Secteur privé (SE-CCESP), à travers la direction générale de l’Economie (DGE) a rendu public les points clés de la note de conjoncture sur la situation économique et financière à fin décembre 2017. Elle  a été marquée par une hausse des principaux agrégats, comparativement à ceux de la période de 2016.

Le secteur primaire a été caractérisé par une hausse de 24,4% des productions du cacao, de 7,0% des productions du palmier à huile, de 28 ,0% des productions du caoutchouc naturel, de 9,5% des productions d’anacarde, de 6,1% des productions du coton, de 25,7% des productions de l’ananas, de 2,6% des productions de la banane dessert et par un repli de 68,2% de la production du café.

La production vivrière connait une progression de : 18,0% de la production des tubercules portée par le manioc ; 4,0% pour la banane plantain ; 3,7% pour l’igname ; 3,1%, pour la patate douce ; 2,9% pour le taro ; 4,6% pour les autres cultures vivrières.

Au niveau du secteur secondaire, on a enregistré une tendance haussière de 4,3%, attribuable à la dynamique du secteur manufacturier avec +9,0%, une stagnation de l’activité de la branche électricité gaz et eau à 01,0%, et une contraction des industries extractives à -17,3%, tandis que l’activité industrielle hors extraction connait une croissance de 8,2%.

En ce concerne le secteur tertiaire, il affiche une évolution de ses composantes, notamment l’indice du chiffre d’affaires du commerce de détail (+8%) en termes nominaux, le nombre de passagers du transport aérien (+ 12,1%), la consommation des carburants gasoil et super (+ 8,3%) du transport routier le volume global de marchandises du transport maritime (+2,8%), la chute du trafic global des marchandises du transport ferroviaire (-0,8%).

Les segments du marché des TIC (la téléphonie mobile, la téléphonie fixe et l’internet) affichent, quant à eux, une progression de 29,1%. Qui se traduit par l’emploi moderne avec une progression de + 6,5% correspondant à une création nette de 58 690 emplois avec une augmentation de 7,2% au niveau du secteur privé et 3,9% au niveau du secteur public; les finances publiques caractérisées par une plus-value des recouvrements (4 478,2 milliards contre un objectif de 4 573,4 milliards) et une sous consommation des dépenses notamment des dépenses en investissement ; les échanges extérieurs de marchandises en commerce spécial et hors biens exceptionnels sont marqués par un accroissement en glissement annuel des exportations (+8,8%) et des importations (+3,3%) avec un excédent commercial de 1 708,4 milliards en hausse de 29,7% (+391,4 milliards) par rapport à l’excédent de 2016 et la Situation monétaire et marché boursier avec d’une part, une progression de 19,7% de la masse monétaire qui atteint 10,143,4 milliards sous l’effet conjugué de la hausse des avoirs extérieurs nets (+44,9% ; +812,0 milliards) et des crédits intérieurs nets (+14,0% , +986,4 milliards), et d’autre part un repli du marché régional des valeurs mobilières qui connait un fléchissement de ses indices BRVM 10 et BRVM composite de 13,3% et de 13,1% respectivement.


Daniel Coulibaly

 

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Représentant le chef de l’Etat, le vice-président de la République, Daniel Kablan Duncan, a affirmé dimanche, à l’occasion de la session plénière du sommet fondateur de l’Alliance solaire internationale, que la Côte d’Ivoire entend saisir toutes les opportunités qui lui sont offertes pour atteindre une capacité énergétique d’environ 4400 MW en 2020  et 6000 MW dix ans plus tard pour que son pays, devenu un véritable hub énergétique, puisse contribuer à renforcer l’intégration sous-régionale.

Saluant l’initiative lancée lors de la conférence de Paris pour le climat en décembre 2015, Kablan Duncan a réaffirmé l’engagement de la Côte d’Ivoire en faveur du climat et notamment en ce qui concerne la transition énergétique.

« A l’occasion de la COP 21, notre pays s’est en effet  engagé à réduire de 28% ses émissions de gaz à effet de serre à l’horizon 2030. Cet engagement se traduit, au niveau du secteur de l’électricité, par un net accroissement de la part des énergies renouvelables y compris l’hydroélectricité dans le mix énergétique. La part de ces énergies renouvelables qui représentait 20% contre 80% d’énergie thermique en 2017 devrait ainsi passer à 34% contre 66% d’énergie thermique en 2020. L’objectif final est de parvenir, en 2030, à un mix énergétique avec  42% d’énergie renouvelable pour 58% d’énergie thermique », a annoncé le vice-président ivoirien.

Selon Daniel Kablan Duncan, l’Alliance solaire internationale constitue une réponse efficace et pragmatique aux deux problématiques majeures que sont la lutte contre le réchauffement de la planète et l’accès à l’énergie.

La cérémonie inaugurale du premier sommet de l’Alliance solaire internationale (ASI) s’est déroulée à New Delhi, en Inde, en présence du premier ministre indien, Narendra Modi, et du président français, Emmanuel Macron, signale-t-on.

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e ticket Daniel Kablan Duncan-Amadou Gon Coulibaly pour la présidentielle 2020, au compte du Rassemblement des houphouëtistes pour la démocratie et la paix (RHDP-coalition au pouvoir), est le plaidoyer fait samedi, depuis Gagnoa, par Charles Gnaoré, député issu du Rassemblement des républicains (RDR-parti présidentiel) et président d’un mouvement pro-Ouattara.

« On ne peut pas forcer la main à notre papa Ouattara, mais on peut lui faire des propositions », a déclaré le président-fondateur de la Fédération des organisations républicaines pour la cohésion et l’émergence en 2015 (FORCE 2015), cité par l'AIP.

Ce dernier a exhorté le chef de l’Etat, à ouvrir les discussions, et à présenter solennellement avant la fin de l’année 2018, le ticket présidentiel qui viendra après lui et qui ira à la bataille de 2020.

Même si, selon Charles Gnaoré, le président Alassane Ouattara veut aller à un passage de génération, lui et son mouvement Forces 2015, plaide qu’on y aille « doucement et surement ». Il a profité de la rentrée de son mouvement, pour proposer le ticket comprenant l’actuel vice-président de la République, Kablan Duncan et l’actuel Premier ministre, Amadou Gon pour la présidentielle 2020.

L’annonce de cette décision devrait contribuer, a-t-il dit, à aplanir les divergences et à calmer les esprits, mais aussi, à donner la force à ceux qui seront choisis de commencer le travail.

Les critères de « confiance et de fidélité » au président Ouattara, la maitrise du monde économique, des partenaires internationaux, la connaissance et les bons rapports avec les pays voisins ainsi que le charisme de la personnalité doivent prévaloir, pense-il. Duncan et Amadou Gon, actuellement aux affaires, sont aux yeux de Forces 2015, ceux qui devraient aller en compétition au compte du RHDP.

Tout en rassurant de leur soutient, tous ceux qui seront choisis après Alassane Ouattara, Charles Gnaoré affirme que si hier, on pouvait dire, concernant la succession du président Ouattara, que ce n’est pas le moment, aujourd’hui, Force 2015 pense que 2020 est déjà arrivé. « Et c’est parce que on en parle pas, que l’on assiste à ces crises au sein de nos formations politiques », a déploré le parlementaire.

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Le procureur près la Cour d’appel de Bouaké, Braman Koné a affirmé dimanche que l’un "des deux présumés assassins" de l’élève de 13 ans, retrouvée morte, début mars à M’Bahiakro (Centre ivoirien), et mis aux arrêts "est le père de victime", rapporte Alerte Info.

"Les deux présumés assassins, dont un ancien prisonnier et un garde pénitentiaire, qui se trouve être le père de la victime, ont été mis aux arrêts", a déclaré M. Koné, à la télévision nationale.

L’ancien prisonnier qui serait le tueur, a dit avoir agi sur instruction du père de l’élève (le commanditaire) qui a révélé à la police qu’il avait "besoin du sang humain pour un rituel" devant lui permettre de devenir riche".

"Interrogés, les deux (individus) n’ont fait aucune difficulté pour reconnaitre les faits d’assassinat mis à leur charge", a affirmé M. Koné, annonçant qu’ils seront déférés lundi au parquet.

Le 06 mars, le corps d’une élève en classe de 5e a été retrouvé sans vie dans une maison inachevée, non-loin du domicile familial, suscitant la colère chez ses camarades qui ont violemment manifesté et saccagé la gendarmerie de la ville.

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La  Fédération Ivoirienne de Krav Maga (FIKM), Présidée par Me Kouakou Alassane se rapproche davantage de la galaxie sportive ivoirienne. Lors d’une réunion technique avec les membres du secrétariat de la fédération, le président Alassane Kouakou s’est fixé comme objectif, la vulgarisation de ce système d’autodéfense d’origine israélienne.

 

‘’Toute personne désireuse d’apprendre ce système d’autodéfense d’origine Israélienne, est invitée à se rapprocher du secrétariat de la fédération ivoiorienne de Krav Maga’’, a indiqué le président Kouakou Alassane après sa rencontre avec les membres de l’administration et du secretariat de cette fédération le jeudi 8 mars  dernier. Aussi, La FIKM voudrait inviter les pratiquants, les sympathisants et toutes les personnes désireuses  de découvrir le KRAV-Maga à avoir comme unique interlocuteur cette  fédération qui est inscrit dans le journal officiel de la Republique de  Cote d’Ivoiire depuis le jeudi 19 octobre 2017.C’est pourquoi,lla FIKM voudrait aussi appeler à la vigilance tous les pratiquants et sympathisants du KRAV MAGA afin ‘’d’éviter les arnaques provenant de certaines associations se définissant comme la Fédération Ivoirienne de Krav-MAGA,’’.Le programme d’activités de ma saison sera connu dans les semaines à venir.

Louis Tanin

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La  Fédération Ivoirienne de Krav Maga (FIKM), Présidée par Me Kouakou Alassane se rapproche davantage de la galaxie sportive ivoirienne. Lors d’une réunion technique avec les membres du secrétariat de la fédération, le président Alassane Kouakou s’est fixé comme objectif, la vulgarisation de ce système d’autodéfense d’origine israélienne.

 

‘’Toute personne désireuse d’apprendre ce système d’autodéfense d’origine Israélienne, est invitée à se rapprocher du secrétariat de la fédération ivoiorienne de Krav Maga’’, a indiqué le président Kouakou Alassane après sa rencontre avec les membres de l’administration et du secretariat de cette fédération le jeudi 8 mars  dernier. Aussi, La FIKM voudrait inviter les pratiquants, les sympathisants et toutes les personnes désireuses  de découvrir le KRAV-Maga à avoir comme unique interlocuteur cette  fédération qui est inscrit dans le journal officiel de la Republique de  Cote d’Ivoiire depuis le jeudi 19 octobre 2017.C’est pourquoi,lla FIKM voudrait aussi appeler à la vigilance tous les pratiquants et sympathisants du KRAV MAGA afin ‘’d’éviter les arnaques provenant de certaines associations se définissant comme la Fédération Ivoirienne de Krav-MAGA,’’.Le programme d’activités de ma saison sera connu dans les semaines à venir.

Louis Tanin

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Qui de la direction générale de la compagnie ivoirienne d’électricité (CIE) et de l’Etat se charge de la tarification de la consommation de l’électricité en Côte d’Ivoire? Si jusque-là, bien de personnes donnaient cette tâche à la CIE, elles se trompaient.

«L'État est le propriétaire de l'ensemble des infrastructures du secteur de l'électricité en Côte d'Ivoire (…) donc, c'est l'État qui fixe le tarif de l'électricité», a déclaré, Emmanuel Kouadio, secrétaire général de la CIE, à l’occasion des Africa Digital Communication Days (ADICOM DAYS), le vendredi 2 mars dernier à Abidjan.

Cette affirmation aux allures d’une révélation situe bien d’Ivoiriens sur la tarification du coût de l’électricité dans le pays qu’on croyait être du ressort de la CIE.

Une déclaration qui pourrait relancer le débat sur la cherté de l’électricité, quand on sait que le pays produit de l’électricité et en vend même à ses voisins.

Rappelons que cette question du coût élevé de l’électricité a créé une grogne des populations en 2016, suite à des factures jugées insupportables. Les populations s’en étaient prises aux installations de la CIE à Bouaké et dans plusieurs autres villes du pays. Le gouvernement avait appelé au calme, en annonçant plusieurs mesures pour le règlement de la facture litigieuse et la fin du monopole du secteur de distribution de l’électricité.9037631

En outre, le secrétaire général de la CIE a indiqué que l’entreprise a fait un chiffre d’affaires de près de 600 milliards FCFA en 2016. 400 milliards de FCFA ont été reversés à l’Etat ivoirien et 164 milliards de FCFA à la compagnie.

La Côte d’Ivoire est productrice et exportateur d’électricité dans la sous-région depuis plusieurs années. Mais le coût d’électricité demeure insupportable pour une grande partie de la population. Conséquence immédiate: la CIE fait face à de nombreux réseaux de fraudeurs dont les activités font perdre à la compagnie et même à l'Etat des centaines de milliards de nos francs chaque année.

 

Daniel Coulibaly

 

 

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Trois pays africains s‘ajoutent à la liste des pays bénéficiant de l’électricité ivoirienne. Il s’agit de la Sierra-Leone, le Libéria et la Guinée-Conakry.

L’information a été donnée par Emmanuel Kouadio, secrétaire général de la Compagnie ivoirienne d'électricité (CIE), lors de la cérémonie de clôture de «Africa digital communication days (ADICOM DAYS) », à Bingerville, une commune du District d’Abidjan, le vendredi 2 mars dernier.

Ces pays rejoignent le Ghana, le Burkina-Faso, le Mali, le Togo et le Bénin, pays importateurs de l’électricité ivoirienne.

La Côte d’Ivoire veut être un hub sous régional en électricité, afin de tenir ses engagements envers ses voisins qui dépendent énergiquement d’elle. Ainsi, elle prévoit d’ici 2020 augmenté sa capacité de production d’électricité de 2000 mégawatts actuel à 4000 mégawatts. Et plus de 6.000 MW en 2030.

A l’orée 2030, le pays entend aussi disposer d’un mix énergétique avec 26% de charbon, 16% d’énergies renouvelables, 26% d’hydroélectricité et 32 % de thermique pour un ensemble d’investissement estimé à 10.000 milliards de FCFA sur les 15 prochaines années.

La fourniture de l’électricité aux pays voisins rapporterait 5 milliards de FCFA par an à la Côte d’Ivoire.

 

Daniel Coulibaly

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