Contenu - LA DIPLOMATIQUE D'ABIDJAN
LDA Journaliste

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Hilaire Lamizana, directeur général du port autonome de San Pedro(PASP), a reçu une trentaine d’opérateurs économiques belges, jeudi dernier. Ces opérateurs manifestent un intérêt pour le port de San Pedro et l’ensemble des potentialités d’investissement dans cette région.

La délégation belge était constituée de directeurs généraux de diverses entreprises exerçant dans différents domaines dont le secteur portuaire et maritime, financier et bancaire, agricole, industriel, les nouvelles technologies , le BTP.

Elle a découvert les grandes potentialités actuelles du port de San Pedro et les projets d’investissement et d’extension de celui-ci, à court, moyen et long terme, pour en faire le premier port de tous les pays de l’hinterland de cette sous-région de l’Afrique.

« Jusque-là, les opérateurs que nous recevions au port de San Pedro étaient des opérateurs qui n’étaient concernés que par l’activité portuaire. Aujourd’hui, nous essayons, dans le rôle que nous avons, de créer autour du port de San Pedro, un pôle de développement économique, de faire en sorte que ces visites puissent s’étendre à l’ensemble de la région de San Pedro », a dit Hilaire Lamizana.

Pour lui, cette approche va permettre à ces opérateurs de signer des partenariats avec des entreprises sur place à San Pedro et diversifier les possibilités d’investissement pour la région.

Le président de la Chambre de commerce belge en Côte d’Ivoire (CCBCI), Stiels Frédérik, a exprimé la satisfaction de la délégation pour cette mission économique, à San Pedro, des compagnies et entreprises belges basées à Abidjan.

Daniel Coulibaly : Source AIP

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7 ans après la mort de Mouammar Kadhafi, la Libye reste un pays divisé. Le pays est dirigé par deux hommes qui se disputent le pouvoir : d’un côté, le gouvernement d’union nationale (GNA) reconnu par la communauté internationale et basé à Tripoli, et de l’autre, une autorité exerçant son pouvoir dans l’est du pays avec le soutien du maréchal Haftar, 75 ans, Chef de l’Armée nationale libyenne (ANL, autoproclamée).

Face cette impasse qui dure depuis la mort du Guide libyen, la communauté internationale a initié une rencontre entre les deux parties, en invitant les différents acteurs à une table de discussion. Ainsi, la France qui était à la tête de la coalition qui a fait partir kadhafi du pouvoir, a décidé de prendre les taureaux par les cornes.

Emmanuel Macron, président français, a initié une rencontre à laquelle étaient le maréchal Khalifa Haftar, le Premier ministre Fayez al-Sarraj, le président du Parlement Aguila Salah, et le président du Haut Conseil d’État Khaled Al-Mishri, à Paris, le mardi 29 mai 2018. Au sortir de celle-ci, les principaux acteurs de la crise en Libye sont parvenus à un accord débouchant sur l’organisation d’élections avant 2019. Concrètement, ils se sont entendus pour organiser les élections législatives et présidentielles le 10 décembre 2018.

Avant ces scrutins, les différents protagonistes ont également pris l’engagement de l’adoption d’une « base constitutionnelle » un préalable à l’organisation de toute élection.

"L’adoption d’une Constitution constituera une étape essentielle pour la souveraineté de la nation libyenne », insistent les signataires de l’accord, qui s’engagent à apporter leur « soutien au représentant spécial des Nations unies dans ses consultations auprès des autorités libyennes portant sur une proposition et sur le calendrier de son adoption ».

La date fixée pour cette première étape de la normalisation de la Libye est le 16 septembre 2018 pour espérer respecter le calendrier de la tenue des élections parlementaires et présidentielles le 10 décembre 2018.

 

Daniel Coulibaly

 

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La loi pour la fixation à deux mois de paiement de l’avance et de caution des loyers a été adoptée mardi dernier à l’Assemblée nationale. Les députés de la commission des affaires sociales et culturelles ont voté à l’unanimité ce projet de loi concernant les contrats relatifs aux loyers d’habitation.

Selon le porte-parole du gouvernement, Koné Nabagné Bruno, cette décision prise, en juillet 2017, en conseil des ministres, a pour objectifs de réguler les rapports entre le bailleur et le locataire, d’encadrer durablement les baux, de sécuriser la location, de rééquilibrer les coûts de location.

Le ministre de la Construction, du Logement, de l’Assainissement et de l’Urbanisme, Claude Isaac Dé, face aux députés, s’est réjoui de leur engagement aux cotés du gouvernement pour mettre fin à l’anarchie dans le secteur du logement en Côte d’Ivoire.

Un dispositif de 53 articles a été mis en place pour interdire au bailleur d’exiger plus de deux mois d’avance et deux mois de garantie locative (caution) au locataire.

Cette nouvelle loi vient ainsi abroger plusieurs dispositions datant des années 70 relatives aux rapports entre bailleurs et locataires.

 

Mathurin Dao 

 

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Dans l’optique d’offrir ses services au plus grand nombre d’utilisateurs en Côte d’Ivoire, CoinAfrique, la plateforme de petites annonces sur mobile, dont l’application est la plus téléchargée du secteur en Afrique francophone, ouvre son service sur USSD en partenariat avec MTN Côte d’Ivoire.

Ce nouveau service intervient après sa levée de fonds de 2,5 millions d’euros auprès de plusieurs investisseurs. La start up élargit ainsi son audience en se rapprochant davantage des populations.
L’objectif est de diffuser les meilleurs « deals » au plus grand nombre de personnes via USSD. Ce service va permettre à une partie non connectée de la population ivoirienne d’avoir un accès facile à ses meilleures offres, plusieurs fois par semaine en incluant toutes les informations de contacts des vendeurs.

Les abonnés MTN Côte d’Ivoire pourront ainsi s’abonner au service et consulter ces offres via USSD en composant le *433*1#.

«Le marché ivoirien est une cible stratégique pour nous, d’où notre intérêt à démarrer ce nouveau service en Côte d’Ivoire. À travers le partenariat conclu avec MTN, nous nous rapprochons de notre ambition qui est de dépasser les 10 millions d’utilisateurs à l’horizon 2022 », explique Sylvain Andrieux, directeur de CoinAfrique Côte d’Ivoire et en charge du projet USSD.
« Nous restons une plateforme digitale et l’un des enjeux de ce partenariat est de rapprocher les vendeurs et revendeurs utilisateurs de notre plateforme à la forte communauté de personnes non connectées en Côte d’Ivoire », ajoute M. Andrieux,

«Ce partenariat avec CoinAfrique est pour nous, l’occasion de proposer à nos abonnés un autre service à forte valeur ajoutée. Sans connexion internet et à un très faible coût, nos abonnés auront accès et pourront vivre l’expérience CoinAfrique, un leader du secteur des petites annonces. C’est aussi un service qui, nous pensons, nous aidera certainement à ramener nos abonnés non connectés vers le digital», déclare Boubakar Sorgho, manager digital products and Services de MTN Côte d’Ivoire.

Opérationnelle dans 16 pays africains, la plateforme CoinAfrique enregistre à ce jour près de 700 000 téléchargements de son application et plus de 150 000 utilisateurs actifs par mois. Pour répondre davantage aux besoins de ses abonnés et construire une forte communauté d’utilisateurs mobiles, la plateforme a récemment présenté la nouvelle version de son site web qui met à la disposition des acheteurs et vendeurs de nouvelles fonctionnalités qui rendent son service encore plus flexible et facile d’accès.

Lancé en mai 2015, CoinAfrique est le leader des petites annonces sur mobile en Afrique francophone. Grâce à ses applications mobiles (Androïd et iOS) et son site internet, CoinAfrique connecte la plus grande communauté de vendeurs et d'acheteurs en ligne dans 16 pays d’Afrique. La start up est implantée à Dakar (Sénégal), Cotonou (Bénin), Lomé (Togo), Abidjan (Côte d’Ivoire) et à Kinshasa (République Démocratique du Congo).

 

Daniel Coulibaly

 

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Construites pour une durée 15 ou 20 ans, la plupart des routes de l'Union économique monétaire ouest africaine (UEMOA) deviennent impraticables après 5 ou 10 ans d'existance. La cause, le mauvais entretien des routes et de leur usage. En Côte d’Ivoire, une grande partie du patrimoine routier a perdu de sa durée de vie. 

Les routes de la zone Uemoa souffrent énorment du manque d'entretien et surtout de l'usage qu'on en fait. En plus des eaux usées sur le bitume, les ordures, des produits chimiques, et souvent la qualité du goudron etc, il y à l’extrême surcharge et la surcharge des camions circulant sur les routes des différents pays membres de la zone UEMOA qui contribuent à sa destrucction. Il s’agit des véhicules ne respectant pas la charge requise par le règlement 14 de l’UEMOA fixée à 11,5 tonnes à essieux.

Ce règlement adopté par le conseil des ministres de la zone UEMOA en décembre 2005 est relatif à l’harmonisation des normes et des procédures de contrôle du gabarit, du poids et de la charge à l’essieux des véhicules lourds des transports de marchandises. L’objectif est la suppression de la surcharge des poids lourds en vue de préserver le patrimoine routier et de contribuer à la durabilité des investissements réalisés sur ces infrastructures.

Si en Côte d’Ivoire, il est autorisé jusqu’à 13 tonnes à essieux, il est donné de voir des camions en extrême surcharge entre 19 et 20 tonnes ou surcharge entre 14 et 18 tonnes à essieux sur nos routes.

Selon le ministre ivoirien Amédé Koffi Kouakou des Infrastsruures économiques, l’Etat a pris un certain nombre d’engagements pour lutter contre l’extrême surcharge avec l’acquisition des pèses à essieux au Port d’Abidjan, l’édition d’un flyer fournissant des informations relatives au PTAC et à la charge limite à essieux, délestage et paiement des amendes conformément à ce règlement, etc.

L’analyse des statistiques issues des postes de pesage sur les corridors du mois de mars 2018, laisse apparaitre que le taux de véhicules en extrême surcharge a connu une baisse drastique.

«Il y a une réelle avancée dans notre pays. En décembre 2017, a-t-il précisé, le taux de pourcentage de l’extrême surcharge était de 8,6% contre 0,9% en mars 2018 », lors dune réunion du conseil de concertation du comité de concertation Etat secteur privé à la Primature, mercredi 23 mai 2018.

« Il faut diminuer l’extrême surcharge si nous voulons garder nos routes », a conseillé le ministre ivoirien des Infrastructures économiques.

 

Daniel Coulibaly

 

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Un militaire ivoirien, Sergent Béda Jean Luc, a été grièvement blessé, mercredi, lors d’une altercation entre une patrouille militaire ivoirienne et des ressortissants maliens sur l’axe routier Ouelli-Gbégueni, a appris, l’AIP jeudi, auprès de la préfecture de Kaniasso.

Les faits sont intervenus mercredi, dans l’après-midi quand une patrouille du sous groupement tactique interarmées, basé à Goulia, et composé de deux militaires et d’un officier de police, a interpelé sur l’axe routier Ouelli-Gbéguéni, un ressortissant malien armé.

C’est lors de l’interrogatoire, certainement pour mieux comprendre les raisons de sa présence en ces lieux avec l’arme que des hommes armés ont ouvert le feu sur la patrouille ivoirienne blessant ainsi le sergent Beda Jean Luc. Il a pris des balles dans l’abdomen et au bras et été évacué sur Abidjan pour recevoir les soins appropriés, apprend-on.

Cette attaque intervient après une réunion tenue le 03 mai, à Sama, au Mali, entre chefs traditionnels ivoiriens et maliens. Les chefs traditionnels maliens ont ouvertement remis en cause la limite entre les deux pays et ont invité les chefs traditionnels ivoiriens à ne plus défricher de nouvelles parcelles de terre dans la zone litigieuse.

Depuis 2016, chaque année, les populations des villages à la frontière connaissent des heurts avec leurs voisins maliens. En 2017, un conflit ouvert entre ressortissants maliens et ivoiriens à Touroudio avait fait trois morts parmi les maliens et cinq blessés par balles parmi les ivoiriens.

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La Fédération internationale de football association (FIFA), dans un courrier en date du 16 mai, annonce la suspension de tout nouveau paiement ou virement en faveur de la Fédération ivoirienne de football (FIF) qui a refusé lundi, à ses émissaires du cabinet Price Waterhouse Coopers (PWC), de réaliser un audit de ses comptes, annonce l'AIP.

« D’ici là, tout nouveau paiement ou virement en faveur de la FIF est suspendu afin de protéger les fonds alloués par la FIFA, comme le prévoit l’article 17, alinéa 2 du règlement Forward », souligne le document signé de la directrice de la division Associations membres, Joyce Cook.

La FIFA rappelle aussi aux dirigeants du football ivoirien que le fait de ne pas respecter une décision de la commission d’audit et de conformité et de ne pas coopérer avec  son administration est considéré comme « une violation des statuts de l’instance mondiale et susceptible d’entraîner des sanctions contre la FIF et contre les officiels ».

Par conséquent, la division Associations membres demande aux responsables de la FIF d’accorder aux auditeurs du cabinet PWC, le droit d’accéder à leurs locaux et à tous les documents précédemment requis.

Une délégation du cabinet PWC est en mission en Côte d’Ivoire du 14 au 25 mai en vue de réaliser un audit « judiciaire » des comptes de la FIF. Sa première rencontre lundi, avec des membres du comité exécutif de la fédération nationale a duré quelques minutes.

Selon les informations, ils ont été refoulés car la FIF était encore dans l’attente d’une réponse à son préalable sur le fondement et la pertinence de cet audit, étant donné qu’elle estime n’avoir encore rien perçu comme sou dans le cadre du programme Forward.

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Lina Medina reste à ce jour la plus jeune mère de l'humanité. Le 14 mai 1939, elle accouchait d’un petit garçon par césarienne. La fillette péruvienne avait 5 ans, tel que rappelé par lepoint.fr. Aujour'dhui, elle a 85 ans.

Ce 14 mai 1939, Lina Medina a cinq ans, sept mois et vingt jours. Elle est dans son neuvième mois de grossesse. Pour son accouchement, elle a subi une césarienne à l'hôpital de Lima conduite par le docteur Lozada et le docteur Busalleu, assistés du docteur Colretta pour l'anesthésie. Le bébé qui sort de son ventre est un magnifique garçon de 2,7 kg. On lui donne le prenom de Gerardo en hommage au medcin qui a réalisé l’opération. hqdefault

Lina Medina ne dénoncera pas celui qui a abusé d'elle. Mais les premiers soupçons ont porté sur son père qui juste après la naissance de son petit-fils a été emprisonné, sous l'inculpation d'inceste. Il fut libéré après quelques jours par manque de preuves. Les soupçons se sont alors portés sur un frère de Lina qui avait une déficience intellectuelle.

Lina Medina épousera par la suite, à sa majorité, Raul Jurado, qui lui a donné un second fils en 1972. Ils vivent dans un quartier pauvre de Lima connu sous le nom de « Chicago Chico ».

Lina Medina est née le 27 septembre 1933 dans le hameau d'Antacancha de Ticrapo au Pérou. Elle a 85 ans.

 

Daniel Coulibaly /Source.lepoint.fr et google.

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« La loi n’est pas en vigueur », a indiqué le ministre Claude Isaac Dé de la Construction, du Logement, de l'Assainissement et de l'Urbanisme, lors de la 6ème édition du «Twins time » organisée par le Secrétariat exécutif du Comité de Concertation Etat Secteur Privé(CEESP), le lundi 14 mai 2018, à Abidjan.

Cette réponse du ministre fait suite à une question en rapport au projet de loi relatif au bail à usage d’habitation adopté en conseil des ministres en 2017. Lequel projet « encadre strictement désormais le paiement des loyers d’avance ainsi que la garantie locative, la caution désormais limitée à deux mois au maximum du loyer », avait indiqué le communiqué du gouvernement. Selon Isaac Dé, cette loi n’est pas encore passée à l’Assemblée nationale pour être examinée par les députés.

En outre, le «Twins time », cadre d’échanges interactifs, a été l’occasion pour le ministre de présenter la politique de développement du secteur de la construction, du logement de l’assainissement et de l’urbanisme en Côte d’Ivoire, et de faire connaitre les principales missions assignées à son département.

Sep thèmes dont le foncier, la construction, l'urbanisme, le logement, l'assainissement ont été soulevés. Et des sept préoccupations, 37 questions ont été adressées au ministre.

Pour lui, le gouvernement ne peut pas résoudre tout seul tous les problèmes liés à ce secteur. Il compte surtout sur l’implication des populations ivoiriennes, a-t-il plaidé. « Il faut la mobilisation de tous. Il faut changer de comportent en ayant un comportement citoyen. C’est ensemble qu’on pourra relever les défis du développement.», a ajouté le ministre.PHOTO 2 1

Par ailleurs, Isaac Dé a relevé les principales réformes entreprises dans son ministère, afin d’améliorer sa gouvernance, ses performances, la compétitive du secteur, tout en mettant un accent particulier sur la lourdeur administrative. A ce niveau, il a rassuré sur la simplification du processus de délivrance des actes administratifs, tels que les ACD (arrêté de concession définitive). Celui-ci a rappelé que le permis de construire s’obtenait en 14 jours ouvrables pour des frais de 50 000 FCFA.

Isaac Dé a, également, évoqué d’autres projets dont le schéma directeur de la ville d’Abidjan, la redynamisation du programme présidentiel des logements sociaux, etc. Avant d’exprimer la volonté du gouvernement ivoirien à trouver les solutions au secteur pour une contribution efficace dans l’économie de notre pays, et surtout de garantir de meilleures conditions de logement et de vie aux Ivoiriens.

Pour Mariam Fadiga Fofana, secrétaire exécutif du CEESP, le Magazine Twins » et le « Twins time » se veulent deux outils de communication au service des acteurs publics et privés pour améliorer le partenariat entre l’Etat et le secteur privé.

«(...) renforcer le climat de confiance entre les acteurs du monde des affaires en Côte d’Ivoire et le ministère de la Construction, du logement de l’Assainissement et de l’urbanisme, en vue de tracer les véritables sillons de l’émergence économique de notre pays », a-t-elle ajouté.

 

Daniel Coulibaly

 

 

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Président de la fédération ivoirienne de Krav Maga,Alassane Kouakou est revenu, à l’issu de la première Assemblée Générale Ordinaire(AGO) du mois d’Avril   2018, sur son agenda et ses ambitions pour vulgariser cette technique d’auto-défense israélienne en Cote d’Ivoire.

Quel a été la résolution principale de l’Assemblée Générale Ordinaire qui vient de prendre fin ?

Nous avons décidé de faire la promotion du Krav Maga au plan national et international par une vulgarisation plus accrue de cette technique de défense israélienne à travers toute la Cote d’Ivoire. Il faut aussi noter que, lors de cette Assemblée Générale Ordinaire, j’ai présenté mon bilan (moral et technique) qui a été approuvé par le comité directeur. Sans oublier que le bilan financier présenté par le trésorier a été aussi approuvé.

Qu’est ce que vous avez à dire aux Kravistes (pratiquants que Krav Maga) ?

Nous exhortons les pratiquants et sympathisants du Krav Maga à se rapprocher de la fédération pour une pratique officielle et originale afin d’éviter les arnaques. C’est pourquoi, nous nous félicitons de l’ouverture des nouveaux clubs à Abidjan et l’intérieur du pays. Nous faisons allusion à l’ouverture du club de Yamoussoukro, notamment.

Le Krav Maga est une technique d’auto-défense israélienne qui a fait ses preuves. Quel pourrait être l’apport du Krav Maga à la Cote d’Ivoire ?

Au regard de l’insécurité galopante en Cote d’Ivoire et notamment à Abidjan, le Krav Maga, technique d’autodéfense israélienne simple et efficace pourrait être l’une des solutions pour enrayer  l’insécurité, notamment à Abidjan. C’est pourquoi, nous militons pour sa vulgarisation.

Un appel à lancer ?

Nous voulons avant tout remercié le Seigneur qui nous guide tous les jours. Ensuite exprimer notre gratuite à l’égard aux présidents d’honneurs. Respectivement Messieurs Stéphane Ouégnin et Diop Demba pour leur apport inestimable. Aux sponsors, mais aussi au Comité directeur et à toutes les personnes qui de très ou de loin soutiennent la fédération ivoirienne de Krav Maga, et moi-meme, son président, Kouakou Alassane.

Interview réalisée par  Louis Tanin  

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