Lorem Ipsum is simply dummy text of the printing and typesetting industry. Lorem Ipsum has been....
A l’occasion du 12ème sommet extraordinaire des chefs d’Etat et de gouvernement de l’Union africaine qui s’est tenu le dimanche dernier à Niamey, les présidents nigérian et béninois ont officiellement apposé leurs signatures sur le document de la zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAf) qui est entrée dans sa phase opérationnelle.
Parmi les Etats ayant adhéré à l’accord sur la zone de libre-échange continentale de l’Afrique, 27 ont ratifié le dit accord, a annoncé le président de la commission de l’UA, Moussa Faki Mahamat, appelant les retardataires à se mettre rapidement à jour.
Au cours de la cérémonie d’ouverture des travaux qui s’est déroulée au palais des congrès de Niamey, le président Muhammadu Buhari du Nigeria et son homologue béninois, Patrice Talon, ont solennellement paraphé le traité de la ZLECAf, portant à 54 sur 55, le nombre de pays ayant adhéré l’accord depuis le début des signatures, le 21 mars 2018 à Kigali, au Rwanda.
“La ZLECAf ne pourra être effective si l’on n’ouvre pas les frontières aux Africains”, a dit M. Faki Mahamat qui a insisté sur l’impérieuse nécessité de ratifier sur le protocole sur la libre circulation qui est “une condition à la liberté du commerce”.
Selon lui : “Il est paradoxal et inexplicable que les Africains se sentent encore aujourd’hui étrangers chez eux, subissent un régime de visas moins favorable par rapport aux autres citoyens du monde”, a conclu le président de la commission de l’UA.
A noter que la ZLECAF, c’est l’émergence d’un marché de 1,2 milliard de consommateurs et la levée barrières entre pays africains, souligne-t-on.
Mohamed Compaoré
Ouverte le vendredi 21 juin dernier, la 32ème édition de la coupe d'Afrique des nations(CAN) en Egypte a vu de grandes surprises avec la fin des matches du premier tour. L’une des surprises a été la suprématie de l’équipe malgache qui a déjoué tous les pronostics dans la poule B. Et qui vient d’arracher avec brio sont ticket au Congo RDC pour les quarts de finale (2-2/ TAB : 4-2), le dimanche 7 juillet.
Classée parmi les non favoris de cette CAN, l’équipe de Madagascar a surpris plus d’un en survolant sa poule devant la Guinée, le Burundi et le Nigeria (triple champion d’Afrique qu’elle a défait 2-0 en match de poule).
Le dimanche 7 juillet 2019, après un match dantesque, les Malgaches ont arraché leur ticket pour les quarts de finale des mains des Congolais de la RDC. L’équipe de Madagascar a dominé une équipe congolaise de Jean Florent Ibengé(entraineur) manifestement tétanisé par la bravoure et la détermination des Barea. Il ne s'attendait pas à une telle résistance des Barea qui menaient au score jusqu’à 10 minute (90ème min) de la fin(2-1), avant de se faire rattraper sur une tête du Congolais Chancel Mbemba à la suite d'un corner. La prolongation qui n’a pu departager les deux équipes fera place à la séance des tirs au but. A cette épreuve fatidique, les Malgaches se montrent plus adroits que les Congolaiss (TAB : 4-2).
Jamais dans une CAN, on aura vu un tel exploit d'une équipe de surcroire non favorite. Une équipe venue d’une île dont le championnat de football est moins médiatisé et sur qui personne n’a parié est en train de déjouer tous les pronostics. Jusqu’où iront le coach Nicolas Dupuis et ses poulains proches d’une demi-finale pour leur première participation.
Il faut se détromper. Ce n’est pas parce que le président de a CAF est Malgache que les arbitres feraient des largesses aux Barea. Tous les observateurs du football sont unanimes que les Malgaches jouent sans complexe et sans crainte de perdre. Et jusque-là ce « fighting spirit » leur réussit à merveille. Battre sur coup le Nigeria, le Congo… pour se hisser en quarts de finale, pour une première participation à la grande messe du football africain, c’est un exploit. Il fallait le faire. Et les Barea l’ont fait avec la manière. Il ne faudra donc pas s’étonner de voir cette équipe en finale.
Même si les Malgaches en cours de route venaient à perdre de leur superbe, il faudra retenir tout simplement qu'ils auront été héroïques et marqué les esprits pour un premier essai. Ça sera donc sans surprise, si l’équipe malgache venait à être la meilleure équipe de la CAN 2019 et s'adjuger aussi le titre du meilleur entraineur.
Surprenants Barea!
Daniel Coulibaly
Le directeur de cabinet du ministre de l’Environnement et du Développement durable, François Kouablan, était présent a la cérémonie d’ouverture de l’atelier de validation des documents relatifs au cadre légal et institutionnel pour la mise en œuvre des contributions déterminées au niveau national de la Côte d’Ivoire, qui a eu lieu le mardi dernier à cocody.(Abidjan)
A l’issue de cet atelier de trois jours, l’ensemble des travaux devront aboutir à la validation d’un avant-projet de loi sur les changements climatiques, de deux projets de décrets sur la création d’une commission nationale de lutte contre les changements climatiques et de l’agence nationale sur le climat.
Selon le représentant du ministre, il était opportun pour le Côte d’Ivoire de procéder à des études et à l’élaboration des textes juridiques. Et d’annoncer, la création prochaine d’une agence nationale sur le climat et d’une commission nationale de lutte contre les changements climatiques.
Cet atelier réunit une cinquantaine de participants dont des experts en matière de changements climatiques.
M.J
Les ministres en charge de la défense et de la sécurité de l’Initiative d’Accra se sont retrouvés vendredi à Abidjan dans le cadre de leur 5ème réunion, pour faire le bilan de leurs actions communes pour la sécurisation de leur pays.
En présence de son collègue de l’Intérieur et de la Sécurité, Sidiki Diakité ainsi que du grand commandement de l’armée, le ministre d’Etat ivoirien, ministre de la Défense Hamed Bakayoko a salué l’adhésion récente du Bénin, du Mali et du Niger portant ce groupe à sept membres en plus de la Côte d’Ivoire, du Togo, du Ghana et du Burkina-Faso.
Selon lui, cette plateforme, en moins de deux ans, a renforcé la collaboration entre les services de sécurité et permis aux Etats membres de faire avorter plusieurs tentatives de déstabilisation.« La mutualisation des moyens opérationnels et le partage du renseignement apparaissent comme la clé de succès de cette lutte contre le terrorisme et toutes les autres formes de menace », a- t-il indiqué.
Au regard des risques de déstabilisation des Etats par des actes terroristes, les chefs d’Etat ivoirien, Alassane Ouattara et ghanéen, Nana Akufo-Ado ont instruit les ministres chargés de la sécurité d’établir entre eux et entre les différents services de renseignements, un cadre de coopération directe et opérationnelle afin de prévenir la menace du terrorisme dans la sous-région, a-t-on appris.
Il faut noter que la rencontre au sommet en février 2019 à Accra a été sanctionnée par une déclaration commune en 10 points correspondant à des actions prioritaires à mener pour améliorer la situation sécuritaire dans les pays de la sous-région.
Mohamed Compaoré
Dans le cadre de la deuxième conférence des plénipotentiaires de la convention relative à la coopération en matière de protection, de gestion et de la mise en valeur des milieux marins et des zones côtières de la côte de l’Atlantique (Convention d’Abidjan). Quatre protocoles additionnels en rapport avec les milieux marins et côtiers, ont été signés, mardi dernier à Abidjan.
Signée en 1981, la Convention pour la Coopération en matière de protection, de gestion et de développement du milieu marin et côtier de la Côte Atlantique de la région d’Afrique de l’Ouest centrale et australe, appelée la Convention d’Abidjan, couvre une région marine d’un peu plus de 14.000 km.
Le ministre de l’Environnement et du Développement durable, Joseph Séka Séka, assurant la présidence de ces assises, a indiqué que : «il s’agit du protocole additionnel relatif à la gestion intégrée des zones côtières, du protocole additionnel relatif à la gestion durable des écosystèmes de mangroves, de celui relatif aux normes et standards environnementaux pour les activités d’exploration et d’exploitation pétrolières et gazières offshore et, le protocole additionnel relatif à la pollution due aux sources et activités terrestres».
En présence de ses paires venues de 22 pays africains. Il a souligné également que : « Ces protocoles, une fois ratifiés et entrés en vigueur, permettront d’améliorer le cadre de gestion du milieu marin et des zones côtières de notre région », a assuré le ministre.
Le secrétaire exécutif de la Convention d’Abidjan, Abou Bamba, a relevé que : « la côte Atlantique de l’Afrique est riche en ressources naturelles, en biodiversité et en écosystèmes marins parmi les plus productifs et les plus riches au monde».
Il a ajouté aussi que L’objectif de ces protocoles est donc de fournir aux Etats membres des instruments régionaux de coopération visant l’amélioration de la gestion des zones côtières et du milieu marin.
Cependant, de nombreux facteurs naturels et humains comme la pollution, le changement climatique ou encore la croissance démographique, menacent un nombre important de ces écosystèmes fragiles.
De la Mauritanie à l’Afrique du Sud, la Convention constitue un cadre juridique global pour tous les programmes liés à l’environnement marin en Afrique de l’Ouest, centrale et australe.
M.J
Le Président ivoirien, Alassane OUATTARA a reçu en audience ce vendredi 05 juillet 2019, à sa Résidence, le Président de l’Assemblée Nationale du Sénégal, Moustapha NIASSE, qui participe à Abidjan à la 45e Session de l’Assemblée Parlementaire de la Francophonie (APF).
Le Président du Parlement sénégalais, à cette audience, a fait le point des travaux de l’Assemblée Parlementaire de la Francophonie au Chef de l’Etat ivoirien. Notamment l’adoption de l’ordre du jour, du rapport exécutif et du programme pour les deux années à venir.
Il a annoncé également l’élection à l’unanimité, du Président de l’Assemblée Nationale de Côte d’Ivoire, Amadou SOUMAHORO, au poste de Président de l’Assemblée Parlementaire de la Francophonie pour un mandat de deux ans. Lui-même présent à cet entretien.
Pour conclure, Moustapha NIASSE a réaffirmé son amitié, son affection et son attachement au Président Alassane OUATTARA.
M.J
Nous sommes impatients de collaborer étroitement avec le Conseil Café Cacao et le Cocobod afin de réaliser des changements positifs fondamentaux dans le secteur du cacao
Chez Cargill, nous partageons l’ambition, exprimée par les gouvernements de la Côte d’Ivoire et du Ghana, d’améliorer le revenu des producteurs de cacao et d’assurer la durabilité à long terme du secteur.
Nous saluons la volonté des deux gouvernements, d’établir un prix plancher minimum pour les fèves de cacao et affirmons notre engagement à faire davantage pour veiller à ce que cette mesure permette d'accroitre de façon durable les revenus des agriculteurs. Nous sommes impatients de collaborer étroitement avec le Conseil Café Cacao et le Cocobod afin de réaliser des changements positifs fondamentaux dans le secteur du cacao.
Dans le cadre de la « Cargill Cocoa Promise », nous accompagnons les agriculteurs afin qu’ils deviennent de véritables entrepreneurs, qui apprennent à maximiser leur rentabilité, à gérer leurs exploitations comme des entreprises et à obtenir un revenu décent.
Nous travaillons en collaboration avec les gouvernements, un certain nombre de partenaires, ainsi qu’avec les agriculteurs et les organisations paysannes pour augmenter leur productivité, leur rentabilité et leur résilience.
Nous continuons à élargir et à approfondir nos programmes afin que les agriculteurs aient le savoir-faire et les outils nécessaires pour agir en tant que chef d’entreprise et pour qu’ils puissent planifier la durabilité du secteur sur le long terme.
Notre vision est celle d’un secteur du cacao prospère au profit des générations à venir: un système qui permettra aux producteurs de cacao et aux communautés de prospérer, tout en leur assurant un succès commercial à long terme.
SCHIPHOL, Pays-Bas, 3 juillet 2019
La traditionnelle cérémonie de récompenses des Meilleurs artisans Africains de l’émergence du Réseau des Communicateurs pour la République aura lieu le samedi 20 juillet prochain à l'Ivoire Golf club de la Riviera.
Ce 3eme dîner gala Panafricain qui a pour thème: « Impact du programme social du gouvernement au profit des populations acquis, défi et perspectives », permettra selon le Président Directeur Général du groupe RECOR, Paul César Ehouman de célébrer et récompenser au cours de cette prestigieuse soirée d’excellence toutes les composantes structures privées, para publiques et publiques qui ont en charge la mise en œuvre du programme social de notre pays. Et qui le font avec des résultats visibles. A l’image du groupe Agentis, une société médicale.
Le Centre d’oncologie médicale et de radiothérapie, le premier du genre en Côte d’Ivoire réalisé par cette SOCIÉTÉ est opérationnel depuis janvier 2018. Et qui est situé dans la commune de Cocody. Le centre a une capacité d’accueil de 160 à 200 patients par jour. Il compte 4 bâtiments avec des services de radiothérapie et d’oncologie médicale, un laboratoire et une pharmacie.
Bâti sur une superficie de 11 500 m2, le centre a coûté 13,614 milliards de francs CFA. Et travaillera à la sensibilisation, la prévention, le dépistage et les soins. Ainsi que, l’accompagnement des patients pour une réinsertion totale. A côtés de cela, le groupe Aventis est en train de réaliser les CHR d' Aboisso et d’Adzopé.
Le renforcement de sa présence sur le marché marocain, où elle réalise un chiffre d’affaires de 400 millions, reste aussi un axe stratégique pour AGENTIS qui s’est lancé dans plusieurs opérations de croissance externe. En décembre 2018, la société a pris une participation de 25 %, dans Enova Research et Technology, le seul éditeur marocain des progiciels destinés aux établissements de santé.
Quant à la Mugefci, sous la houlette du Président Mesmin Komoé et les membres de sa direction et son conseil d' administration, plusieurs réformes ont permis d' accélérer l'étendue des offres aux mutualistes. Notamment avec des mesures visant l’équilibre du produit « ivoire santé », la mise en circulation de la carte unique, intelligente qui permettra de maîtriser le flux des fraudes et déconvenues dans les prestations et l'arrimage intelligente entre la CNam et la Mugefci qui vient renforcer les offres et prestations des mutualistes fonctionnaires.
Les Premiers responsables de ces entreprises à caractères sociales recevront des distinctions et partageront leurs expériences avec d'autres nominés. Ce sera, à t-il poursuivit : «la nuit de l’excellence des artisans, et entreprises opérant dans le social qui seront à l’honneur »
Notons que ce 3eme dîner gala verra la participation de plusieurs personnalités administratives et politiques de la Côte d' Ivoire et de la sous-région.
Source: Sercom RECOR
“Le Conseil des ministres a décidé de permettre aux citoyens d’entreprendre aisément leurs démarches administratives éventuellement et de circuler librement avec la carte nationale d’identité actuelle en leur possession », a indiqué le porte-parole du Gouvernement.
Sidi Tiémoko Touré, a annoncé, ce mercredi, la reconduction pour un an, c’est à dire ” jusqu’au 30 juin 2020″, des cartes nationales d’identités (CNI) dont la validité expire, pendant la période allant du 1er juin au 30 juin 2019.
Pour le ministre de la Communication et des Médias, en attendant la mise en place de ce nouveau système, cette décision participe à mieux adresser la réforme du système d’identification en Côte d’Ivoire. a rappelé M. Touré, lors d’une conférence de presse, au Palais présidentiel.
Le coût de l’acquisition des nouvelles CNI a été fixé à 5000 francs CFA. La société SEMLEX Côte d’Ivoire a été retenue par appel d’offres à la confection de ces cartes d’identité biométriques
M.J
Nous rappelons à toutes les parties et institutions libyennes qu'elles ont l'obligation de protéger les populations et les infrastructures civiles, au titre du droit international humanitaire
La France condamne les frappes qui ont touché, pour la deuxième fois depuis le début de l'offensive à Tripoli, le centre de détention de Tajoura et qui ont cette fois causé la mort de plus de 40 migrants et en ont blessé plus d'une centaine.
Nous rappelons à toutes les parties et institutions libyennes qu'elles ont l'obligation de protéger les populations et les infrastructures civiles, au titre du droit international humanitaire. Il leur incombe également dans ce cadre de garantir un accès humanitaire sûr et sans entraves.
À la suite de ce drame, la France appelle à nouveau les parties à une désescalade immédiate et à la cessation des combats. Elle demande, parallèlement, le retour rapide au processus politique sous les auspices des Nations unies. Elle soutient pour cela les efforts du Représentant spécial du Secrétaire général des Nations unies Ghassan Salamé.
PARIS, France, 3 juillet 2019
porte-parole Quai d'Orsay