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Le 18 ème forum de “l’Africain growth opportunity act” (AGOA) s’est ouvert lundi à Abidjan, en présence du président de la République Alassane Ouattara. Ces assises sont placés sous le thème, « l’AGOA et l’Avenir: Développement d’un nouveau paradigme pour orienter les relations commerciales et les investissements entre les Etats-Unis et l’Afrique ».
Au total, 36 pays sur les 39 éligibles dont 29 pays représentés par les ministres en charge du Commerce, sont présents en Côte d’Ivoire pour ce forum.
Pour le ministre ivoirien du Commerce, de l’Industrie et de la Promotion des PME, Souleymane Diarrassouba, ce forum d’Abidjan permettra d’identifier les défis spécifiques à relever respectivement dans les différents pays de même que ceux à relever dans l’ensemble de l’Afrique, en vue d’effectuer un “bond qualitatif” dans l’utilisation de l’AGOA dans les années à venir.
En prélude à la cérémonie d’ouverture, des forums de la société civile, du secteur privé et une réunion consultative des ministres africains du commerce se sont tenus dimanche. Plus de 1000 participants sont enregistrés à ce forum également marqué par l’organisation d’une foire des produits éligibles à l’AGOA, avec plus de 50 exposants.
L’AGOA est une loi américaine sur la croissance et les opportunités de développement en Afrique, votée et promulguée en mai 2000 par le Congrès américain, sous l’égide du président Bill Clinton. Cette loi permet aux pays de l’Afrique subsaharienne d’exporter sur le marché américain sans droit de douanes. Le forum d’Abidjan s’achève mardi.
M.J
La 18ème édition du Sommet sur la Loi sur la Croissance et les Opportunités de Développement en Afrique (AGOA), s’est ouverte sur le thème « L’AGOA et l’Avenir: Développement d’un Nouveau Paradigme pour Orienter les Relations Commerciales et les Investissements entre les Etats-Unis et l’Afrique ». Deux forums sur la société civile et sur le secteur privé ont marqué l’ouverture du sommet.
Le Forum de la Société Civile a été lancé par Matthew Harrington, le Sous-Secrétaire d’Etat Adjoint Américain aux Affaires Africaines, et Ramata Ly-Bakayoko, Ministre Ivoirienne de la Femme, de la Famille, et de l’Enfant.
Acteurs de la Société Civile, et bénéficiaires de programmes initiés par les Etats-Unis, à savoir le African Women Entrepreneurship Program (AWEP), et l’Initiative pour les Jeunes Leaders Africains (YALI), ont participé à la rencontre, qui a porté sur le rôle du numérique et de l’égalité économique dans l’essor des femmes et des jeunes entrepreneurs. Il a également été question de l’impact de la corruption sur le commerce national et international, et de l’adoption d’une nouvelle vision dans la préparation des pays africains à l’exportation vers les Etats-Unis.
Dans son message d’ouverture, Matthew Harrington a déclaré qu’à travers des programmes tels que le YALI, les États-Unis sont engagés à autonomiser la future génération de jeunes leaders africains, en les aidant à tirer profit de leur talent et de leur esprit d'entreprise. Ambassadeur Harrington a ajouté que l’autonomisation économique des femmes est une priorité pour les Etats-Unis aux niveaux les plus élevés. « Quand les femmes sont autonomisées économiquement, ceci produit un effet multiplicateur qui renforce la stabilité, la sécurité et la prospérité des familles, des communautés et des pays,» a souligné le Sous-Secrétaire d’Etat Adjoint.
Le second forum de la journée, celui du secteur privé, a été ouvert par Florizelle Liser, la Présidente Directrice Générale du Conseil des Entreprises pour l’Afrique, qui a co-organisé la rencontre avec la Confédération Générale des Entreprises de Côte d’Ivoire (CGECI).
Seward Jones, le Sous-Secrétaire Adjoint pour le Moyen-Orient et l’Afrique au Département du Commerce des États-Unis, a déclaré que le gouvernement des États-Unis s’est engagé à promouvoir les investissements et le commerce avec les pays africains à travers l’initiative Prosper Africa, qui facilitera les échanges commerciaux et réduira les barrières au commerce.
Abidjan, 4 aout 2019
L’association Médias pour la science et le développement (MSD), une organisation regroupant des journalistes scientifiques ivoiriens, a entamé lundi, une campagne de sensibilisation auprès des centres de recherches du pays, visant à exhorter les chercheurs à collaborer davantage avec les médias en communiquant sur leurs résultats de recherche.
Cette initiative dénommée Projet de sensibilisation à la vulgarisation scientifique (PSVS), va s’étendre sur un mois. Elle vise à visiter des centres de recherches, des sociétés savantes, des administrations et institutions concernées par la gestion et le développement de la recherche, afin de les encourager à collaborer avec les journalistes.
« Nous pensons que sans la science, il n’y a pas de développement. Le public a besoin du savoir or le savoir se trouve avec les chercheurs. Les chercheurs doivent donc s’ouvrir davantage aux journalistes pour que leurs résultats de recherche soient sus du grand public, voire des décideurs », explique le président de l’association MSD, Mamadou Traoré.
M. Traoré, par ailleurs, rédacteur en chef à l’AIP, estime que les thématiques science, santé et environnement, méritent un traitement plus accru dans les médias ivoiriens. « Ce qui ne saurait se faire sans une véritable ouverture des chercheurs vis-à-vis des journalistes scientifiques et vice versa », relève-t-il.
Le président de MSD qui a pris part, début juillet, à la 11ème Conférence mondiale des journalistes scientifiques (WCSJ2019) à Lausanne (Suisse), entend, avec son association, profiter de cette tournée pour faire une restitution des recommandations des travaux de ces assises, notamment en matière de sensibilisation des masses à la culture scientifique.
Créée en février 2019, l’association Médias pour la Science et le Développement comprend aussi bien des journalistes ivoiriens que des communicateurs et chercheurs, et est ouverte à toute personne œuvrant à la vulgarisation scientifique.
Elle prévoit des projets de formation aux notions de base de journalisme scientifique mais aussi sur le traitement des sujets d’information liée à la science, la santé et l’environnement, et des excursions scientifiques.
(AIP)
L’union des professionnels de la communication et des médias de Cote d’ivoire(UMPCI) a tenu ses assises le samedi 3 août 2019 à la Maison de la presse d’Abidjan, sous le thème : «Quelle stratégie pour l’épanouissement des professionnels du monde de la communication et des médas ».
Ces assises devraient permettre de porter des réflexions sur le fonctionnement de l’union afin de trouver des solutions durables à l'épanouissement de ses membres pour en faire des acteurs de développement.
Pour le président de l’UMPCI, Ben Kader K, l’heure est, en effet, à la redynamisation de l’union pour le bien-être et l’épanouissement de ses membres.
" Il est important de faire des professionnels de la communication et des médias des acteurs indispensables et incontournables dans leur métier", a-t-il dit.
M. Bony Claver représentant de l’UNESCO a indiqué que les acteurs de la communication et des médias ont un rôle important à jouer dans le développement de la société. Car ils sont aussi des garants moraux de la paix, la cohésion sociale et la stabilité...dans un pays à travers leurs reportages et écrits. C’est pourquoi, il a invité le président Ben Kader à initier des programmes de formation pour ses membres. Avant d’exprimer la disponibilité de l’organisme à accompagner leurs actions.
M. Bony Alain Claude, directeur des affaires financières de l’AGEDI(Agence de gestion et de développement des infrastructures industrielles), et représentant du parrain, M. Ouattara Youssouf, directeur général de ladite agence, a exhoté les membres de l’UMPCI au professionnalisme dans leur métier. « Professionnalisme et rigueur » afin d’apporter la vie, la paix et la cohésion sociale, a-t-il conseillé.
Notons que l’UMPCI a été créée en 2008, Soum St Felix a été le premier président et le deuxième Rash N’guessan Kouassi de la RTI.
Daniel Coulibaly
La Fondation Friedrich Naumann a lancé vendredi le projet dénommé « Bab’ Innov», destiné à l’appui de l’innovation et aux structures d’accompagnement de l’entrepreneuriat (startups et micro-entreprises) en Côte d’Ivoire, au cours d’un déjeuner-presse à Abidjan.
Objectif : soutenir le développement de l’écosystème de l’innovation en travaillant sur la professionnalisation (renforcement des capacités et la mise en réseau) de structures spécialisées dans l’accompagnement de l’entrepreneuriat en Côte d’Ivoire.
Pour la mise œuvre de ce projet un comité de pilotage a été mis sur pied. Il est composé de la Fondation Friedrich Naumann, Agence emploi jeunes, Agence Côte d’Ivoire PME et des personnes ressources dont Alex Sia de Idia Africa, Malik Bakayoko de Inovis, Fatou Diop de Colab et Jean Patrick Ehouman...
Ses actions vont consister à la réalisation de plusieurs activités, comme l’a indiqué Magloire N’déhi, chargé de programmes à la fondation, lors de la présentation dudit projet, notamment Abidjan business angels(marché de capitaux), mise en place d’une plateforme digitale, Falling Wall Lab(concours de la meilleure innovation entrepreneuriale), Babi entrepreneurship week, identification cartographique des structures d’accompagnement et de création d’un annuaire pour celles-ci, un concours de meilleures structures d’accompagnement, etc.
Dans le cadre de ce projet, il ne s’agit pas de financer une entreprise quelconque, mais d’accompagner les structures existantes qui aident à l’entrepreneuriat, a précisé Sophie Konaté, cheffe de bureau de la fondation en Côte d’Ivoire,
Le Dr Joachim Holden, directeur régional Afrique de l’ouest de la Fondation, a soutenu que ce projet vient pour renforcer l’écosystème entrepreneurial ivoirien, en vue de promouvoir l’émergence de start-up viables, pouvant constituer un début de solutions aux problèmes d’emplois. «Nous avons plusieurs actions prévues pour aider au développement économique de la Côte d’Ivoire », a-t-il ajouté.
Michael Grau, l’ambassadeur de l’Allemagne à Abidjan, a évoqué un certain nombre de structures allemandes en Côte d’Ivoire pour soutenir le développement économique du pays, en apportant leur appui technique et financier.
L’Etat de Côte d’Ivoire soutient le projet « Bab’ Innov » à travers ses ministères de la Promotion de la jeunesse et de l’emploi des jeunes, de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique et le secrétariat d’Etat chargé de la promotion des PME. Le volet technique est assuré par l’Agence emploi jeune et l’agence Côte d’Ivoire PME et sa mise en exécution par la plateforme des structures d’accompagnement des start-up et micro-entreprises. La période de mise en œuvre s’étend sur 6 mois (Juillet à décembre 2019). A la fin, il sera confié au gouvernement ivoirien qui lui donnera une pérennité.
Daniel Coulibaly
L'opposant béninois Lionel Zinsou, arrivé second à la dernière élection présidentielle, a été condamné vendredi à Cotonou à cinq ans d'inégibilité et six mois d'emprisonnement avec sursis pour usage de faux documents, selon une source judiciaire.
Lionel Zinsou, ancien Premier ministre qui vit en France, a été condamné "à cinq ans d’inéligibilité pour toutes les élections à venir en République du Bénin, à six mois d’emprisonnement assorti de sursis", a déclaré une source du tribunal de Cotonou qui l'a jugé.
Il est accusé d'avoir masqué ses dépassements de compte de la campagne électorale de 2016 en utilisant de "fausses attestations ou un certificat falsifié", note cette source.
Le procès contre Lionel Zinsou, grand rival de l'actuel président Patrice Talon, a démarré il y a environ deux mois, mais il n'a pas assisté aux audiences.
De nombreux observateurs locaux et internationaux dénoncent régulièrement un tournant autoritaire du président Patrice Talon, élu en avril 2016, dans un pays réputé pour être un exemple démocratique en Afrique de l'Ouest.
La grande majorité des opposants à M. Talon vivent désormais en exil, déjà condamnés en leur absence ou craignant des mesures judiciaires à leur encontre s'ils reviennent au Bénin.
Condamné à 20 ans de prison pour trafic de drogue, Sébastien Ajavon, président du patronat béninois et richissime homme d'affaires qui vit également en France, a été condamné à 20 ans de prison dans une sombre affaire de trafic de cocaïne et un mandat international a été lancé contre lui.
Fin juin, l'ancien président Boni Yayi, qui avait violemment condamné les dernières élections législatives tenues en avril dernier et auxquelles l'opposition n'a pas pu présenter de listes, a été forcé à l'exil dans une destination inconnue après deux mois de siège des forces de l'ordre autour de son domicile.
Des manifestations ont éclaté début mai et mi-juin dans des bastions de l'opposition et ont été réprimées dans le sang, faisant une dizaine de morts par balles.
AFP
Le Bénin s’apprête à recevoir quelque 26 objets volés par la France, qui seront conservés dans un musée à construire, mais l’ironie et le rebondissement qui entourent le musée sont assez intrigants.
Plusieurs pays européens ont restitué des objets volés à des pays africains d’où ils provenaient à l’origine, le Bénin se joint à la liste en accueillant cette nouvelle livraison de son maître colonial, la France.
Le pays cherche à construire un musée pour ces 26 artefacts, qui comprend le trône du roi Ghezo d’Abomey, qui date du début du XIXe siècle. Pour pouvoir le construire, le pays prend un prêt du pays même qui restitue les artefacts, la France.
En novembre 2018, le Président Emmanuel Macron a annoncé la décision historique de restituer les œuvres d’art prises par les troupes françaises il y a plus d’un siècle et conservées au musée du quai Branly à Paris.
Les objets seront gardés dans les palais royaux d’Abomey, une ville du sud du Bénin, où les vitrines actuelles sont recouvertes de poussière.
Mais le responsable local du tourisme, Gabin Djimasse, espère que les choses vont prendre un tournant positif avec le retour des 26 artefacts et la construction d’un nouveau musée pour les conserver.
« Ces objets sont une chance pour la survie du site. Ils nous permettront de construire un nouveau musée et de rendre les palais royaux plus économiquement viables », a déclaré Djimasse à l’AFP.
Un prêt de 20 millions d’euros de l’Agence française de développement financera le nouveau musée qui rendra le site du patrimoine mondial de l’UNESCO de 47 hectares plus attrayant pour les visiteurs.
Ancien fonctionnaire de l’UNESCO, Godonou a déclaré à l’AFP que la préparation de la restitution des objets a été un « but » de sa vie.
Mais il a insisté sur le fait que le Bénin doit encore adopter un cadre juridique complet pour protéger le patrimoine.
M. Godonou a dit que le Bénin veut « réclamer ses droits de propriété » sur toutes les œuvres d’art détenues à l’étranger, même si cela ne signifie pas qu’il faille les renvoyer définitivement chez elles.
« Nous voulons que les œuvres se déplacent, c’est notre philosophie. En fin de compte, ils font partie du patrimoine mondial », a-t-il expliqué.
Les experts estiment que jusqu’à 90 % de l’art africain se trouve hors du continent, y compris les statues, les trônes et les manuscrits. Des milliers d’œuvres sont conservées dans un seul musée, le musée du quai Branly à Paris, ouvert en 2006 pour présenter l’art non européen, dont une grande partie provient des anciennes colonies françaises.
Source : Afrikmag
L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a fait un don au ministère de la Santé et de l’Hygiène publique. Composé de médicaments de prise en charge des Maladies Tropicales Négligées (MTN) et du matériel pour la qualité des soins à la mère et au nouveau-né, ainsi qu’à la planification jeudi, au cours d’une cérémonie présidée par le ministre de la Santé et de l’Hygiène publique, Dr Aka Aouélé, au siège du Programme national de lutte contre les maladies négligées à Chimiothérapie préventive (PNLMTN-CP).
d’une valeur totale de 544.222.500 francs, Il s’agit dans les détails de six tonnes d’anthelminthique, de 283 kg de médicaments de lutte contre l’ulcère de Buruli, de 170 kg de médicaments pour l’élimination de la lèpre, de l’albendazole, de l’ivermectine, de l’azithromycine et de la tétracycline.
Au niveau de la santé mère-enfant et de la planification, l’OMS a remis 45 chariots de soins de la mère et de l’enfant, 30 dispositifs de lavage des mains, 45 kits d’insertion du dispositif intra-utérin et 14 mannequins « Maman U ».
Selon son représentant résident, Jean-Marie Vianney Ouédraogo, l’Organisation ne compte pas s’arrêter là. Elle rassure le gouvernement ivoirien de son engagement, de concert avec tous les partenaires de la santé, de l’accompagner pour agir plus vite afin de réduire l’impact des maladies tropicales négligées et la mortalité maternelle en Côte d’Ivoire.
L’OMS encourage tout de même le gouvernement ivoirien à poursuivre ses efforts afin que ces médicaments atteignent effectivement ceux qui en ont le plus besoin, quel que soit le lieu de résidence. Car, dans cette lutte contre les maladies tropicales négligées « personnes ne doit être laissé à côté », a-t-il insisté
Réceptionnant l’important don, le ministre Aka Aouélé a remercié l’OMS et salué le soutien des partenaires techniques et financiers qui se confirme et s’intensifie au quotidien, donnant de sérieuses raisons d’espérer et de croire de la résilience du système de santé.
Il a saisi l’occasion pour féliciter et encourager tous ces partenaires techniques et financiers qui accompagnent le gouvernement dans la lutte contre la maladie en générale et singulièrement contre les maladies négligées et la réduction de la mortalité de la mère et de l’enfant. Engageant le PNLMTN-CP, dirigé par Abdoulaye Méité, à donner le meilleur afin d’utiliser de façon efficiente et efficace, les médicaments et matériels pour le bien-être et le bonheur des populations.
Les maladies tropicales négligées (MTN) sont un groupe de 20 maladies notamment la lèpre, l’ulcère de Buruli, le pian, le ver de Guinée, la trypanosomiase et bien d’autres affectant principalement, de manière constante et grave, les communautés les plus pauvres et les plus marginalisées. Elles touchent près d’un milliard de personnes à travers le monde, dont 40% d’africains.
M.J
Le Ministère de la Santé et de l’Hygiène Publique (MSHP) et l’Agence des États-Unis pour le développement international (USAID) ont pris part, le mercredi 31 juillet dernier à Abidjan, à l’atelier de clôture du projet MEASURE Evaluation IV financé par le Plan d'urgence du président américain pour la lutte contre le SIDA (PEPFAR) à travers l’USAID.
Cet atelier qui conclut l’assistance technique des États-Unis au gouvernement de Côte d'Ivoire visait à partager les principaux résultats et les leçons apprises du projet et à relever les défis et perspectives du système d’information sanitaire de Côte d’Ivoire.
Avec un soutien financier de l’USAID de 21 millions de dollars sur 15 ans, le projet MEASURE Evaluation IV a été mis en œuvre en collaboration avec le MSHP à travers le Programme national de lutte contre le SIDA, le Ministère de la Femme, de la Famille et de l'enfance et le Ministère de l'Education Nationale.
Les projets multiformes pour développer et déployer des systèmes d'information de santé de qualité ont fourni au gouvernement ivoirien des informations sanitaires stratégiques en général, et des données sur le VIH en particulier, grâce au développement et à l’alignement de systèmes d’information pour la logistique des médicaments, les données cliniques et la gestion globale des programmes de santé.
Grâce au projet MEASURE Evaluation IV, la Côte d’Ivoire peut désormais se vanter d'un système d'information de santé de haute qualité. avec des outils de collecte de données normalisés et procédures de qualité des données.
Désormais, les informations nationales sur la santé sont intégrées et contribuent à améliorer la prise de décisions dans le système de prestation de santé sur la base de données factuelles.
Une autre réalisation remarquable et de grande portée a été la sélection et le déploiement à l’échelle nationale de la plateforme logicielle du district d’information sanitaire DHIS (District Health Information Systems) 2 pour stocker des données de santé agrégées aux fins d’analyse, afin de fournir une image fidèle de la santé dans le pays.
Le système intégré et les interventions de renforcement des capacités individuelles et institutionnelles fournies par MEASURE Evaluation, l'utilisation d'informations stratégiques à différents niveaux du système de santé ont notamment permis d'améliorer les services de prévention et de prise en charge des personnes vivant avec le VIH.
M.J
Autour du thème «l’Afrique face aux défis de l’émergence : s’unir pour réussir», la Côte d’Ivoire est très mobilisées pour la Semaine Ivoirienne de Dakar (SID) qui se tiendra du 8 au 17 août 2019 au grand théâtre de la capitale sénégalaise.
cette semaine a pour but de promouvoir la Côte d’Ivoire par la valorisation de son potentiel économique à travers des échanges inter et intra-économiques et culturels, a expliqué Charles Bogui-Sakré, Directeur général G à D Event, agence d’implémentation de l’évènement,
Placé sous le haut patronage du Premier ministère, Amadou Gon Coulibaly, et le parrainage de l’Inspecteur d’Etat, Théophile Ahoua N’Doli, l’événement vise également à faire découvrir le dynamisme économique des entreprises ivoiriennes et favoriser leur mise en œuvre en relation avec leurs homologues sénégalais et tout autre pays qui souhaitent faire des transactions avec la Côte d’Ivoire.
Véritable outil d’intégration sous régional, cette rencontre permettra de créer une plateforme culturelle permettant aux artistes les plus représentatifs de leur culture de se produire et de se manifester dans le respect de la diversité, a souligné M. Bogui-Sakré,
Avec un public diversifié constitué majoritairement de la diaspora ouest-africaine, la semaine accueillera environ 50.000 personnes pour sa deuxième édition.
A noter que la première édition, en août 2018, s’était déroulée autour du thème, «La monnaie électronique, moteur de développement de l’inclusion financière dans la zone UEMOA: Cas du Sénégal et de la Côte d’Ivoire ».
M.J