Contenu - LA DIPLOMATIQUE D'ABIDJAN
LDA Journaliste

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La Côte d’Ivoire va soutenir la candidature Akinwumi Adesina pour un second mandat à la tête de la Banque Africaine de Développement (BAD). L’information a été donnée jeudi 05 septembre le Président de la République, Alassane OUATTARA, lors du 1er Conseil des Ministres de la nouvelle équipe gouvernementale.

« (…) je voudrais indiquer que le Ministre Adama Koné, anciennement Ministre de l’Economie et des Finances, a été nommé Ministre auprès du Président de la République chargé des Affaires Économiques et Financières en vue de représenter notre pays, en tant qu’Administrateur, à la Banque Africaine de Développement (BAD), pour soutenir le Nigéria dans la quête du renouvellement du mandat du Président Akinwumi Adesina », a-t-il déclaré.

Selon le président ivoirien, il « fait un excellent travail » à la tête de cette institution panafricaine de développement.

Élu le 28 mai 2015 à la tête de la BAD, Adesina avait annoncé le 14 juin dernier à Malabo sa candidature à sa propre succession pour un second mandat lors de la clôture des travaux des 54èmes Assemblées annuelles du Groupe de la BAD.

Il faut savoir que la prochaine élection aura lieu à son siège à Abidjan en 2020, lors des 55è Assemblées annuelles du Groupe de la BAD.

M.J

Comment

Les PDG africains continuent de chercher des opportunités de croissance dans un contexte d’incertitudes économiques et sociopolitiques, selon le rapport Africa Business Agenda de PwC (PricewaterhouseCoopers LLP). L’Agenda compile les résultats d’un sondage effectué auprès de 83 PDG dans 19 pays africains. PwC est présente dans 34 pays d’Afrique et possède 66 bureaux. Avec une équipe de direction unique pour l’Afrique et plus de 400 partenaires et 9 000 professionnels sur le continent africain.

Les chefs d’entreprise africains sont moins optimistes qu’il y a un an concernant la vigueur de l'économie mondiale et la capacité de leurs entreprises à augmenter leurs revenus. Tant sur le court terme que sur le moyen terme. Un quart des PDG africains (25 %) pensent que l'économie mondiale connaîtra un déclin au cours des 12 prochains mois.

Voici quelques-unes des principales conclusions de la 7e édition (2019) du rapport Africa Business Agenda de PwC, publié le 4 septembre, à l’occasion du Forum économique mondial sur l'Afrique, un événement biannuel qui se tient au Cap, en Afrique du Sud.

L’inquiétude au sujet de la croissance économique mondiale a également entamé la confiance des PDG concernant les perspectives de leurs propres entreprises sur le court terme, 27 % seulement des PDG déclarant être « très confiants » quant aux perspectives de croissance des revenus de leurs propres entreprises au cours des 12 prochains mois. Par ailleurs, ils ne sont que 39 % à être « très confiants » quant aux perspectives de croissance de leurs entreprises au cours des trois prochaines années.

Commentant les conclusions du sondage, Dion Shango, PDG de PwC Africa, a déclaré…

« Alors qu’ils portent leurs regards vers l’année à venir, les PDG africains sont moins confiants quant aux perspectives de l’économie mondiale qu’ils ne l’étaient il y a un an. Ils ont le même sentiment lorsqu’ils examinent les perspectives de croissance de leur propre entreprise.

« En Afrique, les incertitudes économiques et politiques, entre autres problèmes, remettent en question les espoirs de croissance immédiate et future des chefs d'entreprises. Bien que l’on assiste à une baisse de l’optimisme, les chefs d'entreprises africains voient quelques opportunités sur le continent mais, globalement, ils font preuve de prudence. »

L’Agenda compile les résultats d’un sondage effectué auprès de 83 PDG dans 19 pays africains. Les résultats sont comparés aux conclusions du 22e sondage annuel mondial des PDG de PwC, effectué auprès de plus de 1 300 PDG au 4e trimestre 2018. L’Agenda fournit une analyse approfondie et des réflexions sur la manière dont les entreprises s’adaptent pour relever les défis liés à l’exercice d’activités en Afrique.

Malgré la conjoncture économique actuelle et d’autres difficultés, les chefs d’entreprises affichent un optimisme certain concernant le potentiel de libération de davantage de croissance sur le continent. Alors que les États-Unis, la Chine et le Royaume-Uni continuent d’être les principaux marchés traditionnels pour les opportunités de croissance, il convient de noter que 20 % des PDG africains « ne savent pas » vers quoi d’autre se tourner pour obtenir de la croissance et 5 % déclarent qu’il n’y a « aucun autre pays » vers lequel ils pourront se tourner. Le rapport suggère que cela pourrait refléter la conjoncture économique et politique actuelle.

 Principaux risques liés à l'exercice d’activités en Afrique

Les incertitudes économiques, sociales et politiques persistantes sont une source d’inquiétude permanente pour les PDG dans le monde entier. Et les PDG africains sont tout autant concernés. Les préoccupations relatives à l’incertitude politique, à la pénurie de compétences, à la réglementation excessive et à la volatilité des taux de change sont en tête de la longue liste de risques causant de l'anxiété chez les PDG de toutes les régions.

Ce qui ressort de ces conclusions est le fait que la proportion de PDG africains se déclarant « extrêmement préoccupés » par ces questions est systématiquement supérieure à celle de leurs homologues mondiaux. Bien que cela soit troublant tant pour les entreprises que pour les pays dans lesquels elles opèrent, il convient de noter que la proportion de PDG inquiets a, dans de nombreux cas, baissé par rapport à notre précédent sondage. Par exemple, 39 % des PDG africains s’inquiètent de l’instabilité sociale en 2019 (18 % au niveau mondial), un chiffre en nette amélioration par rapport aux résultats de l’an dernier (50 %), suggérant que, dans de nombreux pays, les conditions sont « moins mauvaises » qu’auparavant.

Les principales sources d’inquiétude des PDG africains sont les menaces sociopolitiques et économiques, ils sont « extrêmement préoccupés » par les incertitudes entourant la croissance économique (41 % pour l’Afrique ; 24 % au niveau mondial), le chômage (33 % pour l’Afrique ; 13 % au niveau mondial), le populisme (33 % pour l’Afrique ; 28 % au niveau mondial), la volatilité des taux de change (42 % pour l’Afrique ; 26 % au niveau mondial) et le manque d'infrastructures de base (35 % pour l’Afrique ; 17 % au niveau mondial).

Concernant les menaces au niveau commercial, 43 % des PDG africains (contre 35 % au niveau mondial) déclarent être « extrêmement préoccupés » par une réglementation excessive, 35 % (30 % au niveau mondial) ont cité les cybermenaces et 45 % (34 % au niveau mondial) sont « extrêmement préoccupés » concernant la disponibilité de compétences clés.

Conflits commerciaux et accords commerciaux

Il importe de souligner que les conflits commerciaux et le protectionnisme ne figurent pas dans la liste des dix principales préoccupations en Afrique. En fait, peu de pays d’Afrique sont susceptibles de bénéficier des tensions commerciales dans d’autres zones géographiques. Bien que certaines de ces questions constituent des obstacles aux affaires et au commerce, de nouvelles perspectives de croissance des revenus se présentent du fait de nouveaux accords commerciaux. Alors que le reste du monde est impliqué dans des conflits commerciaux, les pays africains cherchent à ouvrir leurs marchés au commerce. L’Accord de libre-échange continental africain (AfCTA) est au centre de cette activité. L’accord établit la Zone de libre-échange continentale, la plus importante au monde en termes de pays participants depuis la création de l'Organisation mondiale du commerce en 1992.

En règle générale, les pays africains échangent peu entre eux. Aujourd’hui, le commerce en Afrique représente moins de 3 % du commerce mondial. Les faibles chiffres du commerce s’expliquent par plusieurs problèmes, à savoir une insuffisance des infrastructures sur le continent, des droits de douane élevés sur les importations, la bureaucratie et le fardeau administratif. Ainsi que des problèmes aux postes frontières.

« Pour stimuler la croissance économique sur le continent, il est vital que les pays africains améliorent leurs échanges commerciaux et investissent dans les infrastructures afin de favoriser le commerce », a déclaré M. Shango.
 Plans pour la croissance et l’expansion

Une proportion importante de PDG africains (93 %) sont « assez confiants » ou « très confiants » quant aux perspectives de croissance des revenus de leur entreprise au cours des trois prochaines années. Un chiffre supérieur à la moyenne mondiale qui s’établit à 85 %. Face aux incertitudes entourant les marchés actuels, les PDG se tournent vers l'intérieur pour stimuler la croissance de leurs revenus.

Comme principaux facteurs de croissance des revenus, les PDG africains ont identifié l’efficacité opérationnelle (80 % pour l’Afrique ; 77 % au niveau mondial), la croissance organique (76 % pour l’Afrique ; 71 % au niveau mondial) et le lancement d’un nouveau produit ou service (58 % pour l’Afrique ; 62 % au niveau mondial).

Seulement 36 % des PDG africains (37 % au niveau mondial) ont affirmé qu’ils chercheraient à pénétrer un nouveau marché dans leur quête d’une croissance de leurs revenus.
 

Progrès technologiques et données

Les forces de la mondialisation et des technologies transforment le milieu de travail. Un fort pourcentage de PDG africains (83 %) classent les progrès technologiques parmi les trois plus grandes tendances ayant transformé le plus le milieu du travail ces cinq dernières années.
Malgré les importants investissements réalisés dans la technologie, les PDG ont identifié un écart énorme entre les données dont ils ont besoin pour prendre des décisions éclairées et la pertinence des données qu’ils reçoivent. Les PDG africains affirment que les principales raisons de cela sont la compartimentation des données et un manque de partage des informations (59 % pour l’Afrique ; 51 % au niveau mondial). Ainsi que la faible fiabilité des données (57 % pour l’Afrique ; 50 % au niveau mondial).

La plupart des PDG en Afrique adoptent une approche attentiste à l'égard de l’utilisation de l’intelligence artificielle (IA) dans le milieu du travail. Actuellement, 35 % (23 % au niveau mondial) des PDG n’ont aucun plan en place pour mener dès maintenant des initiatives dans l’IA. Mais, ils sont 46 % (35 % au niveau mondial) à prévoir de lancer des projets d’IA au cours des trois prochaines années. Les chefs d'entreprises africains se tournent vers les gouvernements pour les aider dans la gestion de l’IA. La plupart des PDG (76 % pour l’Afrique ; 65 % au niveau mondial) pensent que les gouvernements devraient inciter les entreprises à reconvertir les travailleurs dont les emplois sont automatisés par l’IA.

Shango conclut 

« Alors que les événements sociaux, politiques et économiques font évoluer les conseils d’administration, les PDG africains doivent progresser pour apporter une contribution significative et rétablir la confiance pour le long terme. Les entreprises ont un rôle essentiel à jouer pour instaurer et entretenir la confiance dans la société, et les PDG se doivent d’assumer les responsabilités et favoriser la confiance qui en résulte. »

M.J

 

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Le gouvernement de la Guinée équatoriale, représenté par le ministère de l'Économie, des Finances et du Plan, a mené à bien sa mission lors du 28e Forum économique mondial sur l'Afrique, qui s'est tenu la semaine dernière au Cap, en Afrique du Sud.

le ministre Cesar Mba Abogo a dirigé une équipe de responsables qui ont rejoint plus de 1 500 dirigeants régionaux et mondiaux pour discuter de la manière dont l'innovation, la coopération, la croissance et la stabilité peuvent contribuer à la création d'un avenir durable pour l'Afrique.

Il a également vanté les indicateurs économiques favorables en Guinée équatoriale et les efforts en cours pour renforcer le commerce régional et stabiliser la monnaie de l’Afrique centrale, le CFA.

« La présence de la Guinée équatoriale au Forum économique mondial a été une excellente occasion de faire progresser les intérêts économiques de notre pays, de mobiliser les investisseurs et les partenaires de développement stratégiques », a déclaré le ministre.

« Les indicateurs macro-économiques pour la Guinée équatoriale et la région élargie de la CEMAC semblent très positifs grâce à la stabilité des prix du pétrole et aux ajustements budgétaires majeurs qui ont amélioré notre capacité à mobiliser des ressources », a ajouté le ministre.

Selon M. Mba Abogo, « Nous créons pour nos citoyens une valeur qui représente un avantage financier énorme pour nous. La Guinée équatoriale perçoit plus d'impôts et de redevances, ce qui montre un redressement complet depuis l'effondrement du prix du pétrole en 2014», a-t-il fait savoir.

Durant le forum, le ministre a présenté la feuille de route du pays en vue de la réalisation de la quatrième révolution industrielle. Il a également vanté le succès des trois conférences sur l'investissement organisées en Guinée équatoriale cette année.  Ainsi que l'amélioration du climat des affaires dans le pays et les efforts historiques déployés pour accroître la disponibilité de statistiques précises et mises à jour sur le pays et son économie.

Le ministre a également évoqué l’importance de l’adhésion de la Guinée équatoriale à l’Opep, dont les réductions historiques de la production pétrolière ont permis de stabiliser les prix du pétrole et de ramener le secteur à une nouvelle phase d’investissement.

« Nous ne pouvons pas exagérer l'énorme valeur que représente l'Opep pour la Guinée équatoriale », a déclaré le ministre. Et de poursuivre : « Pour les pays comme le nôtre qui dépendent des revenus pétroliers pour alimenter la croissance économique, il est essentiel que nous puissions nous faire entendre au sein d'organisations qui nous permettent d'avoir un impact mondial et nous aident à contrôler notre propre destin».

il a indiqué qu’avec la signature de l'AFCFTA et la nécessité de développer une classe moyenne plus forte et de sortir les gens de la pauvreté, la Guinée équatoriale sera plus compétitive et plus indépendante que jamais.

« Lorsque nous collaborons avec nos investisseurs, nous créons plus d’emplois pour nos citoyens, et atteindrons ainsi notre objectif de construire un pays où tout le monde profite de la croissance que nous créons ensemble», a-t-il conclut.

M.C

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La 3e édition du SICA (Salon International du Café-Cacao-Cajou), se tiendra aux Etats-Unis du 12 au 14 Décembre. Mme Kassi N. Marie-Rolande épse Yedess, promotrice de l’évènement, dans cette interview accordée à LDA, donne plus de précisions.

 

LDA: Présentez-nous votre structure

KMR: PROVIDENCE VOYAGES et SERVICES est une branche de Providence services, entreprise de droit ivoirien qui est spécialisée dans deux (02) activités principales. A savoir la gestion des voyages et la délivrance de toutes les prestations connexes aux domaines des Voyages, Tourisme et Loisirs. Elle intervient également dans la billetterie, les voyages organisés (nationaux et internationaux), les excursions etc. De plus, elle intervient dans l’Organisation des événementiels et dans diverses prestations aux entreprises.

LDA: Parlez-nous de l’évènement que vous organisez, le SICA

KMR: Le SICA (Salon International du Café-Cacao-Cajou), est un Salon qui vise à faire la promotion des produits tels que le cacao, le café et la noix de cajou du monde, qui sont les produits de rentes de la Côte d’Ivoire. Mais aussi de certains pays de la sous-région, sur des plateformes internationales de haut niveau. Elle contribue à définir les niveaux d’excellence dans ces domaines, à partager la connaissance et la passion. L’activité principale de ce salon est le développement et l’organisation des entreprises internationales. Elle est la production de l’Organisation Ivoirienne du Commerce et de l’Agriculture (ORIGA). Dans le cadre de la tenue du SICA 2019 qui aura lieu cette année aux Etats Unis, Providence Voyages et services et son partenaire CBM VOYAGES, avons l’honneur cette année, d’effectuer la commercialisation de tous les produits du SICA 2019 et d’enregistrer les inscriptions de tous les participants au salon, pour le compte de L’ORICA, structure organisatrice du SICA. Après les éditions précédentes de 2011 à Tokyo au Japon, celle de 2014 à New Delhi en Inde, cette année la troisième édition, aura lieu aux Etats-Unis du 12 au 14 Décembre 2019, au Marriott Marquis de New York, sur le thème : INVESTIR DANS LA TRANSFORMATION AGRICOLE EN COTE D’IVOIRE ET EN AFRIQUE.

LDA: A qui s’adresse ce salon ?

KMR: Cet événement réunira des représentants des agriculteurs, des Coopératives, des Exportateurs, des commerçants, des transformateurs, des membres de gouvernements, des Organisations Non-Gouvernementales et autres organisations actives dans la chaine de valeur Cacao, café et Anacarde. C’est un événement ‘’sur invitation’’ des meilleurs acteurs du commerce de l’Amérique, de l’Europe, du Royaume Uni, de l’Afrique, de l’Asie et de l’Inde. Une élite et un exclusif forum/expo composé des meilleurs, des plus brillants et de la crème des crèmes de l’industrie. Plus de 350 des plus vus et renommés sont attendus à cet évènement.

LDA: Peut-on avoir une idée de vos partenaires institutionnels qui vous accompagnent dans ce projet ?

KMR: Depuis la première édition, tous les partenaires institutionnels de la tutelle accompagne cet événement. A savoir, les ministères du Commerce, de l’Agriculture, des Affaires Etrangères, les différentes Ambassades, Le Conseil Café-Cacao, Le Conseil Coton Anacarde, la RTI etc.

LDA: Quel est l’intérêt de participer à un tel salon ?

KMR: Le présent Salon, offre une opportunité d’affaires exceptionnelle pour tous les acteurs ciblés. Par le truchement des lucarnes offertes à ce Salon, notamment les expositions, les conférences, les rencontres B2B et B2C, le Dîner Gala etc. Tous les participants auront la possibilité de nouer des partenariats, de tisser des relations d’affaires.

LDA: Par rapport aux éditions précédentes, combien de participants attendez-vous pour cette 3e édition ?

KMR: Au regard des éditions précédentes éditions, nous ciblons environs 300 participants à cet évènement de haut niveau.

LDA: Comment peut-on vous contacter pour une participation ?

KMR: Pour les inscriptions, nous joindre à l'Agence Providence Voyages et services au Plateau, sise à la Rue du Commerce, Galerie Résidence Nabil aux numéros suivants : Tél: (+225) 20311850 / 20311870. Cél :(+225) 08619668 / 41521151 / 07961541 / 07828072 ;

LDA: Votre appel à tous ceux qui hésitent encore.

KMR: Nous vous remercions pour la lucarne de choix que vous nous offrez pour lancer un vibrant appel à tous les africains en général et aux ivoiriens en particulier dont le pays est leader mondial du CACAO et ANACARDE, à se mobiliser autour de cet événement pour promouvoir nos produits de rentes sur la plateforme économique américaine. Car, personne mieux que nous-mêmes ne pourra nous mettre au-devant de la scène, dans le concert des nations.

Interview réalisée par Mohamed Compaoré

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Le Réseau des Jeunes Cadres du Rassemblement des Houphouétistes pour la Démocratie et la Paix (RJC-RHDP) s’est réuni ce samedi 7 Septembre à Cocody, Rue Lepic en présence de ses différentes sections de bases implantées sur l'étendue du territoire national.

Cette rencontre avait pour objet de mobiliser tous les militants en prélude au Grand meeting qui se tiendra à Yamoussoukro le 28 Septembre prochain à la Fondation Félix Houphouët Boigny. C’est au court de ce meeting que le Réseau des Jeunes Cadres du Rhdp fera son entrée officielle sur le terrain politique. Pour ce grand rassemblement, face à toutes les institutions de la république, « le défi de mobilisation s’impose », a-t-il fait savoir.

Par ailleurs, cette réunion se voulait un cadre d’échange entre les militants et le président du RJC-RHDP, Ali Ouattara. Toutes les sections dans leur ensemble, ont fait cas des difficultés que rencontrent les populations au quotidien dans leur cadre de vie. Et n’ont pas manqué de demander au président d’être leur porte voix de leur cause auprès du premier ministre, Amadou Gon Coulibaly. Chef du gouvernement.

Sensible au cri de cœur de cette franche de la population, Ali Ouattara leur a promis de porter leurs préoccupations jusqu’au premier ministre. Et de leur faire savoir également que le président de la République, Alassane Ouattara, dans son Programme Social du Gouvernement (PS-Gouv) 2019-2020, cherche à toucher toutes les couches sociales. Tout en mettant au premier plan, les jeunes et les femmes.

Et de mettre les femmes en mission en étant les messagers du Rhdp dans leurs différentes communautés. Le président Ali Ouattara a aussi suggéré aux différentes sections d’ouvrir un livre blanc afin de noter toutes leurs préoccupations. Et qu’il se fera fort de remettre au premier ministre lors de la grand’ messe du 28 septembre à Yamoussoukro.

Il n’a pas manqué de leur rappeler l’objectif premier du mouvement. Celui de faire la promotion de toutes les actions gouvernementales. Et que « c’est la synergie des différents acteurs qui peut garantir la victoire du rhdp », a-t-il souligné.

Ce défi de la mobilisation sera l’effet déclencheur d’une grande mobilisation sur l’ensemble du territoire national, le RJC-Rhdp entend afficher donc sa vitalité à travers cette mobilisation exceptionnelle, et être la locomotive de l’adhésion des Ivoiriens à une majorité forte pour la réélection du parti en 2020.

A l’unanimité dans la salle, tous se disent disposés à accompagner le président du RJC-RHDP dans sa noble mission, celle de porter le Rhdp aux affaires en 2020. Comme le dit le slogan, « 2020, c’est maintenant ».

A noter que le Réseau des Jeunes Cadres du RHDP est une association politique qui se veut le moteur réel de relais et de la Promotion de toutes les actions gouvernementales.

M.C

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La Coordination pour la Promotion du Rassemblement des Houphouétistes pour la Démocratie et la Paix (CP-RHDP) était en assemblée générale extraordinaire ce samedi 07 septembre au siège du RDR sis à Cocody, rue Lépic.

La tenue de cette AG extraordinaire avait pour objet, le toilettage des textes et le renouvellement du bureau provisoire afin de mener à bien la mission qu’elle s’est assignée.

Selon Konaté Karifala, porte-parole de la CP-RHDP qui est un mouvement politique, est né il y a plus d’un an, avant même la naissance officielle du RHDP. En plus du toilettage des textes, « on devait se retrouver pour donner une orientation à la lutte », a-t-il confié.

Par ailleurs, il a expliqué que « suite au congrès du RHDP, nous avons trouvé important de tenir cette AG extraordinaire pour être en conformité, en phase avec les idéaux du parti », a-t-il soutenu.

A cette rencontre, était présent tous les membres statutaires de cette association qui ont porté à l’unanimité Madame Diawara Fatoumata à la tête de la CP- RHDP pour un mandat de 2 ans. Elle remplace donc Marrah Moustapha qui a géré le bureau provisoire pendant un an.

La nouvelle présidente qui était anciennement vice-présidente du bureau sortant, suite à son plébiscite a exprimé sa reconnaissance. « Je salue l’ensemble des membres de la CP-RHDP d’avoir placé leur confiance en moi », a-t-elle lancé avec émotion.

Il faut noter que la CP-RHDP a pour objectif de promouvoir les avancées démocratiques et les réalisations du président Alassane Ouattara et de son gouvernement.

M.C

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l'ancien president du Zimbabwé Robert Mugabé est mort à l'âge de 95 ans, a annoncé vendredi son successeur, Emmerson Mnangagwa sur son compte twitter. Robert Mugabé, malade, etait hospitalisé depuis plusieurs mois à Singapour.

Son successeur Emmerson Mnangagwa, qui l'avait acculé à la démission en novembre 2017, rend hommage à Robert Mugabe, père de l'indépendance de son pays et icône de la libération de son peuple. Emmerson Mnangagwa a réagi depuis le Cap en Afrique du Sud, où il participe aux travaux du Forum économique mondial Afrique. Il est d'ailleurs rentré en urgence à Harare.

C'est Emmerson Mnangagwa qui annonçait plus tôt ce matin officiellement la disparition de l'ancien président, confirmant les rumeurs des réseaux sociaux. « C'est avec la plus grande tristesse que j'annonce le décès du père fondateur du Zimbabwe et de l'ancien président, le commandant Robert Mugabe », déclarait Emmerson Mnangagwa dans un tweet plus tôt.

Rfi

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Le CEO Talk est le rendez-vous business organisé à Abidjan (Côte d’Ivoire) par le bureau Afrique de l’Ouest et Afrique Centrale d’HEC Paris. Initié en janvier dernier.

il a pour objectif de donner la parole à des leaders qui contribuent au développement des économies africaines. C’est également l’occasion pour eux d’échanger entre pairs et partager leurs expériences respectives.

HEC Paris, pour  consolider  son ancrage africain, a inauguré  l’année dernière un bureau à Abidjan. L’objectif premier de cette représentation est de former les décideurs africains de la sous-région. 

Après avoir reçu Charles Kié, CEO New African Capital Partners et Jean-Marie Ackah, Président de la Confédération Générale des Entreprises de Côte d’Ivoire, HEC Paris met a  l’honneur pour cette édition Didier Drogba en tant qu’entrepreneur.

Après 20 ans de carrière dans le monde du football professionnel, plus de 700 matchs joués et plus de 360 buts marqués en club et avec la sélection ivoirienne, Didier Drogba est aujourd'hui CEO de la Holding GOALS FOR AFRICA (GFA), avec laquelle il entend réaliser des investissements en Côte d’Ivoire et en Afrique.

C’est en tant qu’entrepreneur et pour parler de sa reconversion réussie dans le monde des affaires que Didier Drogba viendra parler de son parcours et partager son expérience et ses conseils avec la communauté d’HEC Paris à Abidjan.
 
Il est par ailleurs, vice-président de l'organisation internationale Peace and Sport, organisation internationale neutre et indépendante, basée en Principauté de Monaco et placée sous le haut patronage de Son Altesse Sérénissime le Prince Albert II de Monaco.

Comment orienter ses choix de carrière ? Quand où et comment investir ? Comment diversifier ses risques ? Quels sont ses projets pour la Côte d’Ivoire et la jeunesse ivoirienne ? Voici quelques questions auxquelles il répondre jeudi prochain dès 18h à la maison de l’entreprise.

M.C
 

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La marque de téléphones portables de premier plan mondial TECNO Mobile dévoilera le 5 septembre prochain son smartphone CAMON 12.

Avec l'objectif de fabriquer un smartphone doté d'un appareil photo de renom. Il semblerait que non seulement le CAMON 12 sera parfait pour prendre des selfies qui est la fonctionnalité la plus remarquable de la précédente gamme CAMON. Mais, il intégrera aussi un appareil photo modernisé permettant n'importe quel angle de photographie.

Au niveau mondial, la gamme TECNO est composée de trois séries. « SPARK » possède une caméra lumineuse dotée d'IA, offrant d'excellentes fonctionnalités d'appareil photo, en particulier dans les environnements peu éclairés. Et convient bien pour les jeunes. « PHANTOM » est la gamme phare de la marque  et « CAMON » est la gamme généraliste, centrée sur l'appareil photo, offrant des fonctionnalités exceptionnelles d'appareil photo pour les selfies dans le modèle CAMON 11. La gamme CAMON est la parfaite illustration du niveau de performance de TECNO. Elle est conçue pour les fans des réseaux sociaux qui sont à l'avant-garde des tendances et vivent leur vie en prenant et partageant des photos.

Le CAMON 12 Air est équipé d'un affichage révolutionnaire Dot-in. La photographie grand angle et la vue plein écran concrétisent l'engagement de TECNO à proposer aux consommateurs le meilleur terminal et les dernières technologies pour voir le monde sous le meilleur angle. Ce nouvel appareil apporte un plaisir tout neuf.

La photographie grand angle et l'affichage par points du CAMON 12 Air permettent à TECNO d'offrir à l’utilisateur le meilleur appareil doté de la technologie la plus récente afin qu'il puisse voir le monde avec un angle de vue optimale. Dans un proche avenir, TECNO pourrait lancer un appareil avec le Dot-in Display qui aura une caméra frontale, afin d'offrir une expérience photographique agréable en plein écran, quel que soit l'angle de vue.

TECNO est une entreprise prospère avec deux stratégies produit à long terme. Notamment, se concentrer sur les consommateurs locaux et utiliser l'innovation locale pour satisfaire la demande du marché local.

M.J

 

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