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A l’occasion de la 29ème édition de la Journée Internationale des Droits des Femmes, Orange Côte d’Ivoire réaffirme son engagement pour l’Autonomisation des Femmes à travers un engagement digital et associatif fort.
La politique RH d’Orange est axée autour de cinq priorités, fruit d’un dialogue social de qualité : L’accès des femmes aux fonctions managériales ,La mixité des métiers et notamment des métiers techniques ; L’égalité salariale entre hommes et femmes ; L’équilibre entre vie professionnelle et vie privée et La lutte contre le harcèlement et les violences.
En sa qualité d’opérateur digital engagé, Orange CI travaille à bâtir, avec l’ensemble de ses collaborateurs, l’entreprise de demain en prenant en compte les enjeux de transformation digitale, de cohésion et de performance sociale. Avec un effectif total de 1474 employés, dont 41% de femmes, l’entreprise est fière d’avoir obtenue, pour la 7ème fois consécutive, le certificat « Top Employers Africa-Côte d’Ivoire ».
Par ailleurs, La Fondation Orange Côte d’Ivoire accompagne, depuis près de 14 ans, les femmes à toutes les périodes de leur vie - de l’éducation à l’autonomisation. Concrètement cela se traduit par des formations au numérique à travers le programme « Maisons Digitales ». Grâce à nos « Maisons Digitales », nous leurs facilitons l’accès au monde professionnel en aidant les plus vulnérables exerçant des activités génératrices de revenus.
Egalement, Notre Orange Digital Academy, une plate-forme de formation et de professionnalisation aux métiers du numérique, œuvre à démystifier les métiers du secteur pour les jeunes femmes. La première était composée à 20% de femmes…
Enfin, Orange Fab et le Prix Orange de l’Entrepreneur Social en Afrique et au Moyen-Orient (POESAM) accompagnent et encouragent les femmes entrepreneures dans leur quête de développement et de réussite
« Chez Orange CI, nous sommes convaincus que l’égalité professionnelle est une condition de performance sociale et économique. En tant qu’opérateur digital engagé nous sommes alignés avec cette réalité : 34 % des postes du Comité de Direction sont assurés par des femmes avec 4 directrices et 5 directrices adjointes. L’égalité d’accès pour les femmes et les hommes aux postes de responsabilité est une réalité chez nous. Nous encourageons tous les acteurs économiques à faire de même ! », confie Mamadou Mamba, Directeur Général d’Orange Côte d’Ivoire.
M.J
Depuis quelques années, nous observons des dérives et de la désinformation sur les réseaux sociaux, susceptibles de porter atteinte à la cohésion sociale.
Face à cette situation, le Centre d'Education pour une Société Durable (Centre ESD), a initié la rédaction d'un Guide d'utilisation éthique des réseaux sociaux, destiné à sensibiliser les internautes à un usage responsable de ces plateformes d'expression. Ce projet s'inscrit dans la continuité de la dynamique d'éducation aux médias et à l'information portée par le Centre ESD, en travaillant principalement sur la lutte contre la désinformation, et le renforcement de capacité des jeunes à une lecture critique des supports médiatiques.
Le Guide comprend des spécificités sur les réseaux sociaux, une Charte d'éthique, et des méthodes de vérification de l'information (fact cheking). Il a été rendu possible grâce à la contribution de jeunes de la société civile, des jeunes web-activistes sous la supervision de blogueurs et journalistes dont l'expertise est reconnue. Il est d'usage libre, n'est pas contraignant, et appelle à un engagement volontaire. C'est le lieu de remercier la Fondation American Jewish Service (AJWS), la Deutsche Welle Akademie et la Fondation Friedrich Naumann (FNF), qui ont apporté un appui à la réalisation de ce Guide.
Le Centre d'Education pour une Société Durable (Centre ESD) est une organisation à but non lucratif, d'appui à la participation civique et la formation politique des jeunes.
Source : Service Com Centre ESD
Un stage de formation des unités anti-terroristes du Niger a été organisé du 2 au 6 mars 2020 avec l’appui du Service de sécurité intérieure de l’ambassade de France.
Ce stage avait pour objectif de développer l’interopérabilité des unités d’intervention : conception d’une manœuvre opérationnelle, intervention et arrestation/neutralisation de groupes terroristes, cours de secourisme, etc.
Cette formation, à laquelle ont participé le Groupement d’Intervention et de Sécurité de la Garde nationale du Niger (GIS), le Groupe d’Intervention de la Police Nationale (GIPN) et l’Unité Spéciale d’Intervention de la Gendarmerie Nationale (USIGN), s’inscrit dans le cadre d’un plan de formation commun des ambassades de France et des Etats-Unis.
N.G
Le premier expert de la veille médiatique en Afrique francophone, déjà basé en Côte d'Ivoire et au Burkina Faso, s'installe en Afrique Centrale pour accompagner les services de communication à davantage maîtriser leur image et obtenir des solutions d'accès à l'information à forte valeur ajoutée.
« À travers des solutions de panorama de presse quotidien qui permettent très tôt le matin d'être informé sur son actualité, celle de ses concurrents et son marché, Veilleur des Médias complète ses services de veille sur le digital afin de doter les entreprises d'outils d'e-reputation » indique Fabrice Piofret, le PDG de la structure française.
Mediagab, qui édite déjà le mensuel gratuit Économie Gabon, est en charge de la distribution des solutions. Philippe Chandezon, son Directeur Général, revient sur cette nouvelle collaboration : « Les prestations de Veilleur des Médias ont montré depuis plusieurs années leur efficacité. Elles vont permettre une nette amélioration des stratégies de communication au sein des entreprises. Les solutions sont adaptées à notre contexte et personne ne doit ignorer son environnement médiatique. »
Veilleur des Médias, qui travaille déjà pour plusieurs structures gabonaises, va permettre aux dirigeants et cadres des différentes entreprises et institutions de la place d'être doté d'outils d'aide à la décision réactifs et pertinents : panorama de presse quotidien, analyses quantitatives et qualitatives mensuelles, veille web et réseaux sociaux, dashboard d'e-réputation. Une application Veilleur des Médias, disponible sur Androïd, a également été conçue pour archiver l'ensemble des prestations et accéder à des services additionnels comme la recherche d'articles ou l'accès à ses analyses quantitatives
MEDIAGAB est une société de service de presse, dirigée par Philippe Chandezon et créée au Gabon depuis avril 2019, avec pour vocation l'édition et la distribution des journaux, la formation dans les métiers de la presse et des médias.
A noter également que VEILLEUR DES MEDIAS est une société experte dans la veille médiatique en Afrique francophone. Fondée et dirigée par Fabrice Piofret, qui a notamment travaillé pour les instituts Press Index puis Kantar Média News Intelligence.
H.N/ AMA
Ce lundi 9 mars marquera le début des inscriptions de la 10ème édition du Prix Orange de l’Entrepreneur Social en Afrique et au Moyen-Orient (POESAM). Jusqu’au 5 juin 2020, les candidats auront la possibilité de déposer leur projet sur le site https://startup.orange.com/ dans la rubrique dédiée au POESAM.
Décerné par Orange, ce prix récompense les projets technologiques à impact positif permettant l’amélioration des conditions de vie des populations en Afrique et au MoyenOrient, dans des domaines essentiels tels que l’éducation, la santé, l’agriculture, le paiement mobile ou encore le développement durable.
Le concours débute par une phase nationale durant laquelle chacune des 17 filiales Orange participantes étudiera les projets soumis dans son pays puis désignera trois gagnants maximum. S’ensuivra une seconde phase internationale durant laquelle les gagnants de chaque pays, jusqu’à 54 gagnants au total, seront mis en concurrence par un jury international qui remettra le grand prix du POESAM aux lauréats lors des AfricaCom, le plus grand salon de la technologie en Afrique, qui a lieu en novembre au Cap en Afrique du Sud.
De plus, les 10 finalistes internationaux auront l’opportunité d’avoir un accompagnement personnalisé par des professionnels de la création et du financement des jeunes entreprises.
Le POESAM s’adresse aux étudiants, salariés ou entrepreneurs de plus de 21 ans et aux start-up de moins de trois ans, et concerne les pays suivants : le Botswana, le Burkina Faso, le Cameroun, la Côte d’Ivoire, l’Egypte, la Guinée Bissau, la Guinée Conakry, la Jordanie, le Liberia, Madagascar, le Mali, le Maroc, la République Centrafricaine, la République Démocratique du Congo, le Sénégal, la Sierra Leone et la Tunisie.
10 ans de soutien aux start-up technologiques à impact positif ! Deux prix additionnels pour fêter les 10 ans du POESAM.
A l’instar de nos trois lauréats de l’édition 2019 : Chaque Souffle Compte (Cameroun), JPalm Liberia (Libéria) et Flit Ride (Madagascar) ; les trois gagnants internationaux recevront des lots nationaux et respectivement 25 000€, 15 000€ et 10 000€.
Nouveauté cette année, un prix féminin d’une valeur de 20 000 € s’ajoute aux 3 lots internationaux afin d’encourager davantage l’Entrepreneuriat Féminin sur le continent. Ce prix récompensera soit une femme, soit un projet proposant une solution technologique pour améliorer les conditions de vie des femmes (l’autonomisation de la femme, la création ou la préservation des emplois, la collecte de données sur le genre, l’inclusion numérique et l’inclusion financière…).
De plus, un prix spécial d’une valeur de 10 000€ sera également décerné par le jury international. Dans la lignée de la stratégie du Groupe dont l’ambition est de faire du numérique une opportunité pour tous, le prix spécial récompensera un projet permettant l’amélioration du quotidien des personnes dites « vulnérables » (personne en situation de handicap, d’exclusion, de précarité sociale et économique…).
1333 dossiers ont été reçus en 2019 et parmi eux, 10 ont gagné un accompagnement personnalisé par Orange et son partenaire, l’incubateur de start-up Bond’Innov.
Depuis 2011, le prix de l’Entrepreneur Social en Afrique et au Moyen-Orient s’inscrit dans une logique de détection et de soutien des jeunes pousses.
Orange est présent dans 18 pays en Afrique et au Moyen-Orient et compte 122 millions de clients au 31 décembre 2019. Avec 5,6 milliards d’euros de chiffre d’affaires en 2019 et une croissance annuelle de 6%, Orange MEA est la première zone de croissance du Groupe.
Orange Money, son offre de transfert d’argent et de services financiers sur mobile disponible dans 17 pays compte 45 millions de clients. Orange, opérateur multi services, partenaire de référence de la transformation numérique apporte son savoir-faire pour accompagner le développement de nouveaux services digitaux en Afrique et au Moyen-Orient.
H.N
Plusieurs ministres africains du pétrole et de l'énergie se sont réunis à Vienne cette semaine, comprenant notamment les pays membres de l'Opep tels que la Guinée équatoriale, le Nigéria, le Gabon, le Congo-Brazzaville et l'Angola pour se joindre aux efforts de stabilisation du marché, alors que l'épidémie de coronavirus continue de plomber les cours du baril.
Ils ont été rejoints par d’autres membres de l’Organisation des producteurs pétroliers africains (Appo, en anglais), qui font partie de l’Opep. Ensembles, ils ont exprimé le soutien africain à la résolution de l’Opep et à ses actions pour stabiliser les marchés mondiaux de l’énergie.
Les producteurs africains de pétrole se sont également réunis en marge de la réunion de l'Opep pour discuter de l'approfondissement de la coopération énergétique africaine au sein de l'Appo. Les discussions ont porté sur la conclusion que le siège de l’Appo devrait être re-transférer d’Abuja à Brazzaville, après que la République du Congo ait assuré qu’elle pourrait accueillir les dignitaires de l’Organisation et fournir l’environnement nécessaire à son fonctionnement et expansion.
Jean-Marc Thystère-Tchicaya, ministre des Hydrocarbures du Congo, s'est déclaré satisfait de la décision, a assuré toutes les délégations ministérielles de la détermination du Congo à continuer de travailler à la croissance de l'Appo, et s'est engagé à accueillir une conférence des Chefs d'État de l'Appo au Congo en juin 2020.
Alors que les ministres africains félicitaient la délégation du Congo, tous les participants ont convenu de la nécessité de travailler plus dur pour élever les débats de l'Appo et atteindre le même niveau que l'Opep afin de maximiser la coopération énergétique de l'Afrique et de donner au continent une voix plus forte sur la scène internationale.
H.N
« L’égalité doit être une réalité pour tous, pour les hommes comme pour les femmes, à tous les niveaux et à tous les âges », tel est l’appel pressant lancé par Anna, l’un des jeunes talents de Nestlé CWA Ltd, à propos de l’égalité des genres.
Durant notre court échange de vues d’il y a quelques semaines dans un ascenseur, j’ai été frappé par l’assurance et la détermination de cette brillante stagiaire, alors que nous parlions de son poste actuel et de son ambition de parvenir un jour à la tête d’une entreprise.
En cette nouvelle Journée internationale des femmes , sa déclaration m’a beaucoup fait réfléchir sur la signification du thème « Each For Equal ». En tant que dirigeant d’entreprise, j’ai non seulement la responsabilité d’encourager les employés à se donner les moyens de donner corps à leurs aspirations, mais j’ai aussi la conviction que, collectivement, nous pouvons concrétiser des ambitions comme celle d’Anna.
Davantage d’entreprises africaines doivent lancer des initiatives en faveur de l’égalité des genres
En Afrique centrale et de l’Ouest, un nombre croissant d’entreprises, y compris Nestlé, font des progrès en matière d’avancement de la parité. Au Ghana, MTN a ouvert dans ses nouveaux bureaux d’Accra une crèche qui accueille les enfants de ses employés âgés de 5 à 15 mois, ainsi qu’une structure pour l’allaitement. Newmont Corporation projette quant à elle de faire évoluer son environnement de travail jusque-là dominé par les hommes, grâce à une politique d’embauche et de promotion du personnel indépendante du genre, ainsi qu’en offrant un local destiné à l’allaitement.
Il s’agit là d’exemples d’entreprises parmi d’autres qui, dans la région, prennent des mesures concrètes pour faire de l’égalité hommes-femmes une réalité au travail.
Toutefois, ces mesures ne sont pas suffisantes et les progrès doivent s’accélérer. Au rythme où vont les choses, le Forum économique mondial prévoit qu’il ne faudra pas moins de 99,5 années pour atteindre la parité. Dès lors, chaque employeur devrait redoubler d’efforts pour y parvenir.
Garantir l’égalité des chances pour les hommes et les femmes
Je suis d’avis q’un effort délibéré doit être fourni par toutes les organisations, publiques et privées, afin de garantir l’égalité des chances.
En Afrique, le défi est particulièrement important parce que, selon la Banque mondiale , les jeunes femmes ont moins d’opportunités que les jeunes hommes de décrocher un emploi formel, de recevoir un enseignement ou de suivre une formation. L’inégalité d’accès à l’éducation, les taux de mariage précoce chez les femmes et les contraintes familiales sont autant d’obstacles à éliminer rapidement afin d’augmenter le nombre de femmes dans les emplois formels.
En tant que premier groupe alimentaire mondial, Nestlé a pris l’an dernier des mesures pour faire de la parité une priorité. Ainsi, le Groupe a annoncé son Plan d’accélération de la parité hommes-femmes, qui repose sur trois piliers : un leadership audacieux, une culture de l’autonomisation et un ensemble de pratiques habilitantes.
Par exemple, dans notre région nous augmentons activement le nombre de femmes dans les services qui embauchaient habituellement des hommes. Dans nos centres de formation technique en Côte d’Ivoire et au Nigeria, nous veillons à l’équilibre hommes-femmes lors de l’’admission des candidats aux programmes de formation, qui étaient jusque-là majoritairement suivis par des hommes.
Nous avons effectivement observé une hausse de près de 80% des admissions de femmes dans ces centres de formation, et aujourd’hui le nombre d’hommes et de femmes y est quasiment identique.
En outre, nous avons récemment nommé notre première directrice d’usine, Joëlle Abega-Oyouomi, qui est responsable du site de production des bouillons MAGGI en Côte d’Ivoire. Avant d’occuper cette fonction, elle était à la tête du centre de R&D de Nestlé à Abidjan, en Côte d’Ivoire. Nous avons également nommé la première responsable de production chez Nestlé CWA, Julia Atta, à l’usine de Tema, au Ghana, en 2018. Ces nominations, qui sont autant de nouveaux jalons posés par notre Société, remettent en question les domaines de travail considérés comme « non traditionnels » pour les femmes. Ces femmes sont des modèles remarquables pour les jeunes Africaines aspirant à des postes de direction.
Donner la priorité à l’égalité parentale
Tandis qu’Anna et moi parlions de l’équilibre entre vie de famille et vie professionnelle, elle m’a dit que bien que n’ayant pas encore d’enfant, elle était convaincue que la grossesse, l’accouchement et la garde des enfants ont des répercussions majeures sur les femmes et peuvent ralentir leur carrière. Même si la situation en termes de congés de maternité est meilleure actuellement en Afrique centrale et de l’Ouest que dans de nombreux autres pays du monde, sont-ils toutefois suffisants pour assurer la parité si nécessaire en matière de responsabilités liées à l’éducation des enfants ?
Les congés parentaux accordés aussi bien aux hommes qu’aux femmes contribuent à combler le déficit d’égalité. Ils répondent aux désirs des jeunes générations, qui demandent de plus en plus d’égalité dans les rôles parentaux. Comme le souligne Forbes , le congé parental a de nombreux avantages pour les entreprises, l’économie et la société. Il contribue à transformer la perception selon laquelle la garde des enfants incombe uniquement aux femmes et réduit la « pénalité de la maternité » au travail, tout en permettant aux parents de consacrer du temps à leurs enfants pour leur assurer le meilleur départ possible dans la vie.
La politique de soutien aux parents élaborée par Nestlé, dont le déploiement dans la région sera finalisé en 2021, est une mesure novatrice. Grâce à cette nouvelle politique indépendante du genre, le congé parental des principales personnes (biologiques ou adoptives) en charge de l’enfant sera allongé à 18 semaines payées intégralement et, pour la première fois, nous offrirons également un minimum de quatre semaines aux aidants secondaires, comme les pères, auxquels était appliquée jusqu’ici la norme minimale d’une semaine.
L’égalité commence à la maison, donc la politique de congé parental d’une entreprise doit être inclusive pour permettre à ses employés de s’épanouir et concrétiser leurs aspirations professionnelles.
Réduire les préjugés au travail comme à la maison
Il existe encore un grand nombre d’idées reçues à propos du rôle des hommes et des femmes au sein de la société africaine.
D’après la Banque africaine de développement , les femmes africaines sont freinées dans la réalisation de leur potentiel, que ce soit en tant que leaders dans la sphère publique, dans les conseils d’administration ou dans le développement de leur activité. Elles passent trop de temps à effectuer des tâches ménagères qui pourraient être partagées entre hommes et femmes. Ces barrières traditionnelles sont fondamentalement injustes et peuvent empêcher les femmes de réaliser leur plein potentiel.
Un changement des mentalités est nécessaire, de la base jusqu’aux plus hauts niveaux de responsabilité. L’égalité des chances doit être une réalité dès les postes de niveau débutant et jusqu’aux fonctions de direction, car les dirigeants doivent être le reflet du changement que nous voulons mettre en place.
Pour éliminer les préjugés, les directeurs et les employés de Nestlé suivent des formations en matière de diversité et d’inclusion afin d’inculquer une culture de l’inclusion et de réduire la partialité au travail. Les offres d’emploi sont désormais neutres pour minimiser l’idée qu’un poste donné est destiné à un sexe en particulier.
L’embauche doit reposer uniquement sur les qualifications, l’expérience et le mérite, et non sur le genre.
Promouvoir l’égalité pour qu’elle devienne réalité
La parité et l’égalité des genres doivent être une priorité absolue de notre Société. C’est pour cette raison que le soutien de l’initiative Each For Equal et la promotion de l’égalité à tous les niveaux de l’entreprise font partie de l’engagement de Nestlé à améliorer l’égalité hommes-femmes au travail et à autonomiser les femmes sur l’ensemble de la chaîne de valeur
Nous encourageons d’autres organisations et entreprises d’Afrique centrale et de l’Ouest et du monde entier à continuer leurs efforts pour garantir l’égalité des chances, en donnant la priorité à l’égalité parentale et à la lutte contre les préjugés à la maison et au travail.
L’égalité entre les genres peut être une réalité, et il nous incombe à tous d’inculquer cet état d’esprit et de donner toutes leurs chances aux jeunes talents comme Anna. Un nombre plus élevé de femmes au travail donne du sens à l’entreprise Cette approche est bonne pour les entreprises, bonne pour l’économie et bonne pour l’Afrique. L’égalité hommes-femmes n’a incontestablement que des avantages, et nous devons continuer à encourager la diversité pour tous.
Par Rémy Ejel, directeur général de Nestlé Central and West Africa (CWA) Ltd
La cellule civilo-militaire du département de Touba ou CCM TOUBA, a tenu le jeudi 5 mars 2020, sa toute première réunion à la salle des réunions de la préfecture de la localité. Au cœur de la rencontre, fait connaître ses missions. La rencontre, a enregistré la participation de 17 membres civils sur 21 au total qu’elle compte. Y ont également pris part, les représentants des chefs des grands commandements des forces de défense et de sécurité de Touba.
A l’entame de la rencontre, l’imam Soualio Fofana, président de la CCM TOUBA, a indiqué que depuis son élection le 10 décembre 2019, la structure ne s’était pas encore réunie pour des raisons liées au vaste mouvement intervenu au sein du corps préfectoral qui a suscité des déplacements du nouveau préfet notamment les passations des charges.
Après quoi, les missions assignées à la cellule telles que consignées dans l’arrêté préfectoral sont dévoilées. Il s’agit de : la prévention des conflits entre forces de sécurité et populations civiles, la restauration de la confiance entre forces de sécurité et populations civiles, la collaboration des populations avec les forces de sécurité dans l’accomplissement de leurs missions, l’analyse situationnelle en matière de sécurité, la sensibilisation des populations sur les problématiques sécuritaires, la préservation, l’anticipation et la résolution des conflits communautaires.
Au terme de la lecture de l’arrêté préfectoral, le président Soualio Fofana, a tenu à rassurer ses collaborateurs en ces termes : « en dehors du préfet, aucune autre personne n’a la latitude de démettre les membres de la cellule dont les noms figurent sur l’arrêté présenté ». Toutefois, il les a exhortés à mettre la cellule en dehors des débats politiques, de ne se consacrer qu’à leurs missions. Il n’a pas manqué de préciser qu’ils doivent oublier les questions d’argent (les fonctions étant gratuites), à faire preuve d’engagement, d’abnégation, de sérieux afin de « mériter la confiance placée en chacun d’eux par le préfet ».
Les échanges, ont été l’occasion pour les membres de la cellule d’apporter leur soutien au président Soualio Fofana, discrédité et dont la légitimité est contestée par certains individus dont l’agenda réel reste méconnu. Ce dernier, a exprimé son engagement total à assumer ses responsabilités avec détermination. Affirmant que la cellule civilo-militaire de Touba, se tient disponible aux côtés des forces de défense et sécurité à l’effet de faire face ensemble, à toutes les situations malencontreuses qui pourraient subvenir dans leurs rapports avec les populations civiles.
Notons que la cellule civilo-militaire est une entité regroupant en sein à la fois des agents des forces de défense et de sécurité et des membres de la société civile, leaders communautaires.
Hamza De Bamba (Correspondant Régional)
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La Fédération Ivoirienne de Rugby est dans la phase active de son projet '' CÔTE D'IVOIRE RUGBY''.
Ce projet dont l'ambition finale est la double qualification de la Côte d'Ivoire à la Coupe du monde de 2023 en France et les Jeux Olympiques de 2024 à Paris (#RUGBYIVOIRE2024) vise à repositionner le rugby ivoirien dans le top de la balle ovale africaine et mondial.
Pour ce faire, l'administration du président de la FIR, Dr Elvis Tano mise sur la formation à la base avec l'organisation des tournois pour jeunes et une meilleure réorganisation et restructuration du championnat de Rugby à XV et à VII. À cela, s'ajoute la création de l'académie Max Brito pour les U20.
Afin de fédérer et mobiliser l'ensemble des acteurs et potentiels partenaires, la FIR.CI a décidé de lancer une campagne de financement participatif (crowdfunding) pour récolter des fonds pour démarrer au mieux l'aventure par l'académie Max Brito. Cette campagne a débuté du lundi 24 février 2020.
Le moins que l'on puisse dire, c'est que la fédération rêve à nouveau de devenir grande en se lançant dans une aventure humaine et sportive ambitieuse. Les objectifs qui font battre le cœur du rugby ivoirien sont la mise en œuvre d’une politique sportive et philanthropique, pour les hommes comme pour les femmes avec la création d’une académie pour les jeunes baptisées Max Brito.
Après avoir été le seul pays d’Afrique noire à participer à la Coupe du Monde 1995, la Côte d'Ivoire revient de plus belle pour tenter de se qualifier, chez les femmes et chez les hommes, avec pour eux la Coupe du Monde de rugby à XV en 2023. Puis, avec le rugby à VII féminin et masculin, aux JO Paris 2024. Et la création de cette académie est au cœur du projet. Seule, ne pourra y arriver. D'où le lancement de cette campagne de financement participatif pour démarrer l'aventure.
'' Alors, que vous soyez un club glorieux du Top 14 ou un club de 4ème série, une star de rugby ou un anonyme épanoui, aidez-la à faire de ce rêve une réalité'', lancé la FIR.
M.C
Le Ministère fédéral allemand de la coopération économique et du développement (BMZ) a octroyé, par l'intermédiaire de la Banque allemande de développement (KfW), 50 millions d'euros afin de soutenir un programme visant au renforcement de la résilience. Le programme sera mis en œuvre par l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO), le Programme alimentaire mondial (PAM) et le Fonds des Nations Unies pour l'enfance dans l'est de la République démocratique du Congo (RDC).
Le programme quadriannuel (2020-2023) vise à apporter une aide à plus de 180 000 personnes vivant en zones rurales -la plupart sont des petits exploitants agricoles - dans les territoires de Walikale au Nord-Kivu et de Mwenga et Walungu au Sud-Kivu. Les agriculteurs recevront une aide afin de renforcer leur production agricole et leur gestion après-récolte. Il sera également question de diversifier leurs activités productrices de revenus et d'améliorer la nutrition et les services sociaux de base. Autant de choses qui devraient contribuer à maintenir la paix et la stabilité dans la région.
La RDC est l'un des pays les plus fertiles au monde et a un grand potentiel agricole avec environ 80 millions d'hectares de terres arables - la zone cultivable la plus étendue au monde après le Brésil. Le pays détient également la moitié des ressources en eau du continent. Pourtant, son potentiel est encore largement sous-exploité et c'est l'un des pays les plus pauvres du monde.
Au Nord et au Sud-Kivu, le tissu socioéconomique a été détruit par des décennies de conflits, de déplacements et de chocs agricoles et climatiques qui se sont succédés. Les chefs de guerre locaux profitent souvent de la vulnérabilité des adolescents et du faible niveau d'éducation pour les enrôler dans des groupes armés.
« Il est essentiel de renforcer la résilience afin de promouvoir une agriculture attentive à la nutrition, une cohésion sociale et de renforcer l'accès des populations vulnérables aux services sociaux de base. Sans sécurité alimentaire, aucune paix n'est possible. L'approche intégrée du projet de la FAO, du PAM et de l'UNICEF aidera à améliorer la sécurité alimentaire et la nutrition des communautés vulnérables », a déclaré M. Aristide Ongone Obame, Représentant de la FAO en RDC.
« Ce programme conjoint nous offre la possibilité de briser le cercle en renforçant la résilience - afin que les ménages, les communautés et les systèmes nationaux soient mieux équipés pour prévenir les futurs chocs et y faire face, selon des modalités qui contribuent au développement économique et social et qui préservent l'intégrité et protègent les enfants », a indiqué M. Edouard Beigbeder, Représentant de l'UNICEF en RDC.
« Le PAM, qui a fait du renforcement de la résilience des communautés l'objectif central de ses actions, est convaincu qu'une approche commune avec la FAO et l'UNICEF pourrait apporter aux bénéficiaires une assistance plus complète et une meilleure formation professionnelle. Le programme aidera à atténuer les effets dévastateurs des conflits et des chocs agricoles et climatiques, et il aidera les communautés à se construire un meilleur avenir », a indiqué M. Claude Jibidar, Représentant du PAM en RDC.
Le gouvernement allemand appuie les activités de renforcement de la résilience dans les provinces de Kivu depuis 2017 avec une contribution de 35 millions d'euros accordée à un programme conjoint de la FAO et du PAM qui devrait se clôturer en 2020. Le nouveau programme s'inspirera du succès du premier qui a atteint plus de 400 000 personnes.
Le PAM, organisation humanitaire de lutte contre la faim dans le monde, apporte au projet sa vaste expérience dans le domaine de la distribution des produits de base, du traitement et du stockage après-récolte, de la commercialisation et de la nutrition. La FAO fournit son expertise pour la protection et la restauration des moyens d'existence basés sur l'agriculture afin de renforcer la cohésion sociale des populations. Quant à l'UNICEF, elle apporte son expérience dans le domaine de la lutte contre la malnutrition grave aiguë, de l'assainissement et l'hygiène (WASH) et de la promotion de l'éducation pour la construction de la paix à tous les niveaux, en prêtant une attention toute particulière aux femmes et aux enfants.
Le programme a été lancé le 4 mars à Goma et le sera le 6 mars à Bukavu, par les Gouverneurs du Nord et du Sud-Kivu, les hauts représentants de la FAO, du PAM et de l'UNICEF, les représentants des gouvernements provinciaux respectifs, et des hauts représentants du Gouvernement allemand et d'autres organismes internationaux de coopération.
M.J