Contenu - LA DIPLOMATIQUE D'ABIDJAN
LDA Journaliste

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Le président de la Banque africaine de développement, Akinwumi Adesina, a déclaré, mercredi lors d'un webinaire organisé par le Corporate Council on Africa (CCA), qu'une accélération de l'effort global en faveur de la santé et de l'économie était nécessaire pour surmonter la pandémie de Covid-19 en Afrique. 

Le président Adesina a exhorté les représentants de l'administration publique et les dirigeants d'entreprises aux États-Unis et en Afrique à nouer de nouveaux partenariats durables qui survivront à l'épidémie actuelle. « Rien qu'un seul décès est un décès de trop (...) Notre humanité collective est menacée » par cette pandémie, a-t-il prévenu lors de cette visioconférence du CCA. Le Corporate Council on Africa est une association d'hommes d'affaires américains de premier plan, qui promeut la collaboration inter-entreprises et les investissements entre les États-Unis et le continent africain. 

Akinwumi Adesina a appelé les participants à être les gardiens de l'humanité, affirmant qu'il était impératif de prendre en considération les inégalités mondiales sous-jacentes et leurs effets, en particulier sur les pays pauvres. Il a également exhorté les institutions multilatérales à conjuguer et intensifier leurs efforts sur l'endettement de l'Afrique et à travailler avec les agences de notation. 

Fin mars à la Bourse de Londres, la Banque a levé un montant exceptionnel de trois milliards de dollars pour « Combattre le Covid-19 » à travers le plus important emprunt obligataire social contracté en dollars américains sur les marchés de capitaux. 

La Banque a également mis en place une Facilité de réponse rapide au COVID-19 de 10 milliards de dollars pour aider les gouvernements et les entreprises africains. Le dispositif de réponse de la Banque comprend 5,5 milliards de dollars destinés aux gouvernements africains, 3,1 milliards de dollars pour les pays qui relèvent du Fonds de développement africain, le guichet concessionnel de la Banque et 1,4 milliard de dollars pour le secteur privé. 

Évoquant les systèmes de santé en Afrique, le président Adesina a indiqué que le continent doit plus que doubler ses dépenses dans ce secteur. Il a souligné la pénurie d'installations et d'entreprises pharmaceutiques sur le continent et les possibilités de développement et d'investissement qu'elles offrent. S'il existe 7 000 fabricants de produits pharmaceutiques en Chine et 11 000 en Inde, l'Afrique n'en compte que 375 alors que sa population représente environ la moitié de la population totale de ces deux géants asiatiques, a-t-il relevé. 

La présidente et directrice exécutive du Corporate Council on Africa, Florie Lister, a salué la Banque africaine de développement pour son leadership dynamique dans la lutte contre la crise en Afrique. « La pandémie de Covid-19 menace de réduire à néant la croissance et les gains économiques sans précédent de l'Afrique au cours de la dernière décennie », s'est-elle inquiétée. 

Peter Sullivan, représentant de la Citi Bank, modérateur du webinaire, a relevé que l'impact de la pandémie était sans précédent sur la santé, la société, l'économie et les finances au niveau mondial. « La crise a considérablement affecté les activités économiques de nombreux secteurs, notamment le tourisme, les transports et les marchandises », a-t-il insisté. 

Si les taux d'infection du Covid-19 en Afrique sont relativement faibles en comparaison au reste du monde, un sentiment d'urgence croissant se manifeste au regard de l'absence aiguë d'infrastructures de santé sur le continent. Le président Adesina a ainsi lancé un appel en faveur de partenariats urgents, nouveaux et résilients afin de ne laisser personne de côté.

M.C

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L’Institut des sciences et techniques de la Communication (ISTC-Polytechnique), en présence du ministre Sidi Tiémoko Touré a conclu jeudi, des conventions de partenariat avec des structures sous tutelle du ministère de la Communication et des Médias.

La signature de ces accords a pour objet, la formation continue des agents des structures contractantes et l’utilisation des infrastructures ainsi que des installations de l’ISTC à des tarifs préférentiels, la facilitation d’insertion des diplômés de l’ISTC, mais aussi des échanges marchandises.

ISTC Convention

« Je suis heureux que les Directeurs généraux aient compris le bénéfice que leurs structures respectives vont engranger à travers ces signatures, et surtout, à travers la traduction en actes des engagements qu’ils prennent (ce jour) », s’est félicité le ministre Sidi Touré.

Ces accords en plus de l’ISTC, concernent cinq structures, à savoir l’Agence ivoirienne de presse (AIP), le Fonds de soutien et de développement à la presse (FSDP), EDIPRESSE, l’Ivoirienne de télédiffusion (IDT) et la SNEPCI, éditrice du quotidien Fraternité Matin.

Le directeur général de l’ISTC, Dr Alfred Dan Moussa, a pour sa part assuré de l’engagement de son établissement à mettre en œuvre ces accords, qui vient resserrer les liens entre structures du même département.

Avec plus de détailles, Barry Oumou Sana, directrice de l’AIP a soutenu que : « Cet accord vient formaliser nos relations professionnelles avec l’ISTC qui durent depuis plus de 10 ans. Par exemple, nous fournissons à l’ISTC notre fil d’information, recevons des stagiaires de l’ISTC… et l’Institut mettra à notre disposition ses infrastructures à des prix préférentielles et des formations à la carte »

M.J

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La Journée mondiale de la terre 2020 se déroule ce 22 avril dans un contexte particulier : à la crise sanitaire du coronavirus s’est ajoutée l’invasion des criquets pèlerins en Afrique de l’Est. Placée sous le thème « Action pour le climat », cette Journée est marquée par le défi pour la Terre 2020 et la mobilisation électorale mondiale par le biais de la campagne « Voter pour la Terre ». La Banque africaine de développement se joint à la communauté internationale pour célébrer, cette année, les 50 ans de cet évènement.

Partenaire majeur pour le développement du continent, la Banque est plus que jamais déterminée à poursuivre la lutte contre les effets du changement climatique en Afrique. Chaque année, elle maintient le cap d’aider les pays africains à accélérer leur développement vert, à travers la mise en œuvre de son deuxième plan d’action contre les changements climatiques (PACC 2, 2016-2020).

Le PACC 2 repose sur quatre piliers tirés de l’Accord de Paris signé à la Conférence sur le climat de 2015 : stimuler l’adaptation et le développement résilient au climat en Afrique ; promouvoir l’atténuation des risques et le développement à faible teneur en carbone sur le continent ; mobiliser des ressources financières pour financer l’action sur le climat et le PACC 2 ; promouvoir un environnement favorable. Tous intègrent l’égalité des sexes et les préoccupations des femmes.


« Tout en déployant d'énormes ressources et un soutien mondial pour faire face aux efforts de sauvetage immédiats de la pandémie de Covid-19, nous ne devons pas détourner le regard de la nécessité de faire face simultanément aux menaces climatiques (…). Les criquets pèlerins en Afrique de l'Est et les ouragans imminents font aussi partie des défis actuels à relever », déclare Anthony Nyong, directeur du Département changement climatique et croissance verte à la Banque.

« La Banque mène une action majeure pour renforcer la résilience au changement climatique en Afrique. La Banque a démontré que l’investissement dans le renforcement de la résilience génère des rendements nettement supérieurs, poursuit Anthony Nyong. Dans son engagement à faire passer l’Afrique à une croissante verte, la Banque prend des mesures audacieuses et fait des investissements importants dans tous les principaux secteurs de développement. L’évolution vers une voie de développement plus verte et plus durable constitue un tremplin pour la transformation économique de l’Afrique. »

Alors que le Covid-19 met en danger la vie de nombreuses personnes, les moyens de subsistance et les systèmes de santé à travers l’Afrique, la Banque a commencé à mobiliser des ressources financières pour aider les pays du continent à lutter contre la pandémie. Début avril, elle a approuvé un don de deux millions de dollars américains de l’OMS pour l’Afrique afin de renforcer les capacités de 41 pays africains en matière de prévention des infections, de dépistage et de gestions des cas.

Au moment de célébrer la Journée mondiale de la terre 2020, la Banque africaine de développement réaffirme sa préoccupation à l’égard du changement climatique et du réchauffement de la planète, qui sont des tendances inquiétantes pour l’Afrique. Le défi pour la Banque est de mettre en œuvre des solutions et des initiatives innovantes qui concourent à réduire les émissions de gaz à effet de serre et à accélérer le développement durable sur tout le continent.

M.C

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Né à Daloa un 1er Octobre 1960, Yacine Idriss Diallo est titulaire d’une maîtrise en Mathématiques appliquées option Recherches Opérationnelles. 

En 1983, ce brillant cadre décroche son premier boulot en qualité de Conseiller Technique puis Sous-Directeur Administratif et Financier au Ministère de la fonction publique  de Côte D'Ivoire.

En 1990 Yacine Idriss Diallo est recruté en qualité de Directeur des Affaires Financières (DAF) de la RTI

Ses compétences sont par la suite repérées par le DG de la Lonaci feu Dieng Ousseynou qui le débauche pour faire de lui son Directeur Commercial et Marketing.

Yacine Idriss Diallo et son équipe révolutionnent la Lonaci et lui donnent le visage d'une société moderne et rentable avec le lancement de produits innovants comme le "Millionnaire" .

Et c'est tout naturellement que cet homme pétri d'expérience est nommé Directeur Général de la Lonaci en 2000. 

Ensuite en 2002, il est nommé Directeur Général de l’Office d’Aide à la Commercialisation des Produits Vivriers (OCPV).

Après une carrière bien remplie, Yacine Idriss Diallo est aujourd'hui un homme d'affaires prospère. 

Mais l'autre vie de Yacine Idriss Diallo est le sport !

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Oui! l'homme est un véritable fanatique du football. 

Étant étudiant, sa passion pour le sport et pour le football le propulse à la tête des 14 sections de l'Abidjan Université Club (AUC) comme Président, de 1980 à 1983.

1990 marque son entrée à la Fédération Ivoirienne de Football en qualité de Vice-président sous le Président Ezan Emmanuel 

L’Asec Mimosas le coopte comme Vice-Président par la suite sous les Présidents Ahoua Kanga et Maitre Roger Ouegnin qui lui font confiance 

En 2002, il est le 3ème Vice-Président de la FIF, chargé de la commission Marketing et Promotion sous le Président Jacques Anoma.

A ce poste, les résultats de l'homme sont exceptionnels!

Yacine Idriss Diallo c'est la création de la nouvelle équipe des Éléphants de Côte d'Ivoire en 2005 avec les Zokora Didier, Baky Kone, Eboue, Kolo Toure, Tizie, Salomon Kalou, Yaya, Didier Drogba...etc....etc....qui a fait rêver le Monde !

Yacine Idriss Diallo 

c'est la CAN de Football en Égypte où la Côte d'Ivoire,

s'est malheureusement inclinée en Finale après une superbe campagne 

Yacine Idriss Diallo c'est notre 1ère qualification au Mondial 2006 en Allemagne !

Yacine Idriss Diallo c'est la participation des Éléphants au Mondial en Afrique du Sud 

Deux participations à la Coupe du Monde d'affilée !...Du jamais vu!!!

Yacine Idriss Diallo 

c'est la modernisation, l'organisation et la structuration de la FIF 

Yacine Idriss Diallo c'est une stratégie Marketing de la FIF qui a su attirer des ressources financières via des Sponsors de renoms comme Orange, Petroci, Lonaci, Kia Motors...etc...  

C'est cet homme discret, compétent, expérimenté, chaleureux, méthodique, rigoureux et très professionnel avec une très grande capacité d'écoute qui se présentera aux Présidents de clubs de Football pour solliciter leur suffrage pour etre le prochain Président de la FIF

Le sacerdoce de Idriss Yacine DIALLO est de Rassembler pour Développer autour de projets innovants pour le Football Ivoirien 

Et par la grâce de"Guela" (DIEU), comme le disent ses parents de Bangolo, il y parviendra car il a le Meilleur profil pour diriger la FIF 

Sercom YID.

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Malgré ses progrès au fil des ans, en particulier dans les secteurs du pétrole, du gaz et de l'énergie, ce n'est un secret pour personne que l'Afrique est toujours aux prises avec un réel problème d’accès à l’énergie. Avec près de 600 millions de personnes sans accès à l'électricité, la question de savoir ce qu'il faudra faire pour éliminer la pauvreté en Afrique est plus que jamais d'actualité.

Alors que le continent a connu de grandes réalisations dans les développements pétroliers et gaziers et a vu le lancement de nombreux programmes d'énergies renouvelables réussis, mettant en ligne des projets de classe mondiale à grande échelle, il n'a toujours pas réussi à combler son fossé énergétique. Quelle est donc la prochaine étape pour l’Afrique ?

Avec l'augmentation de la population et les coûts élevés de l'électricité, les pays africains investissent dans diverses sources de production d'électricité, mais celle-ci restent largement non mises en œuvre, et non sans raison.

L'énergie nucléaire et l’Afrique

Alors que l'énergie nucléaire est largement inexplorée sur le continent, l'Afrique du Sud reste le seul pays à posséder une centrale nucléaire commercialisée.

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L'Égypte abrite, elle, l'un des plus anciens programmes électronucléaires. Lancé en 1954, le programme est responsable de la centrale nucléaire de 4,8 GW d'El Dabaa, actuellement en phase de construction. Le projet sera développé par la Russian State Atomic Energy Corporation (ROSATOM). La compagnie russe est le plus grand acteur de l'énergie nucléaire en Afrique, ayant conclu des protocoles d'accord avec le Kenya, le Nigeria, le Soudan, la Zambie et l'Ouganda. Le premier réacteur nucléaire du Kenya devrait être achevé en 2027, tandis que l'accord intergouvernemental de 2019 entre l'Ouganda et ROSATOM pour aider à développer l'infrastructure nucléaire est toujours en vigueur.

Bien qu'il n'ait fait aucune annonce en ce qui concerne la mise en œuvre du nucléaire dans son mix énergétique, le Sénégal a partagé plus tôt cette année sa disponibilité pour l'énergie nucléaire, à travers son Plan intégré de soutien à la sécurité nucléaire (INSSP), développé en collaboration avec l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA).

« Avant l'INSSP, nous ne considérions pas la sécurité nucléaire comme un problème qui affectait notre pays, car nous n'avions pas de programme électronucléaire. En coopération avec l'Agence internationale de l'énergie atomique, nous travaillons à évaluer nos menaces », a déclaré Ndèye Arame Boye Faye, Directeur général de l'organisme de réglementation du Sénégal, l’Autorité Sénégalaise de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire (ARSN). « Depuis que nous travaillons avec l'AIEA, nous avons également réévalué nos priorités et nos capacités et renforcé nos compétences dans le domaine de la sécurité nucléaire », a-t-il alors déclaré.

Les défis de l'énergie nucléaire

L'énergie nucléaire est l'une des options les plus attrayantes lorsqu'on envisage une source d'énergie propre, fiable et rentable. Mais cela ne va pas sans ses défis. Par exemple, il pourrait falloir des années à un pays pour lancer un programme électronucléaire et le développement des infrastructures ne pourrait pas arriver avant 10 à 15 ans. En termes simples, la route nucléaire nécessite beaucoup de patience et de dévouement en particulier en Afrique où un certain nombre de pays cherchent à se développer rapidement.

Selon Miliko Kovachev, chef de la Section du développement des infrastructures nucléaires de l'Agence internationale de l'énergie atomique : « Un programme électronucléaire réussi nécessite un large soutien politique et populaire et un engagement national d'au moins 100 ans. »

100 ans, un engagement qui ne répondrait pas aux besoins urgents en électricité de l'Afrique à court terme, en particulier avec la population de l'Afrique subsaharienne qui devrait doubler au cours des 30 prochaines années. Mais, il existe une solution alternative : les réacteurs nucléaires à petite échelle.

Définis par la l’Association mondiale du nucléaire comme des réacteurs généralement équivalents à 300 MWe ou moins, les réacteurs nucléaires à petite échelle sont conçus avec une technologie modulaire utilisant la fabrication en usine de modules, poursuivant des économies de production en série et des temps de construction courts, ce qui en fait l'une des solutions les plus pratiques pour les pays Africains.

Un autre obstacle majeur de l'énergie nucléaire est le financement. En raison de son coût élevé de mise en œuvre, les pays africains qui envisagent l'énergie nucléaire pourraient être dissuadés. « Mais, il existe des mécanismes de financement comme, par exemple, des agences d'exportation des pays fournisseurs. Exploiter un approvisionnement énergétique fiable et décarboné lorsque les fournisseurs proposent de le financer peut avoir du sens pour plusieurs pays d'Afrique », a déclaré Kovachev.

Les entreprises entrepreneuriales américaines qui comprennent l'Afrique sont susceptibles de réussir. IP3 International, une entreprise fondée par le contre-amiral de la marine à la retraite Michael Hewitt, le général à la retraite John Keane et Robert McFarlane, ancien conseiller à la sécurité nationale du président Ronald Reagan, est susceptible de jouer un rôle important avec une approche innovante qui donne la priorité aux Africains et s’appuie sur une approche d’autonomisation locale.Tous ces defis peuvent être surmontés, et l'Afrique est prête à les relever.

« Des plateformes telles que le Cadre international de coopération pour l'énergie nucléaire et IP3 International sont essentielles pour ouvrir le dialogue sur les bonnes approches pour l'Afrique », a déclaré NJ Ayuk, président de la Chambre africaine de l'énergie. « Parce que l'énergie nucléaire est encore un concept étranger à de nombreuses économies africaines, nous devons tirer nos leçons du reste du monde et participer aux conversations sur l'efficacité, la sûreté et la sécurité nucléaires pour que nous jetions les bases du développement nucléaire africain. »

L’énergie nucléaire et le débat sur le changement climatique

Alors que le débat sur le changement climatique se poursuit et que la communauté mondiale recherche des sources d'énergie plus propres, le passage à l'énergie nucléaire pour les pays africains signifierait qu'ils sont en mesure de réduire leurs émissions de carbone, comme exprimé dans l'Accord de Paris.

« La croissance économique en Afrique, la création d'emplois et l'amélioration de la qualité de vie dépendent d'une énergie abordable et abondant. L'énergie nucléaire est propre, fiable et abordable », a déclaré Ayuk. « C'est une solution viable pour l'Afrique. Bien sûr, cela prendra beaucoup de temps, de travail acharné et ce sera difficile, mais nous devons chercher des solutions énergétiques alternatives. Nos populations augmentent et l'écart se creuse, nous devons nous attaquer à la question de l’électricité et nous devons être ouverts à le faire en explorant différentes voies », a-t-il ajouté.

En faisant progresser les programmes d'énergie nucléaire, la Chambre africaine de l'énergie encourage les gouvernements à faire preuve d'une forte volonté politique et à créer des environnements permettant au nucléaire de prendre sa place dans nos mix énergétiques. Pour commencer, les pays africains doivent aller de l'avant avec les programmes, mettre en place des politiques et des réglementations et tirer les leçons des expériences de la Chine et de la Russie. Si nous voulons assurer un accès à l’énergie pour tous, nous devons agir maintenant. L'énergie est l'épine dorsale de notre développement

African Energy Chamber

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La Fondation Merck , la branche philanthropique de Merck KGaA Allemagne ensemble avec S.E. REBECCA AKUFO-ADDO, La Première Dame du Ghana et sa Fondation ont présenté des cartons d'articles de secours à plus de 1000 personnes handicapées, aux personnes vivant avec le VIH / SIDA et aux travailleurs occasionnels et quotidiens, en particulier aux femmes les plus touchées par le confinement due au coronavirus (COVID -19), pour limiter sa propagation au Ghana.

Les cartons qui contiennent du riz, de l'huile de cuisson, du milo, du sucre, du lait, des tomates en conserve, du poisson en conserve et d'autres articles, leur ont été distribuées selon des protocoles de distanciation physique.

Dr. Rasha Kelej, CEO of Merck Foundation, a expliqué : « Le confinement pour lutter contre le coronavirus va très durement toucher la plupart des travailleurs occasionnels et quotidiens. Par conséquent, en plus de faire la sensibilisation sur le coronavirus grâce à nos Prix de Reconnaissance des Médias « Rester à la Maison », la Fondation Merck a décidé de soutenir la stratégie des gouvernements africains visant à sauver la vie et les moyens de subsistance des populations dans le but de l'intégrer dans la stratégie de combat COVID-19 ». « Après notre partenariat avec La Première Dame du Ghana, nous allons intensifier cette initiative pour soutenir davantage 600 à 1 000 familles pauvres dans chacun des pays suivants en partenariat avec leurs Premières Dames ; RDC Congo, Niger, Burkina Faso, Zimbabwe, Malawi, Liberia et Sierra Leone dans le but de sauver les moyens de subsistance de milliers de familles avec un accent particulier sur les femmes en Afrique dans les temps du coronavirus dans le cadre de l'initiative « Séparé mais connecté » de la Fondation Merck » », a-t-elle indiqué.

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S.E. REBECCA AKUFO-ADDO, La Première Dame du Ghana et Ambassadrice de Merck Plus Qu'une Mère a soulignée : « Nous remercions la Fondation Merck, notre partenaire pour leur soutien. Nous nous engageons à soutenir les personnes les plus touchées par les confinements actuels dans les épicentres du Grand Accra et du Grand Kumasi, et nous encourageons les autres à s'associer avec nous pour rendre la vie beaucoup plus supportable pour nos personnes vulnérables, en particulier les femmes et les enfants. »

Dr. Rasha Kelej a en outre souligné que : « le Ghana et le reste du monde traversent des circonstances exceptionnelles et les diverses institutions et organes impliqués doivent soutenir ceux qui ne sont pas en mesure de supporter les conditions de fermeture de leur commerces afin qu'ils puissent soutenir leur famille, et que la participation positive contribue à la poursuite de ce grand groupe en adhérant aux instructions de santé et à la mise en quarantaine à domicile car au cas où ils ne seraient pas en mesure de le faire, ils devront sortir pour chercher un autre travail, ce qui les expose et expose aussi tout le monde aux risques de transmission de cette infection par le coronavirus ».

Dr. Rasha Kelej a expliqué : « Je voudrais éclairer sur une question très importante ; La pandémie a entraîné une augmentation horrible de la violence contre les femmes. Les femmes et les filles courent un risque plus élevé de violence domestique en raison des tensions accrues au sein du ménage. De plus, les fermetures d'écoles se traduisent par un fardeau accru de soins informels au sein des familles, affectant plus négativement les femmes que les hommes. Beaucoup de ces femmes sont actuellement prises au piège avec leurs agresseurs, ont du mal à accéder à n'importe quel service de soutien, elles sont seules et souffrent en silence. Par conséquent, la Fondation Merck en partenariat avec les Premières Dames Africaines soutient les travailleurs occasionnels avec un accent particulier sur les femmes dans le cadre de notre campagne phare Merck Plus Qu'une Mère ». 

M.J

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Tenus à l'écart des salles de classe par la pandémie de Covid-19, quelque 826 millions d'élèves et d’étudiants, soit la moitié du nombre total d'apprenants, n'ont pas accès à un ordinateur à domicile et 43% (706 millions) n'ont pas internet à la maison, alors même que l'enseignement numérique à distance est utilisé pour assurer la continuité de l'éducation dans la grande majorité des pays.

Ces chiffres ont été compilés par l’Équipe spéciale internationale sur les enseignants, une alliance coordonnée par l'UNESCO, sur la base des données de son Institut de statistique, et de l'Union internationale des télécommunications (UIT). Les disparités sont particulièrement marquées dans les pays à faible revenu : en Afrique subsaharienne, 89% des apprenants n'ont pas accès aux ordinateurs familiaux et 82% n'ont pas internet. 

En outre, alors que les téléphones mobiles peuvent permettre aux apprenants d'accéder à l'information, de se connecter entre eux et avec leurs enseignants, environ 56 millions d'apprenants vivent en des lieux non desservis par les réseaux mobiles, dont près de la moitié en Afrique subsaharienne. 

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« S'il faut multiplier les efforts pour fournir la connectivité à tous, nous savons maintenant que la poursuite de l'enseignement et de l'apprentissage ne peut se limiter aux moyens en ligne », a déclaré Audrey Azoulay, directrice générale de l'UNESCO. « Pour réduire les inégalités préexistantes, nous devons également soutenir d'autres alternatives, notamment le recours aux émissions de radio et de télévision communautaires, et la créativité dans toutes les formes d'apprentissage. Ce sont des solutions que nous abordons avec nos partenaires de la Coalition mondiale ». 

Au moins 1,5 milliard d'élèves et 63 millions d'enseignants du primaire et du secondaire sont touchés par les perturbations sans précédent causées par la pandémie de Covid-19, avec la fermeture d'écoles dans 191 pays. Même pour les enseignants des pays disposant d'une infrastructure fiable de technologies de l'information et de la communication (TIC) et d'une connectivité domestique, la transition rapide vers l'apprentissage en ligne a été difficile. Pour les enseignants des régions où les TIC et les autres méthodes d'enseignement à distance sont moins disponibles, la transition a été encore plus difficile, voire impossible. 

Les enseignants ont également besoin de formation pour dispenser efficacement l'enseignement à distance et en ligne mais ce type de soutien est particulièrement rare dans les pays à faible revenu. En Afrique subsaharienne, seuls 64% des enseignants du primaire et 50% de ceux du secondaire ont reçu une formation minimale qui, souvent, n'inclut pas de compétences en TIC.

« Ces inégalités constituent une réelle menace pour la continuité de l'apprentissage en cette période de perturbation sans précédent de l'éducation », a déclaré Stefania Giannini, sous-directrice générale de l'UNESCO pour l'éducation. « C'est pour remédier à ces lacunes que la Coalition mondiale pour l'éducation Covid-19 a été lancée ; elle rassemble plus de 90 partenaires des secteurs public et privé, afin d'élaborer des solutions universelles et équitables et rendre la révolution numérique inclusive ». 

La Coalition mondiale pour l'éducation comprend l'Union internationale des télécommunications et des groupes clés qui soutiennent les enseignants, tels que l'Internationale de l'éducation, la Fondation GEMS-Varkey, l'Organisation internationale du travail et l’Équipe spéciale internationale sur les enseignants 2030, qui a récemment publié un appel à l'action pour soutenir les professeurs touchés par la pandémie.

Le 17 avril, l'UNESCO a tenu son cinquième webinaire sur la réponse éducative à la pandémie de Covid-19 afin de partager les expériences des États en matière de stratégies d'enseignement à distance pendant l’épidémie. Par ailleurs, le 14 avril, la Commission internationale sur les futurs de l’éducation, instance mise en place l’an dernier sous les auspices de l’UNESCO, a rendu publique une Déclaration commune à l’issue d’une réunion extraordinaire consacrée à la pandémie actuelle.

M.J

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Une campagne d’information et de sensibilisation des commerçants du « Black Market » d’Adjamé sur la pandémie du Covid-19 s’est déroulée vendredi 17 Avril à l’initiative d’une organisation de la société civile dénommée Vision Nouvelle des Commerçants Shopping Abrogoua (Vinocoshab).

L’objectif de Vinocoshab est de contribuer à la sensibilisation des commerçants pour le respect des mesures de prévention recommandées par l’Etat de Côte d’Ivoire. Également, en renforçant leurs connaissances sur la pandémie du coronavirus. Concrètement, il s’agissait pour  « vinocoshab »  d’aller à la rencontre des commerçants en vue de les sensibiliser à l’emploi des méthodes préventives.

Pour montrer l’exemple, Coulibaly Aboubacar alias Sadjoro, Président de Vinocoshab avec son équipe ont sillonné tout le marché et invité commerçants et commerçantes à observer les gestes barrières contre le coronavirus et à rester disciplinés.

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A en croire le, président de la Vision Nouvelle des Commerçants Shopping Abrogoua (Vinocoshab) : « Nous répondons à l’appel du gouvernement. Il faut accentuer la sensibilisation auprès de nos amis  car cette maladie est une réalité. Vous savez, le coronavirus n’épargne personne et donc nul n’est à l’abri de cette maladie.», a-t-il déclaré.

« vinocoshab » sera désormais active dans la lutte contre le coronavirus. « Nous ferons en sorte que les commerçants du black market soient informés au maximum sur cette maladie et les mesures prises par nos autorités pour aider la population, en particulier les commerçants du Black. Si nous respectons les règles d’hygiène qui ont été édictées par nos autorités, nous pouvons empêcher le coronavirus de nous atteindre », a ajouté Coulibaly Aboubacar.

Ainsi, Vision Nouvelle des Commerçants Shopping Abrogoua (Vinocoshab)  ne veut pas rester en marge de la campagne de sensibilisation contre le covid-19. Elle a décidé de jouer son rôle en s’engageant auprès du gouvernement  pour freiner l’épidémie en Côte d’Ivoire. Pour elle, la vigilance est donc de mise. C’est le début d’une longue campagne de sensibilisation contre cette maladie.

A noter que Vision Nouvelle des Commerçants Shopping Abrogoua (Vinocoshab) est une association des commerçants du « Black Market » d’Adjamé. Elle  œuvre à restaurer l’image ternie de ce marché, à lutter également pour l’intérêt et le bien-être de ses membres. Elle organise régulièrement des actions sociales en faveur des populations.

N.G

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La Banque Panafricaine Ecobank, a fait une contribution d’environ 3 millions de dollars américains comme participation à la lutte contre le COVID-19 sur l’ensemble de son réseau en Afrique. Conformément à son engagement envers le continent, diverses contributions ont été apportées pour soutenir les efforts des gouvernements, de l'Organisation Mondiale de la Santé ainsi que du secteur privé, pour atténuer les effets de la pandémie sur les couches sociales les plus vulnérables du continent.

Grâce à sa connaissance de l'Afrique, et pour compléter les efforts gouvernementaux, le Groupe a fourni un soutien sous forme de numéraire, d’équipements et de fourniture de soins de santé. Le Groupe a également marqué son appui par le déploiement de campagnes de sensibilisation pertinentes et soutenues, mais aussi par l’utilisation de la plateforme numérique de la Banque pour, entre autres, approvisionner les comptes des personnes les plus vulnérables.

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Ade AYEYEMI, Directeur Général du Groupe Ecobank, a déclaré : « Le COVID-19 est une menace mondiale majeure qui n’épargne aucun pays, y compris ceux de notre continent, l'Afrique, particulièrement vulnérable. Dans notre lutte contre cette pandémie, nous pensons qu’il est important non seulement de sensibiliser nos communautés, mais également de leur accorder les moyens de se protéger, ainsi que leurs proches. Nous sommes particulièrement attentifs aux besoins de nos communautés et faisons converger nos efforts en leur direction pour garantir un impact positif dans nos zones urbaines et rurales. »

« Nous sommes par ailleurs conscients de l'effet de la pandémie du COVID-19 sur nos clients et avons pris la décision d'atténuer de diverses manières les retombées négatives en rendant d’ores et déjà gratuits certains frais bancaires sur nos plateformes numériques. Nous continuerons d'anticiper les situations qui pourraient nécessiter notre soutien, à mesure que la situation évolue », a ajouté Ade AYEYEMI.

Au sein du Groupe Ecobank, la santé et le bien-être de notre personnel et de nos clients sont notre priorité. Nous suivons de près les directives de l'Organisation Mondiale de la Santé, des gouvernements et des agences de santé. Nous encourageons le télétravail, dans la mesure du possible et avons, depuis quelques semaines, suspendu les réunions physiques.

Nous observons également la distanciation sociale requise dans les bureaux et les agences ouvertes, tout en veillant à ce que les agences et les guichets automatiques soient régulièrement désinfectés sur l’ensemble de notre réseau. Nous continuons à promouvoir de bonnes mesures d'hygiène et de santé au sein de nos bureaux et à l'extérieur en utilisant nos plateformes de réseaux sociaux pour sensibiliser le public sur les mesures préventives nécessaires en cette période critique.

H.N

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Le Groupe NSIA, entreprise panafricaine engagée du secteur de la Banque et de l’Assurance présente en Afrique de l’Ouest et Centrale, agit dans l’ensemble de ses douze pays d’implantation et fait un don de 322.000.000 FCFA en numéraires, ambulance médicalisée et kits sanitaires, pour lutter contre la propagation de la pandémie Covid-19.

Groupe engagé pour le développement économique et social de l’Afrique, NSIA soutient la lutte contre la pandémie de Covid-19.

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L’ensemble des filiales du Groupe ont procédé à des dons d’une valeur totale de 322.000.000 FCFA, participant ainsi aux efforts des autorités, des acteurs de la santé mais également de tous ceux qui sont impliqués au quotidien dans la lutte contre la propagation du COVID-19 et pour le maintien des services essentiels dans nos pays.

Depuis le début de cette crise sanitaire, le Groupe se mobilise pour la santé et la sécurité de ses clients, partenaires, dirigeants et administrateurs ainsi que de ses 3 000 employés dans tous ses pays d’implantation. Malgré ces circonstances difficiles, NSIA reste engagée à poursuivre sa mission : fournir au plus grand nombre, des produits et services financiers, contribuant ainsi au développement économique et social des pays d’implantation.

« Le Groupe NSIA sera toujours au rendez-vous pour accompagner les entreprises et les particuliers en fonction des besoins et des réalités économiques de chacun. Cela s’exprime aussi par notre présence aux côtés des populations dans les moments difficiles, c’est la raison pour laquelle l’ensemble de nos filiales ont contribué à la riposte contre cette crise sanitaire inédite. C’est au prix de cette solidarité que nous vaincrons ensemble le COVID-19. » a déclaré Jean Kacou Diagou, Président du Groupe.

H.N

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