Contenu - LA DIPLOMATIQUE D'ABIDJAN
LDA Journaliste

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Le défenseur français Raphaël Varane a contracté une blessure aux adducteurs et sera, probablement, forfait pour le match qui opposera le Real Madrid au club londonien de Chelsea pour le compte de la demi-finale retour de la Ligue des champions d’Europe de football, a annoncé le club de la capitale espagnole.

“Les examens réalisés aujourd’hui sur notre joueur Raphaël Varane par les services médicaux du Real Madrid lui ont diagnostiquée une lésion dans le muscle adducteur droit”, a déclaré le club dans un communiqué, sans préciser la durée d’indisponibilité.

Les Merengues, 13 fois titré en LDC, devront faire mieux mercredi à Stamford Bridge que le match nul 1-1 concédé au match aller à Madrid, pour atteindre la finale de la Ligue des champions

La blessure de Varane, remplacé à la mi-temps du match contre Osasuna (remporté 2-0) samedi, constitue un coup dur pour les hommes de Zinedine Zidane: en championnat d’Espagne, le Real est engagé dans une course au titre très serrée avec l’Atlético Madrid et le FC Barcelone, et un match-clé dès dimanche contre Séville, 4è (70 pts) avec 4 points derrière et un match en moins.

A quatre journées de la fin, les coéquipiers du vétéran Sergio Ramos (2è), éloigné lui aussi des terrains depuis plus d’un mois, compte deux points de retard sur l’Atlético et se trouve à égalité de points avec le Barça.

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Le Parti Socialiste des Travailleurs (PST/opposition) a dénoncé vivement la répression qui s’abat sur le hirak en Algérie et les “pressions politiques”, dont sont victimes des partis de l’opposition.

Pas plus tard que la semaine dernière, “la marche hebdomadaire des étudiants a été réprimée par les forces de l’ordre. Nous dénonçons ces atteintes aux libertés d’expression et de manifestation”, a fustigé le porte-parole du PST, Mahmoud Rechidi.

Rechidi, dont les propos sont relayés par les médias algériens, a aussi dénoncé “le coup de force” du régime qui veut, selon lui, imposer des législatives contre la volonté de la majorité du peuple.

“Il faut un changement profond et cela ne réside pas dans les élections qui n’offrent pas de garanties de transparence”, a-t-il expliqué, ajoutant que la solution à la crise politique passe par l’instauration d’une Assemblée constituante souveraine.

Tout en appelant le hirak à s’”auto-organiser à la base”, le responsable a dénoncé “les pressions politiques” et les “menaces” du ministère de l’Intérieur.

“C’est inacceptable ! Nous demandons le respect des libertés et des droits démocratiques”, a-t-il exigé, notant que “la liberté d’organisation en partis politiques devrait obéir à un régime déclaratif”.

Interrogé au sujet des mouvements du MAK et de Rachad, accusés par le régime de vouloir fomenter des projets d’attentat au sein du hirak, Rechidi a déploré “un épouvantail” brandi par le système en place dans le but de semer la peur parmi les hirakistes.

Il a mis en garde contre une “explosion sociale” alors que les mouvements de protestation se multiplient ces derniers mois dans de nombreux secteurs, dont ceux de la santé et de l’éducation nationale.

“La situation est très dangereuse sur le front social”, a-t-il mis en garde, expliquant que le pouvoir d’achat des Algériens ne cesse de se détériorer.

Il a estimé que c’est le résultat des politiques libérales instaurées par le gouvernement, appelant à une jonction des luttes sociales et politiques à même de favoriser l’émergence d’un “rapport de force” en faveur d’un changement démocratique.

L’Algérie a enregistré ces dernières semaines, à quelques semaines des élections législatives, une recrudescence de la répression et des interpellations des manifestations.

La semaine dernière, la police avait empêché les étudiants de manifester à Alger, comme ils le font chaque mardi, pour la première fois depuis la reprise, fin février, des marches du mouvement populaire.

L’interdiction de la manifestation intervenait dans un contexte d’intensification de la répression contre des militants hirakistes, des opposants politiques et des journalistes, à l’approche des législatives anticipées. Quelque 66 détenus d’opinion sont actuellement incarcérés en Algérie pour des faits ayant un lien avec le hirak ou les libertés individuelles, selon le site spécialisé “Algerian Detainees”.

Cette vague de répression sans précédent a été dénoncée par plusieurs organisations algériennes et internationales dont la Ligue algérienne de Défense des Droits de l’Homme (LADDH) qui a exprimé son inquiétude devant “l’escalade de la répression qui vise toutes les voix de l’opposition et du Hirak”.

Le Hirak, ce mouvement de protestation de grande ampleur qui a chassé le président algérien Abdelaziz Bouteflika du pouvoir après 20 ans de règne sans partage, avait repris le 22 février dernier après près d’une année de suspension pour cause de la pandémie de Covid-19 qui sévit en Algérie et dans le monde entier.

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Au moins 23 personnes ont été tuées dans la nuit de lundi à mardi, et des dizaines d’autres blessées à Mexico après l’effondrement d’un pont du métro aérien qui a fait plonger une rame dans le vide, ont annoncé les autorités locales.

“Nous déplorons à ce stade vingt-trois morts, dont un qui est décédé à l’hôpital”, à déclaré à la presse la maire de Mexico, Claudia Sheinbaum, arrivée rapidement sur les lieux.

L’accident, qui s’est produit vers 22H00 heure locale (03:00 GMT) près de la station Olivos, sur la ligne 12 du métro qui traverse le sud de la capitale, a fait près de 70 blessés, a précisé Mme Sheinbaum.

Des dizaines de pompiers et de sauveteurs s’activaient à dégager les blessés et les corps des passagers incarcéres dans un amas de métal, de gravats, de câbles et de rails déformés.

Tout le secteur a été bouclé par la police et par l’armée qui a dressé un périmètre de sécurité.

Il s’agit du second accident du métro depuis le début de l’année. En janvier, un incendie avait endommagé les installations de contrôle du réseau, faisant un mort et 29 blessés par les émanations de fumée.

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La Russie a annoncé vendredi des sanctions contre de hauts responsables de l’Union européenne, dont le président du Parlement européen, en représailles à celles mises en place par Bruxelles.

“L’Union européenne poursuit sa politique de mesures de restriction unilatérales illégitimes visant des citoyens et des organisations russes”, a déclaré la diplomatie russe dans un communiqué, accusant l’UE de chercher à entraver “à tout prix le développement” de la Russie.

Selon le communiqué, la Russie interdit notamment l’entrée sur son territoire à huit responsables européens, parmi lesquels le président du Parlement européen David Maria Sassoli, un Italien, et une vice-présidente de la Commission européenne, Vera Jourova, une ressortissante tchèque chargée des Valeurs et de la Transparence.

La Russie riposte ainsi aux sanctions imposées par l’UE les 2 et 22 mars à de hauts responsables russes, des actes visant aux yeux de Moscou à “lancer un défi ouvert à l’indépendance de la politique intérieure et extérieure russe”, d’après la même source.

Le 2 mars, l’Union européenne a annoncé sa décision d’imposer des mesures restrictives à l’encontre de quatre Russes responsables selon l’UE de violations des droits de l’homme.

Ces mesures comprenaient notamment l’interdiction d’entrée sur le territoire de l’UE et le gel des avoirs de ces hauts responsables, parmi lesquels le chef du Comité d’enquête russe Alexandre Bastrykine et le procureur général Igor Krasnov.

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Le Conseil militaire de transition (CMT), instauré au Tchad après le décès du président Idriss Déby Itno, a annoncé dimanche soir la nomination d’un gouvernement de transition.

Plusieurs anciens ministres du dernier gouvernement ont été reconduits dans leur précédent portefeuille ou nommés à un autre ministère, d’après la liste annoncée à la télévision d’Etat par le porte-parole de l’armée, le général Azem Bermandoa Agouna.

Le porte-parole du dernier gouvernement, Chérif Mahamat Zene a été nommé ministre des Affaires étrangères, poste qu’il a déjà occupé de 2018 à 2020, alors que Daoud Yaya Brahim a été chargé de diriger le département de la Défense, un portefeuille qu’il a déjà occupé sous Idriss Deby Itno.

Deux membres du parti d’opposition, l’Union nationale pour la Démocratie et le Renouveau (UNDR), ont été nommés aux postes de ministre de l’Elevage et de secrétaire général adjoint du gouvernement.

L’opposant d’Idriss Déby Itno, Mahamat Ahmat Alhabo, du Parti pour les Libertés et le Développement (PLD), a été nommé, quant à lui, ministre de la Justice.

Le président du CMT, le général Mahamat Idriss Déby, a également créé par décret un nouveau ministère de la Réconciliation et du Dialogue, après avoir récemment promis d’organiser un “dialogue inclusif”.

Le général Mahamat Idriss Deby avait nommé le dernier Premier ministre d’Idriss Déby Itno, Albert Pahimi Padacké, au poste de Premier ministre de transition.

Une mission de la Commission de l’Union africaine est à N’Djamena depuis jeudi afin de suivre de près les stratégies visant à faciliter un retour rapide à  “l’ordre constitutionnel et à la gouvernance démocratique”.

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Aujourd'hui marque la fin de la 12ème épidémie de la maladie à virus Ebola en République démocratique du Congo (RDC), trois mois seulement après la notification du premier cas au Nord-Kivu. L'épidémie d'Ebola qui a réapparu en février est survenue neuf mois après qu'une autre épidémie dans la même province avait été déclarée terminée.

L’Organisation mondiale de la Santé (OMS) félicite les autorités de la RDC et les agents de santé sur le terrain pour leur réponse rapide qui s’appuie sur l’expérience du pays dans la lutte contre les flambées d’Ebola. Cette épidémie est la quatrième que le pays connaît en moins de trois ans.

Onze cas confirmés et un cas probable, six décès et six guérisons ont été enregistrés dans quatre zones de santé du Nord-Kivu depuis le 7 février, date à laquelle le ministère de la Santé a annoncé la résurgence d'Ebola à Butembo, une ville de la province du Nord-Kivu et l'une des zones à risque de l'épidémie de 2018-2020.

Les résultats du séquençage génomique effectué par l’Institut national de recherche biomédicale (INRB) du pays ont révélé que le premier cas d’Ebola détecté lors de l’épidémie était lié à l’épidémie précédente. La source de l’infection n’a toutefois pas encore été déterminée.

« Il faut saluer les personnel de santé local et les autorités nationales pour leur réponse rapide, leur ténacité, leur expérience et leur travail acharné qui ont permis de maîtriser cette flambée », a déclaré Dr Matshidiso Moeti, directrice régionale de l'OMS pour l'Afrique. « Bien que l'épidémie soit terminée, nous devons rester attentifs à une éventuelle résurgence tout en faisant appel à l'expertise croissante en matière d'intervention d'urgence pour faire face aux autres menaces sanitaires auxquelles le pays est confronté. »

La riposte a été coordonnée par le Division provinciale de la santé (DPS) en collaboration avec l'OMS et ses partenaires. L'Organisation comptait près de 60 experts sur le terrain et a aidé, dès que l'épidémie a été déclarée, les travailleurs locaux à retrouver les contacts, à fournir des traitements, à impliquer les communautés et à vacciner près de 2 000 personnes à haut risque, dont plus de 500 agents de première ligne.

La réponse a souvent été entravée par l'insécurité causée par des groupes armés et des troubles sociaux qui ont parfois limité la mobilité des intervenants. Dans la zone où l'épidémie a eu lieu, la population se déplace beaucoup pour faire des affaires ou rendre visite à leur famille et à leurs amis.

La ville de Butembo est à environ 150 km de la frontière ougandaise et des inquiétudes ont été exprimées à propos d’une potentielle propagation transfrontalière de l'épidémie. Cependant, une riposte efficace a permis de limiter l'épidémie à la province du Nord-Kivu.

Alors que la 12ème épidémie est terminée, il est nécessaire de rester vigilant et de maintenir un système de surveillance solide, car de potentielles recrudescences sont possibles dans les mois à venir. Il est important d’intensifier la surveillance continue de la maladie, le suivi des alertes et de travailler avec les communautés pour détecter et répondre rapidement à tout nouveau cas. L'OMS continuera à soutenir les autorités sanitaires dans leurs efforts pour contenir rapidement une flambée soudaine d'Ebola.

L'OMS continue de travailler avec la République démocratique du Congo pour lutter contre d'autres problèmes de santé publique tels que les épidémies de rougeole et de choléra, la pandémie de COVID-19 ainsi que pour renforcer le système de santé.

L’épidémie de 2018-2020 était la 10ème en République démocratique du Congo et la plus meurtrière du pays, avec 3 481 cas, 2 299 décès et 1 162 survivants. Le pays a également connu sa 11ème épidémie qui a eu lieu dans la province de l'Équateur en juin de l'année dernière.

La Guinée connaît actuellement aussi une épidémie d'Ebola, débutée en février de cette année.

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La Directrice Générale du Fonds Monétaire International (FMI), Kristalina Georgieva, a traduit le 29 avril 2021, lors d'une visioconférence avec le Premier Ministre ivoirien, Patrick Achi, l'engagement de son institution à soutenir la mise en œuvre du Plan National de Développement (PND ‪2021-2025).

La Directrice Générale a également indiqué que le FMI est disposé à soutenir les actions sociales entreprises par la Côte d'Ivoire au profit des populations.

Tout comme Kristalina Georgieva a félicité le gouvernement ivoirien pour ses remarquables performances économiques de ces dernières années et salué sa bonne gestion de la pandémie à Coronavirus qui a évité au pays une récession économique.

Patrick Achi a, pour sa part, rappelé les grandes priorités de l'action gouvernementale pour la traduction en actes de la Vision 2030 du Président Alassane Ouattara "Côte d'Ivoire Solidaire".

Ce sont, entre autres, le renforcement de la paix, de la sécurité et de la cohésion sociale ; l’augmentation de la création de richesses et d’emplois ; l’accélération du développement du capital humain ; l’amélioration de l’efficacité de l’action publique et la solidarité, de même que la réduction constante de la pauvreté.

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Proparco, la filiale de l'Agence Française de Développement (AFD) dédiée au secteur privé et le groupe bancaire ivoirien, NSIA Banque, ont signé le 30 avril 2021 à Abidjan, un nouveau partenariat pour financer les entreprises ivoiriennes impactées par la Covid-19.

C'était en présence du Premier Ministre ivoirien, Patrick Achi et du ministre français de l'Economie, des Finances et de la Relance, Bruno Le Maire.

La garantie de portefeuille "Choose Africa Résilience" de Proparco, d'un montant de 2,5 milliards de FCFA permettra à NSIA Banque d'accorder des prêts à des petites et moyennes entreprises qui sont garantis à 80% par l'AFD.

Patrick Achi s'est réjoui de la signature de ce partenariat qui apporte un concours significatif aux PME ivoiriennes.

Pour Bruno Le Maire, la France et la Côte d'Ivoire ont la même stratégie, celle de créer de la valeur localement.

Le volet Résilience de "Choose Africa" a été lancé en novembre 2020 par le gouvernement français, en réponse à la crise sanitaire liée à la Covid-19. Il est doté d'un montant d'un milliard d'euros.

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Présidant la cérémonie de signature des contrats-plans entre l’Etat et les entreprises sucrières Sucaf-CI et Sucrivoire, le 01 mai 2021 à Abidjan, le Premier Ministre ivoirien, Patrick Achi, a traduit l’engagement du gouvernement à renforcer leur compétitivité.

 « Le gouvernement a décidé d’engager le renforcement de l’industrie sucrière, à travers des contrats-plans, à réaliser des investissements nécessaires pour augmenter la capacité des sociétés Sucaf-CI et Sucrivoire, en vue d’améliorer leur productivité, leur compétitivité et réaliser l’autosuffisance en sucre, de même que garantir des prix compétitifs pour les ménages, dans le cadre de la lutte contre la vie chère. », a dit Patrick Achi.

Et d’ajouter que la filière sucrière est l'une des filières stratégiques de l’économie ivoirienne, à travers son rôle important dans l’alimentation humaine et dans l’industrie agroalimentaire.

Les contrats-plans prévoient pour les entreprises sucrières de réaliser des investissements de plus de 151 milliards de FCFA sur la période 2021-2025, dont 71,332 milliards pour Sucaf-CI et 79,731 milliards pour Sucrivoire.  En outre, elles s’engagent à accroître leur production, à hauteur  de 206 000 T en 2021 et à environ 255 000 T en 2025.

Quant à l’Etat, il s’engage, entre autres, à maintenir la mesure d’interdiction des importations de sucre pour les cinq prochaines années, à renforcer le contrôle et le suivi de la mise en œuvre des mesures d’instauration d’un environnement juridique et réglementaire propice pour faciliter les investissements, notamment la lutte contre l’importation frauduleuse de sucre.

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Ce samedi 1er mai n'a pas été chômé pour le ministre délégué chargé de l'Intégration africaine et des Burkinabè de l'extérieur et sa délégation qui séjournent en Côte d'Ivoire depuis quelques jours. Maxime Koné a eu une rencontre de prise de contact et d'échanges avec la communauté burkinabè vivant en Côte d'Ivoire.

Il était entouré de l'ambassadeur du Burkina Faso en Côte d'Ivoire, des Consuls généraux du Burkina Faso à Abidjan, Bouaké et Soubré, ainsi que de collaborateurs du département en charge de l'intégration africaine et des Burkinabè de l'extérieur venus l'accompagner. 

A l'entame des échanges, l'ambassadeur a fait une brève présentation sur le parcours du nouveau ministre avant que celui-ci décline les raisons de l'entrevue. Prenant la parole à son tour, Maxime Koné a indiqué que ce rendez-vous avec la diaspora burkinabè de Côte d'Ivoire se voulait non seulement une prise de contact avec elle, mais également une tribune d'échanges sur ses préoccupations et les conditions de vie dans son pays d'accueil.

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 Il a donné les nouvelles du Burkina Faso, notamment la situation sécuritaire marquée par des attaques terroristes. Mais, il a rassuré que les efforts des Forces de défense et de sécurité ont réduit les cas d'attaque sur l'ensemble du territoire. Le ministre délégué a également fait savoir à ses interlocuteurs que la diaspora figure en bonne place dans le programme présidentiel et attend beaucoup de sa contribution pour l'édification du Burkina Faso. Il a annoncé quelques actions en sa faveur.

Il s'agit notamment de la création du Haut Conseil des Burkinabè de l'extérieur, ma réflexion pour la mise en place d'un Fonds d'investissement de la Diaspora, l'écriture en cours de la stratégie nationale de la diaspora, etc. Maxime Koné a expliqué que le succès des différentes actions requiert l'adhésion de tous.

S'exprimant à leurs tour, les compatriotes ont salué la démarche du ministre délégué venu à leur rencontre avant d'égrainer leurs préoccupations qui se résument aux tracasseries liées à la fermeture des frontières du fait de la COVID19, les lenteurs dans la délivrance des cartes d'identité consulaires, des problèmes liés à l'obtention de certains documents d'état civil dans les consulats.

A ces différentes préoccupations, Maxime Koné et ses collaborateurs ainsi que la représentation diplomatique ont apporté des éléments de réponse à la satisfaction des participants. Au regard de l'importance de la communauté burkinabè en Côte d'Ivoire, le ministre délégué a indiqué qui entend revenir pour d'autres échanges plus approfondis avec les différents consulats généraux dans leurs juridictions respectives.

Cette cérémonie de prise de contact et d'échanges a été, par ailleurs, mise à profit pour décerner des médailles à des récipiendaires décorés dans le cadre la commémoration de la fête de l'indépendance du Burkina Faso. Au nombre de sept, ces récipiendaires ont été décoré dans l'ordre de l'étalon et dans l'ordre du mérite burkinabè.

Source: Ambassade de BF en CI

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