Contenu - LA DIPLOMATIQUE D'ABIDJAN
LDA Journaliste

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Le 10e stage logistique de niveau bataillon s’est terminé le jeudi 25 novembre 2021 par la remise aux officiers nigériens qui l’ont suivi d’une attestation.

La cérémonie, placée sous la présidence de l’adjoint du chef du bureau logistique, le colonel Sadou, s’est déroulée en présence de nombreux représentants des différents organismes des FAN et des forces de sécurité intérieures (FSI).

Piloté conjointement par le lieutenant-colonel Ango, Officier traitant au bureau logistique de l’état-major nigérien des armées, et par le lieutenant-colonel Samuel, coopérant militaire français, ce stage avait pour but d’initier les officiers à la logistique opérationnelle.

Au total, 13 stagiaires (deux de la Police nationale, deux de la Garde nationale du Niger, deux de la Gendarmerie nationale, et 7 officiers des Forces armées nigériennes) ont suivi ce stage qui a été complété par une formation logistique ONU de trois jours dispensée par un officier des éléments français au Sénégal (EFS).

Après avoir appréhendé le fonctionnement et l’organisation logistique des entités des Forces de défense et de sécurité (FDS), les stagiaires se sont rendus au poste de commandement du fuseau centre de la Force Conjointe du G5 Sahel (PCC FC G5 SAHEL) où ils ont bénéficié d’une présentation détaillée d’un centre d’opérations (CO) et du rôle du responsable logistique.

A l’issue de leur formation, les stagiaires ont effectué une série d’exercices de difficulté croissante où chacun a pu mettre en application les différentes connaissances acquises

De l’avis général et à en juger l’excellent niveau des résultats aux exercices de mise en situation, ce stage a pleinement atteint ses objectifs en contribuant au renforcement du vivier en logisticiens des FDS du Niger.

hn

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La 34e édition des China Film Golden Rooster Awards se tient à Xiamen, dans la province chinoise du Fujian, du 28 au 30 décembre, et attire un certain nombre de stars de premier plan et d'initiés du secteur.

Les Golden Rooster Awards, qui ont été lancés en 1981 (l'année du coq), sont un événement national de remise de prix cinématographiques parrainé par la Fédération chinoise des cercles littéraires et artistiques et l'Association chinoise du cinéma. Il est devenu l'événement de remise de prix cinématographiques le plus prestigieux de Chine et a contribué de manière significative au développement de l'industrie cinématographique chinoise.

En tant que ville hôte des Golden Rooster Awards, Xiamen a connu un développement rapide de l'industrie du cinéma et de la télévision ces dernières années. Les statistiques montrent qu'en 2020, les recettes d'exploitation de l'industrie culturelle de Xiamen ont atteint 116,36 milliards de yuans (18,26 milliards de dollars), soit une croissance de 7,3 % d'année en année.

Xiamen, ville côtière aux paysages naturels enchanteurs et au climat agréable, a été saluée comme "un jardin sur l'océan", et elle porte également des éléments de la culture Minnan (province méridionale du Fujian) et de la culture occidentale, deux éléments qui permettent à la ville de gagner la réputation de "studio naturel" et d'être privilégiée par de nombreux cinéastes et réalisateurs.

Le gouvernement de la ville a désigné l'industrie du cinéma et de la télévision comme l'un des moteurs de la croissance économique et a pour objectif de faire de la ville une "capitale du cinéma et de la télévision" en Chine.

Les efforts continus de la ville ont porté leurs fruits. Les données officielles montrent qu'à la fin du mois de novembre, Xiamen comptait 2 046 entreprises cinématographiques et télévisuelles, dont 350 ont été nouvellement créées cette année. De plus en plus de chefs d'entreprise choisissent Xiamen comme destination d'investissement en raison de son environnement commercial sain pour l'industrie du film et de la télévision. Xiamen est devenue un foyer de production cinématographique et télévisuelle, comme la série télévisée à succès "Minning Town", qui est sortie au début de l'année.

Dans le même temps, le développement rapide de l'industrie cinématographique et télévisuelle a contribué à renforcer le soft power culturel et la compétitivité urbaine de la ville. La magnifique cité-jardin continue de créer une harmonie parfaite entre l'homme et la nature et est devenue une carte de visite pour les touristes et les investisseurs.

hn

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Après le tête à tête avec son homologue ABDEL-FATAH AL SISI et la séance élargie aux deux délégations, le Président de la République, le Général MAHAMAT IDRISS DEBY ITNO a reçu dans la soirée deux groupes d’investisseurs spécialisés dans les domaines de la santé et de l’énergie solaire qui désirent venir investir au Tchad. Il s’agit du Groupe ALLAM et du Groupe des Hôpitaux Saoudiens et Allemands en Egypte et en Afrique du Nord

Présent dans 11 pays africains et totalisant plusieurs années d’expériences, le groupe ALLAM est spécialisé dans les bâtiments et travaux publics ainsi que la fourniture d’énergie solaire. Il veut prospecter au Tchad à travers un programme de fournitures et installation d’équipements solaires photovoltaïques financé par Africa Eximbank. Le Président  Directeur Général dudit groupe, Hassan Allam est venu discuter avec le Chef de l’Etat du lancement très prochain dudit programme au pays de Toumai. Les échanges entre le Chef de l’Etat MAHAMAT IDRISS DEBY ITNO et le Président  Directeur général du groupe ALLAM ont été focalisés sur ce point précis.

Pays en construction, le Tchad a besoin des compétences et des expertises des investisseurs étrangers pour l’accompagner dans ses efforts de développement du secteur énergétique a déclaré le Chef de l’Etat à ses interlocuteurs.

La seconde délégation reçue par le Président de la République est celle du groupe des hôpitaux saoudiens et allemands en Egypte et en Afrique du Nord, conduite par son Directeur Régional Dr Mohamed Hablas. Les échanges ont porté essentiellement sur la question de transfert de compétences au profit des médecins tchadiens et le renforcement de leur capacité managériale dans la gestion des structures sanitaires.

Le Président de la République a félicité et encouragé Dr Mohamed Hablas pour cette démarche. Un déplacement, à N’Djaména, du groupe en vue d’échanger avec les responsables du Ministère de la Santé Publique est envisagé au sortir des discussions.

hn

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Le 22 janvier prochain le Mouvement Sauvons le Burkina Faso  entend battre le pavé en signe de protestation contre l’insécurité et soutenir les volontaires pour la défense de la patrie (VDP). Mais aussi exiger le départ du président Roch Kaboré du pouvoir. C’est au cours d’une conférence de presse tenue ce 04 janvier 2022, à Ouagadougou, animée par Anaïs Drabo, Mamadou Drabo, Valentin Yamkoudougou. 

«Selon Valentin yambkoudougou, si le 22 janvier 2022, la mairie nous refuse le droit de manifester , nous allons saisir la justice. Nous constatons la dissolution du mouvement du 27 novembre (C27). C’en est fini avec la C27. Les autres ne sont pas au même niveau que nous. Nous demandons la démission du président du Faso».

Après la démission de Roch Kaboré de la Présidence du Faso , renchérit Mamadou Drabo, «nous allons le traduire en justice pour non assistance à personne en danger»

Source: Netafrique

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mercredi, 05 janvier 2022 15:57

CAN: 64 ans de promotion du foot africain

Une lecture dans l’historique de la Coupe d’Afrique des nations (CAN) de football, dont la 33è édition débutera le 09 janvier au Cameroun, permet de relever comment cette cette grand-messe du football africain a gagné, au fil des éditions, en spectacle et en notoriété, séduisant de plus en plus les mordus du ballon rond et s’imposant comme l’un des plus prestigieux rendez-vous footballistiques au monde.

Créée en 1956, trois ans avant la Coupe d’Europe des Nations, la CAN est la deuxième plus vieille compétition continentale après la Copa America dont la première édition date de 1916.

-Le doublé des Pharaons (1957, 1959)

Après de nombreuses participations au niveau mondial durant la première moitié du 20è siècle (Jeux Olympiques et Coupe du Monde), l’Égypte, considérée alors comme la puissance numéro un du football africain, n’a fait que confirmer son statut, en dominant les deux premières éditions de la CAN.

En 1957, pour l’inauguration à Khartoum de ce qui sera plus tard l’une des plus prestigieuses compétitions continentales, les Pharaons, sous la houlette de Mohamed Latif, remporteront la première CAN devant le Soudan et l’Éthiopie, l’Afrique du Sud étant alors bannie à cause du régime de l’apartheid.

Après une difficile victoire (2-1) en demi-finale sur le pays hôte, les Égyptiens vont étriller les Éthiopiens (4-0) en finale (16 février), confirmant leur carton (5-2) lors d’une rencontre amicale en janvier 1956, à Addis Abeba.

Deux ans plus tard au Caire, les “Enfants du Nil” vont conserver leur titre lors de la deuxième édition disputée sous forme de championnat avec la participation des mêmes sélections présentes lors de la première CAN.

S’offrant une promenade de santé en match d’ouverture face à l’Éthiopie (4-0), un score qui rappelle la finale de 1957, les Égyptiens vont remporter leur duel régional (1-0) face à leurs voisins soudanais, grâce à un but à l’ultime minute de Issam, bien servi par Mahmoud El Gohary, celui même qui a signé, plusieurs années plus tard, une performance unique, en remportant la CAN-1998 au Burkina Faso, cette fois-ci en tant qu’entraîneur de la sélection de son pays.

-L’Éthiopie prend sa revanche sur son sol (1962)

Humiliés à deux reprises par l’équipe égyptienne, en 1957 et 1959, les Éthiopiens vont prendre leur revanche sur leur sol, à l’occasion de la 3è édition en 1962. Prenant le meilleur, respectivement, sur deux nouveaux venus de la CAN, en l’occurrence la Tunisie (4-2) et l’Ouganda (2-1), la sélection éthiopienne a retrouvé son homologue égyptienne en finale.

Au bout d’une rencontre serrée, les deux rivaux se sont neutralisés (2-2), avant de recourir, pour la première fois dans l’histoire de cette compétition africaine, aux prolongations. Les locaux ont fini par l’emporter sur le score de 4 buts à 2.

-Les “Black Stars” brillent dans le ciel africain (1963, 1965)

En accueillant la quatrième CAN en 1963, le Ghana s’est lancé dans sa conquête du football africain, avec à l’appui une équipe compétitive disposant d’individualités hors pair.

Accra vit alors les “Black Stars” entrer dans les annales du football africain en remportant leur première CAN. Très bien préparée en Europe, où elle s’était mesurée à de grands clubs du vieux continent de l’époque, tels Real Madrid, Fortuna Dusseldorf et Austria de Vienne, l’équipe ghanéenne a pulvérisé tous ses adversaires et n’a été mise en difficulté que lors du premier match contre la Tunisie (1-1).

Péchant par excès de confiance et sous-estimant leurs adversaires, les locaux avaient, lors de cette rencontre, souffert face à une équipe tunisienne conduite par le jeune mais géant gardien Sadouk Sassi, alias “Attouga”.

En finale, les “Black Stars” n’ont fait qu’une bouchée du Soudan (3-0) grâce à leur schéma de jeu ultra-offensif, basé sur un 4-2-4, soit la même disposition tactique adoptée, à l’époque, par la génération d’or du Brésil, conduite par Pelé et Garrincha.

Lors de l’édition de 1965 en Tunisie, marquée par l’absence de l’Egypte et du Soudan, les Ghanéens ont offert aux amateurs du football un grand festival offensif, balayant au premier tour le Congo-Kinshasa (Zaïre) par 5 buts à 2, et la Côte d’Ivoire (4-1).

En finale, les Ghanéens vont se heurter à une tenace équipe tunisienne qui jugulera les ardeurs des tenants du titre et ne cédera que lors des prolongations (3-2).

-Les “Léopards” secouent la hiérarchie (1968)

Dominée longtemps par le Ghana, l’Égypte et l’Éthiopie, la Coupe d’Afrique des Nations connaîtra, à partir de l’édition 1968 à Addis Abeba et Asmara, l’émergence de nouvelles sélections à l’image du Congo-Kinshasa (actuellement RD Congo).

Pour cette première CAN jouée à huit équipes, les “Léopards” congolais vont priver les “Black Stars” de leur troisième titre d’affilée. Évinçant les Éthiopiens en demi-finale (3-2 après prolongations), ils affrontent les Ghanéens qui les avaient déjà battus en match de poule (1-0).

La volonté des Congolais a été payante face au talent des Ghanéens qui ont été ainsi détrônés par un but de Kalala à la 66è minute.

-Le Soudan triomphe finalement (1970)

L’un des fondateurs de la Coupe d’Afrique, le Soudan a dû attendre 13 ans avant de brandir finalement le trophée continental. Après avoir essuyé un sévère revers (0-3) face au onze marocain, au stade d’honneur de Casablanca (28 octobre 1969), aux éliminatoires de la Coupe du Monde 1970, les Soudanais vont se surpasser lors de la phase finale de la CAN-1970 à Khartoum, pour décrocher le titre africain sur leur sol.

Qualifiés in extremis pour les demi-finales, les locaux vont prendre le meilleur sur les Égyptiens (2-1). La victoire du Soudan en finale (1-0) face au Ghana, à l’issue d’une partie acharnée, a suscité de vives protestations sur l’arbitrage des Black Stars, qui ont boycotté la cérémonie de remise des prix.

-Le Congo-Brazzaville déjoue les pronostics (1972)

Donné comme simple outsider par les spécialistes, le Congo-Brazzaville marquera de son empreinte la CAN-72 au Cameroun. Relégués au deuxième plan dans un groupe dominé par la rivalité Maroc-Soudan-Zaïre, les Diables Rouges vont émerger du lot en tenant en échec la fameuse équipe des Lions de l’Atlas (1-1) et en écrasant (4-2) le Soudan, tenant du titre.

Malgré une défaite face au Zaïre (2-0), ils passent en demi-finales où ils vont s’imposer face au pays organisateur (1-0). La finale contre l’autre révélation du tournoi, les Aigles du Mali, a été d’une rare qualité technique.

Les Congolais l’ont remporté, alors, (3-2) grâce à un doublé de M’Bono (57è et 59è mn) et un but décisif de M’Pele (63è mn).

-Seconde consécration du Zaïre (1974)

Représentant de l’Afrique en Coupe du Monde 1974 en Allemagne, le Zaïre a confirmé son statut de puissance footballistique continentale en décrochant son deuxième titre lors de la CAN-1974 au Caire.

Baba le salvateur (1976)

Considéré par tous comme l’une des plus grandes équipes du continent, le Maroc, qui a raté sa première sortie africaine en 1972, va chasser le signe indien sur les terres éthiopiennes.

Plus ou moins convaincants au 1er tour, malgré deux victoires sur le Zaïre (1-0) et le Nigeria (3-1) et un nul face au Soudan (2-2), Faras et compagnie ont dû lutter bec et ongles au second tour, disputé sous forme de championnat (calqué sur la Coupe du Monde 1974 en Allemagne), pour arracher ce trophée tant convoité.

Lors de leur dernier match contre la Guinée, une sorte de finale (le Maroc comptait 4 points contre 3 pour les Guinéens), les Lions de l’Atlas avaient besoin du seul point du nul. Mais le Syli national de Guinée était animé, lui aussi, d’une forte volonté d’inscrire son nom sur la liste des champions d`Afrique.

Menés à la marque dès la 33è minute sur un but de Souleymane Cherif, les Marocains ont retenu longtemps leur souffle jusqu’au moment où le défenseur Ahmed Megrouh, alias “Baba”, d`un tir foudroyant, envoie le ballon au fond des filets guinéens à deux minutes de la fin.

Cette fois-ci, c’était la bonne. Les Lions de l`Atlas ont décroché leur premier titre africain après avoir totalisé cinq points et depuis lors, cette génération d’or a occupé une place de choix dans le cœur des Marocains.

Cependant, cet exploit tarde encore à être réédité. Après avoir raté l’occasion de l’organisation de la CAN au Maroc en 1988, les Lions de l’Atlas ont été plus proches que jamais d’un deuxième titre à Tunis (2004). Mais l’excellent parcours des protégés de Baddou Zaki va achopper en finale à la solide équipe du pays hôte (1-2).

-Le Ghana de nouveau (1978)

Il est dit qu’il est difficile de battre le pays hôte d’une grande compétition. En effet, les Ghanéens n’ont pas laissé passer l’occasion de jouer “at home”, en 1978, pour signer une troisième victoire en Coupe d`Afrique.

Dominateurs, les “Black stars” ne vont trouver aucune difficulté pour enrayer tous leurs adversaires. Un doublé d’Afriyie (38è et 64è) leur a suffi pour battre l’Ouganda, courageux finaliste.

Après un premier tour mi-figue mi-raisin (victoire sur la Guinée 2-1 et les Iles Maurice 4-1 et défaite 1-2 devant le Congo), les “Léopards” vont sortir le grand jeu contre les Égyptiens, s’imposant par trois buts à deux (3-2).

Le Zaïre et la Zambie, n’arrivant pas à se départager lors de la première finale (2-2 après prolongations), ont dû disputer un match d’appui qui s’est soldé par la consécration des Zaïrois (2-0).

-Les Greens Eagles arrivent (1980)

Comme lors de la précédente édition, le trophée de 1980 n’a pas échappé au pays organisateur. Les Greens Eagles (actuels Super Eagles), soutenus à chacune de leurs sorties par les 100.000 spectateurs de Surulere Stadium de Lagos, vont occuper la première place de leur groupe grâce à deux victoires sur la Tanzanie (3-1) et l’Égypte (1-0) et un nul devant la Côte d’Ivoire.

En demi-finale et en finale, les Nigérians vont se défaire de deux équipes maghrébines. Ils élimineront, sur le score étriqué 1-0, le Maroc, tombeur au 1er tour du tenant du titre, le Ghana, avant de dominer l’Algérie (3-0). Les Greens Eagles annoncent l’arrivée fulgurante des “Super Eagles”.

A partir de l’édition 1982 à Tripoli, la Coupe d’Afrique des Nations de football (CAN) franchira un nouveau palier avec l’autorisation accordée aux fédérations nationales de faire appel à tous leurs professionnels à l’étranger, contre deux seulement lors des éditions précédentes.

-Quatrième titre continental pour le Ghana (1982)

Pour la première fois de son histoire, une finale de la CAN se jouera sur les tirs au but. C’était en 1982 à Tripoli. Cette édition se termine comme elle avait commencé, par un duel Libye-Ghana.

Après un nul en match d’ouverture, Libyens et Ghanéens se retrouvent en finale. Aucune des deux équipes ne parvenant à faire la différence au terme du temps réglementaire et des prolongations (1-1), le sort de cette finale sera scellé à l’épreuve des tirs au but.

S’imposant finalement par 7 à 6, soit leur quatrième sacre continental, un record inédit, les “Black Stars” inscriront leur nom dans l’histoire de la CAN.

Ce jour-là, une future grande star du football mondial, Abedi Pelé, a fait ses débuts internationaux au plus haut niveau de la compétition.

-La furia des Lions indomptables (1984)

Forts de leur participation héroïque au mondial-1982 en Espagne, les Lions indomptables du Cameroun vont cette fois-ci conquérir le continent.

Les équipes africaines, tendant à trop “s’européaniser’ dans leur système de jeu, le spectacle présenté lors de la CAN-1984 en Côte d’Ivoire n’a pas été de bonne facture, comme cela a été relevé dans les analyses des spécialistes du football africain.

En effet, les deux finalistes, le Cameroun et le Nigeria, ne se sont qualifiés que grâce aux tirs au but, respectivement face à l’Algérie (5-4/0-0 au terme du temps réglementaire et des prolongations) et à l’Égypte (8-7/2-2).

Au Stade Houphouët-Boigny (18 mars 1984), les Camerounais n’ont pas fait de détails face aux “Green Eagles”, les battant par trois buts à un. Les Lions indomptables ajoutent leur nom à la liste des vainqueurs.

dc

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Le Premier ministre, Patrick Achi a rassuré mercredi 05 janvier 2022, lors du premier Conseil des ministres de l’année 2022 de la poursuite du dialogue politique en cours avec l’ensemble des leaders politiques ivoiriens et de la société civile.

« Pour continuer à faire grandir notre climat de concorde civile, de paix et les avancées démocratiques que vous avez su construire, la cinquième phase du dialogue politique que nous avons lancée selon vos vœux, sera poursuivie », a promis le chef du gouvernement ivoirien lors de son discours.

Au total 21 formation politique dont huit groupements et 13 partis individuels entre autres le Rassemblement des houphouëtistes pour la démocratie et la paix (RHDP), le Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI), le Parti des peuples Africains-Côte d’Ivoire (PPA-CI), le Front populaire ivoirien (FPI), l’Union pour la démocratie et pour la paix en Côte d’Ivoire (UDPCI) et 26 organisations de la société civile avaient pris part, jeudi 16 décembre 2021, à l’ouverture du dialogue politique.

Initialement prévu pour débuter, mardi 21 décembre 2021, le calendrier des travaux en comité restreint, cadre de discussions approfondies, conformément au mode opératoire de chaque phase du dialogue politique a été réaménagé par le gouvernement.

Ce report s’est justifié, selon le ministre de l’Intérieur et de la Sécurité, le général Vagondo Diomandé du fait que le point des propositions reçues révèle que plusieurs formations politiques et organisations de la société civile n’ont pu déposer leurs documents dans le délai. Face à cet état de fait, le gouvernement avait décidé de réadapter le calendrier des discussions initialement prévu.

Pour le gouvernement, cette étape étant un préalable au démarrage des travaux en comité restreint, cadre de discussion approfondie, conformément au mode opératoire de chaque phase du dialogue politique, les structures concernées ont été invitées à tout mettre en œuvre, en vue de respecter du nouveau délai.

Après ce réaménagement, des formations politiques ont accusé le gouvernement de saper la bonne marche du dialogue politique.

aj

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L’examen du projet de loi sur le “pass vaccinal” a été à nouveau suspendu, dans la nuit de mardi 4 janvier 2022 à mercredi 5 janvier 2022, par les députés après des déclarations d’Emmanuel Macron sur les non-vaccinés.

Alors que la France est touchée de plein fouet par l’épidémie du Covid-19, marquée par une flambée des contaminations et une déferlante du variant Omicron, l’Assemblée nationale a entamé lundi les débats sur la transformation du “pass sanitaire” en “pass vaccinal”.

Mais l’examen de ce projet de loi, l’un des piliers de la stratégie du gouvernement pour faire face à l’épidémie, a dû être suspendu, une première fois, dans la nuit de lundi à mardi avant que les débats reprennent dans la soirée de mardi et devaient normalement se poursuivre mercredi.

Mais des propos du président Emmanuel Macron, qui a dit dans une interview au Parisien vouloir “emmerder” les non-vaccinés “jusqu’au bout” en “limitant pour eux, autant que possible, l’accès aux activités de la vie sociale”, n’ont pas été du goût des partis d’opposition. Une fronde qui a donné lieu à une deuxième suspension des débats, compromettant encore davantage le calendrier d’adoption de la loi.

Approuvée la semaine dernière en Conseil des ministres et débattue dans la Commission des lois de l’Assemblée, la loi “renforçant les outils de gestion de la crise sanitaire” devait en principe être examinée au Sénat à compter de ce mercredi. Mais le retard pris à l’Assemblée nationale devrait se répercuter sur le processus d’adoption.

Le gouvernement “va tout faire pour tenir au plus près le calendrier qui était prévu”, soit une entrée en vigueur du pass vaccinal au 15 janvier, a déclaré mardi le porte-parole du gouvernement Gabriel Attal.

A travers cette nouvelle mesure, l’exécutif français entend faire plus de pression sur les près de cinq millions de Français de plus de 12 ans non encore vaccinés. Sans ce “pass vaccinal”, les non vaccinées n’auront plus accès aux activités de loisirs, aux restaurants et bars, aux foires ou aux transports publics interrégionaux, un test négatif n’étant plus suffisant.

Outre la création du “pass vaccinal”, le gouvernement français a adopté d’autres mesures pour faire face à cette 5ème vague épidémique, dont la réduction à 3 mois du délai de la troisième dose, l’aggravation des sanctions pour les usagers de faux pass sanitaires et l’obligation du télétravail, alors que le masque obligatoire en extérieur a fait son retour dans plusieurs villes du pays.

La France a enregistré mardi un nouveau record de contaminations au Covid-19 avec 271.686 cas diagnostiqués en 24 heures.

mc

 
 

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L’Albanie, le Brésil, le Gabon, le Ghana et les Emirats arabes unis ont pris leurs fonctions, mardi, en tant que membres non permanents du Conseil de sécurité des Nations Unies.

Les cinq pays ont un mandat de deux ans. A l’exception de l’Albanie, les pays nouvellement élus ont déjà siégé au sein de l’instance exécutive de l’ONU. Le Brésil a siégé dix fois auparavant, le Gabon et le Ghana trois fois chacun et les Emirats arabes unis une fois.

Les cinq nouveaux membres remplacent la Tunisie, le Niger, le Vietnam, l’Estonie et Saint-Vincent et les Grenadines dont le mandat est arrivé à terme le 31 décembre 2021.

Le Conseil de sécurité est l’organe exécutif des Nations-Unies en charge des questions de paix et de sécurité. Il se compose de cinq membres permanents (Chine, Etats-Unis, Russie, France et Royaume-Uni) et de dix membres non permanents élus pour une période de deux ans par l’Assemblée générale. Celle-ci procède chaque année à l’élection de cinq nouveaux membres non-permanents.

Outre les nouveaux membres élus en juin dernier, la composition de l’organe onusien comprend également en 2022 : l’Inde, l’Irlande, le Kenya, le Mexique, et la Norvège, pays qui siègent déjà au sein du Conseil depuis le 1er janvier 2021.

ng

 
 

 

 

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mercredi, 05 janvier 2022 15:16

Soudan: la Ligue arabe appelle au dialogue

Le secrétaire général de la Ligue arabe, Ahmed Aboul-Gheit, a exhorté mardi 4 janvier 2022 toutes les parties soudanaises à privilégier le dialogue afin de parvenir à un consensus, après la démission du Premier ministre Abdallah Hamdok sur fond de crise politique.

M. Aboul-Gheit a appelé dans un communiqué toutes les parties “à entamer un dialogue et à travailler immédiatement pour parvenir à un consensus qui permettra de préserver tous les gains importants accomplis ces deux dernières années”, exprimant sa “compréhension” au sujet de la démission de M. Hamdok et saluant les réalisations que celui-ci avait accomplies au cours de son mandat.

Abdallah Hamdok avait annoncé dimanche la démission de son poste, affirmant qu’en dépit de ses efforts “pour parvenir au consensus souhaité et nécessaire pour donner aux citoyens la sécurité, la paix, la justice et arrêter l’effusion de sang, cela ne s’est pas produit”.

Le Chef de la Ligue arabe a assuré qu’il “suivra de près les différentes initiatives présentées récemment par les partis politiques soudanais pour relever les défis de la période de transition”. “Un dialogue intensif et constructif entre les différentes parties est le seul moyen et la pierre angulaire pour régler la crise actuelle afin de répondre aux aspirations du peuple soudanais à la stabilité, au développement et à la transition démocratique”, a-t-il ajouté.

ng

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mercredi, 05 janvier 2022 15:16

Soudan: la Ligue arabe appelle au dialogue

Le secrétaire général de la Ligue arabe, Ahmed Aboul-Gheit, a exhorté mardi 4 janvier 2022 toutes les parties soudanaises à privilégier le dialogue afin de parvenir à un consensus, après la démission du Premier ministre Abdallah Hamdok sur fond de crise politique.

M. Aboul-Gheit a appelé dans un communiqué toutes les parties “à entamer un dialogue et à travailler immédiatement pour parvenir à un consensus qui permettra de préserver tous les gains importants accomplis ces deux dernières années”, exprimant sa “compréhension” au sujet de la démission de M. Hamdok et saluant les réalisations que celui-ci avait accomplies au cours de son mandat.

Abdallah Hamdok avait annoncé dimanche la démission de son poste, affirmant qu’en dépit de ses efforts “pour parvenir au consensus souhaité et nécessaire pour donner aux citoyens la sécurité, la paix, la justice et arrêter l’effusion de sang, cela ne s’est pas produit”.

Le Chef de la Ligue arabe a assuré qu’il “suivra de près les différentes initiatives présentées récemment par les partis politiques soudanais pour relever les défis de la période de transition”. “Un dialogue intensif et constructif entre les différentes parties est le seul moyen et la pierre angulaire pour régler la crise actuelle afin de répondre aux aspirations du peuple soudanais à la stabilité, au développement et à la transition démocratique”, a-t-il ajouté.

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