Contenu - LA DIPLOMATIQUE D'ABIDJAN
LDA Journaliste

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 Le ministre des Affaires Etrangères, de la Coopération Africaine et des Marocains Résidant à l’Etranger, M. Nasser Bourita, s’est entretenu, mercredi par visioconférence, avec le Secrétaire général du Conseil de coopération des États arabes du Golfe (CCG), M. Nayef Falah Al-Hajraf.

Cet entretien, qui a porté sur les relations de partenariat stratégique existant entre le Maroc et le CCG depuis 2011, a été l’occasion de saluer les réalisations accomplies sous la conduite de Sa Majesté le Roi Mohammed VI et Ses frères, les dirigeants des pays du Golfe.

Lors de cette entrevue, M. Bourita a fait part des remerciements et de la considération du Maroc, sous le leadership de Sa Majesté le Roi, au CCG et aux pays frères du Golfe pour leur position solidaire et constante avec le Royaume, telle qu'exprimée dans la déclaration finale ayant sanctionné les travaux de la 42ème session du Conseil suprême du CCG, tenue le 14 décembre dernier à Ryad, et réaffirmant les positions constantes du Conseil en faveur de la marocanité du Sahara et son soutien immuable à l’intégrité territoriale du Royaume.

De son côté, le Secrétaire général du CCG a réaffirmé la position constante du Conseil en faveur de la souveraineté du Maroc sur son Sahara et de son unité territoriale, considérant qu’aucune solution à ce conflit régional artificiel n’est envisageable hors du cadre de la souveraineté du Royaume du Maroc et de son intégrité territoriale. M. Al-Hajraf s’est également félicité des positions solidaires du Royaume avec les pays du CCG et leurs causes nationales, ainsi que du niveau distingué des relations de partenariat liant les deux parties, soulignant la ferme détermination du CCG à consolider davantage ces relations conformément aux aspirations de Sa Majesté le Roi et Ses frères, les dirigeants des pays du CCG.

S’agissant du renforcement du partenariat entre les deux parties, M. Bourita a réaffirmé la disposition du Royaume à continuer à œuvrer avec le Secrétariat général du CCG et les pays du Golfe pour jeter les bases d’une nouvelle étape de coopération qualitative, visant à consacrer un cadre de partenariat renouvelé et favorable au renforcement des relations politiques, économiques, commerciales et humaines, en concrétisation de la vision de Sa Majesté le Roi Mohammed VI contenue dans le Discours Royal devant le Sommet Maroc-Pays du Golfe, tenu le 20 avril 2016 à Ryad.

Le ministre s’est félicité des dénominateurs communs et de la solidarité constante que partagent le Maroc et les pays du CCG, réitérant à ce propos la condamnation par le Royaume du Maroc, Roi, gouvernement et peuple, de la poursuite des attaques des milices houthies et des parties qui les soutiennent contre les installations civiles et économiques en Arabie Saoudite et aux Émirats arabes unis.

Il a, en outre, réitéré le rejet du Maroc et sa condamnation de toutes les formes d’ingérence iranienne flagrantes dans les affaires intérieures des pays du Golfe, particulièrement dans le Royaume frère de Bahreïn, rappelant que le Maroc, comme l’a souligné Sa Majesté le Roi lors du Sommet Maroc-Pays du Golfe tenu le 20 avril 2016 à Ryad, "a toujours considéré que la sécurité et la stabilité des pays du Golfe sont indissociables de la sécurité du Maroc", au vu de la communauté du destin et de la convergence des points de vue sur les différentes questions d'intérêt commun.

M. Bourita a adressé une invitation au Secrétaire général du CCG pour effectuer une visite de travail au Maroc, dont la date sera fixée ultérieurement.

Source: Ministère des Affaires Etrangères Maroc

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L’Algérie est “la principale responsable” du conflit régional artificiel créé autour du Sahara marocain, a souligné dimanche le politologue italien Massimiliano Boccolini.

Alger, “partie prenante” au conflit artificiel autour du Sahara marocain, “doit assumer ses responsabilités et prendre part au processus politique, basé sur le dialogue”, a déclaré l’expert à la MAP, déplorant toutes les dernières décisions “irrationnelles” prises récemment par l’Algérie.

L’entêtement du régime algérien menace la sécurité de toute la région, a souligné M.Boccolini, relevant que la majorité des experts italiens reconnaissent que le plan d’autonomie, dans le cadre de la souveraineté du Royaume et de son unité nationale, constitue la seule solution “pacifique et logique” pour en finir avec ce conflit.

Le Secrétaire général des Nations Unies, Antonio Guterres a insisté, au lendemain de la tournée régionale de son envoyé personnel au Maroc, en Algérie et en Mauritanie, sur le dialogue entre toutes les parties, dans le cadre du processus politique onusien, a-t-il relevé.

Dans ce sens, l’expert a rappelé que la résolution 2602 du Conseil de Sécurité, qu’Alger avait rejeté, consacre le processus de tables rondes, avec la participation du Maroc, l’Algérie, la Mauritanie et le polisario, comme cadre unique pour parvenir à la solution politique, réaliste, pragmatique, durable, mutuellement acceptable et de compromis.

De son côté, l’expert italien en géopolitique, Marco Baratto, a affirmé à la MAP, que l’Algérie, principal acteur qui soutient et finance le polisario, est “en mauvaise posture, notant que les propos du SG de l’ONU constituent “un nouveau coup dur qui assomme Alger et démasque ses mensonges”.

Le Maroc, acteur clé dans l’espace euro-méditerranéen et en Afrique du Nord, a consenti d’innombrables efforts en faveur de la stabilité de ses voisins, a-t il noté, appelant l’Algérie au dialogue, à la transparence et à faire preuve de bonne foi pour ne pas contrarier le bon développement, la sécurité et la paix dans la région.

La proposition marocaine du plan d’autonomie est la seule solution logique pour résoudre le conflit, a martelé M.Baratto, rappelant que l’Italie a fait face, à la fin de la Seconde Guerre mondiale à des formes de séparatisme mais l’État, en offrant l’autonomie locale sous sa souveraineté, a réussi à vaincre et à maintenir intacte l’unité de la Nation.

Source: Sercom 

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En prélude à la COP 15 qui se tiendra du 09 au 20 mai 2022 Abidjan, le ministre de l’Environnement et du Développement durable, Jean-Luc Assi, a appelé, le 24 janvier 2022 a une mobilisation de tous pour la réussite de l’évènement.
 
« C’est donc le lieu d’inviter chacun à s’investir pleinement dans la réussite de cet évènement planétaire. La désertification et la sécheresse nous intéressent tous. La durabilité de notre économie et notre alimentation sont intimement liées à une bonne gestion de ces fléaux », a indiqué Jean-Luc Assi.
 
Pour le ministre, la tenue de ce rendez-vous mondial aura de nombreuses retombées économiques. Cela contribuera grandement, selon lui, à la relance du secteur du tourisme, durement affecté par les effets de la crise sanitaire.
 
Il a également expliqué que la COP 15 va booster l’attraction des investissements étrangers directs dans le domaine de la gestion des terres et des sols, et la promotion de l’agriculture durable.
 
Selon les experts du système des Nations Unies, ce sont environ 60% du territoire ivoirien et près de 100% de la partie septentrionale du pays qui sont affectés par la problématique des terres dégradées. Cette situation, qui affecte la productivité et la fertilité de ces sols, menace fortement la sécurité alimentaire du territoire national. 
 
Le président du Comité d’organisation de la COP 15, Abou Bamba a rappelé que l’initiative devrait contribuer à un changement structurel de l’économie agricole ivoirienne et la croissance économique tout en réduisant les niveaux de pauvreté dans les zones rurales. 
 
La COP 15 enregistrera la participation de 197 pays-parties à la convention. On notera également la présence de la Société civile, les Organisations continentales et Sous régionales et bien d’autres acteurs de la lutte contre la désertification et la sécheresse.
 MC

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Au moins 32 personnes, dont des femmes et des enfants, ont été tuées dans des attaques menées dimanche 23 janvier 2022 dans une région du Soudan du Sud minée par les violences intercommunautaires, selon un bilan communiqué mardi par l’ONU.

Ces attaques meurtrières visant deux villages situées dans la localité de Baidit, dans l’Etat oriental du Jonglei, ont été menées par des jeunes armés d’un groupe ethnique rival, qui ont ouvert le feu et incendié des maisons, faisant fuir les habitants.

Parmi les morts figurent trois enfants qui se sont noyés dans une rivière alors qu’ils tentaient de s’échapper, a détaillé la mission des Nations unies au Soudan du Sud (Unmiss) dans un communiqué.

Au moins 26 personnes, dont des femmes et des enfants, ont également été blessées et plusieurs autres sont toujours portées disparues.

“L’Unmiss condamne fermement toute attaque contre des civils et exhorte les groupes et les individus à prendre des mesures immédiates pour éviter de nouvelles escalades qui mettront en danger les personnes vulnérables”, a-t-elle déclaré.

“La Mission appelle également les autorités à mener rapidement des enquêtes et à ce que les auteurs soient tenus pour responsables”, ajoute-t-elle.

La mission de maintien de la paix dans le pays a été déployée pour un an en 2011, lorsque le Soudan du Sud a obtenu son indépendance du Soudan, puis a vu son mandat prolongé à maintes reprises alors que le pays plongeait dans une sanglante guerre civile et dans les violences intercommunutaires.

Plus de 700 personnes ont été tuées, et d’autres violées et kidnappées, dans la région du Jonglei entre janvier et août 2020 lors de raids armés de milices ethniques.

ng

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L’ex-Premier ministre libanais Saad Hariri a annoncé lundi qu’il ne se présentera pas aux prochaines élections législatives prévues le 15 mai, appelant son parti, le courant de l’Avenir, à faire de même.

“J’annonce la suspension de mon travail politique et j’appelle le courant de l’Avenir à faire de même. Je ne me présenterai pas aux élections et ne présenterai aucune candidature issue du courant de l’Avenir ou en mon nom”, a affirmé Saad Hariri, lors d’un bref discours prononcé devant les membres de sa formation à la Maison du Centre à Beyrouth.

“Notre maison restera ouverte aux bonnes volontés et à nos proches dans tout le Liban”, a tenu à souligner le leader politique libanais, propulsé aux devants de la scène en 2005 après l’assassinat de son père Rafic Hariri.

Cette annonce intervient après une série de revers financiers et politiques au cours des dernières années et à la lumière de la grave crise politique, économique et financière qui paralyse le Liban depuis près de deux ans.

M. Hariri a dirigé trois gouvernements depuis son accession au pouvoir pour la première fois en 2009. Il a présenté sa troisième démission environ deux semaines après le début des manifestations populaires contre la classe politique le 17 octobre 2019.

Malgré sa nomination le 22 octobre 2020 pour former le gouvernement, le quinquagénaire n’a pas pu aller au bout de sa mission du fait du ressentiment populaire et des divisions politiques

ng

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Le président du Malawi, Lazarus Chakwera, a annoncé lundi 24 janvier 2022 soir avoir dissout le gouvernement du pays pour permettre des poursuites pour corruption contre des ministres en exercice.

«Cette décision vise à d’autoriser les trois ministres et autres fonctionnaires accusés de corruption à rendre compte de leurs accusations», a déclaré M. Chakwera dans un discours à la Nation.

Les trois responsables concernés sont le ministre des Terres, Kezzie Msukwa, accusé d’avoir bénéficié de transactions foncières impliquant un homme d’affaires malawien basé au Royaume-Uni, le ministre du Travail, Ken Kandodo, accusé d’avoir détourné des fonds Covid-19 et le ministre de l’Énergie, Newton Kambala, accusé d’ingérence dans l’attribution d’accords d’importation de carburant.

M. Chakwera, qui est également le chef du Parti du Congrès du Malawi (MCP), a souligné qu’il compte nommer un nouveau cabinet dans les prochaines 48 heures.

Il avait remporté les élections de 2020 après une campagne qui a focalisé sur la lutte contre la corruption au sein de l’administration de ce pays d’Afrique australe.

Le Malawi est l’un des pays les plus pauvres du monde, avec près des trois quarts de la population vivant avec moins de 2 dollars par jour.

Il est durement affecté par les inondations, les périodes de sécheresse prolongées et la pandémie du coronavirus, laissant 15 % de la population dans le besoin d’aide alimentaire.

ng

 
 

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Les autorités de transition au Mali ont demandé, lundi 24 janvier 2022, au Danemark de retirer “immédiatement” son contingent déployé dans le pays pour participer au groupement européen de forces spéciales Takuba initié par la France.

Le gouvernement malien a indiqué dans un communiqué lu à la télévision nationale que “ce déploiement est intervenu sans son consentement”.

Dans ce communiqué, le gouvernement malien note que le déploiement des forces danoises s’est fait sans qu’ait été conclu un accord bilatéral entre Copenhague et Bamako, comme l’aurait voulu selon lui le protocole applicable aux pays participant à Takuba.

Par conséquent, ajoute le texte, «la République du Mali invite la partie danoise à retirer immédiatement ledit contingent du territoire».

Le gouvernement rappelle à ses partenaires engagés dans la lutte antidjihadiste «la nécessité de l’obtention préalable de l’accord des autorités maliennes avant tout déploiement au Mali».

Le Danemark a annoncé la semaine passée l’arrivée au Mali de 90 hommes, majoritairement des soldats d’élite et des chirurgiens militaires, censés participer au sein de Takuba à la protection des civils contre les jihadistes dans la zone dite des trois frontières (Mali, Burkina Faso, Niger) et être basés à Ménaka (est du Mali).

Regroupement de forces spéciales européennes destiné à accompagner les soldats maliens au combat face aux jihadistes, la task force Takuba a été lancée en mars 2020 à l’initiative de la France pour partager le fardeau avec les partenaires européens.

hn

 
 

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La seconde réunion du comité de pilotage de l’initiative cacao Côte d’Ivoire-Ghana, s’est tenue le vendredi 21 janvier 2022 à Accra (capitale du Ghana) sur des questions liées à la durabilité de la filière cacao.

« Le comité de pilotage a fait un tour d’Horizon des questions de durabilité de la filière. Notamment, l’accroissement de la capacité de transformation et de consommation locale du cacao, l’amélioration du revenu des producteurs grâce au différentiel de revenu décent et le plaidoyer des pays producteurs quant aux questions de lutte contre le travail des enfants et la déforestation », rapporte une note du Conseil du Café-Cacao.

La Côte d’Ivoire et le Ghana ont décidé de se faire entendre à Bruxelles face à l’union Européenne afin de présenter la réalité des faits, notamment la surenchère qui en est faite par certains ainsi que tous les efforts considérables faits par les deux pays en matière de lutte contre le travail des enfants et d’agroforesterie.

Le comité de pilotage a également adopté le budget et la liste des membres qui doivent composer le secrétariat exécutif afin de lui permettre de mettre en route rapidement son programme d’activités 2022.

Un des acquis majeurs de l’initiative Cacao Côte d’Ivoire-Ghana demeure l’obtention du Différentiel de revenu décent (DRD) qui est une prime de 400 Dollars US par tonne versée directement aux cacaoculteurs des deux pays afin d’améliorer leurs revenus.

Cette rencontre a eu lieu en présence du ministre d’Etat, ministre de l’Agriculture et du Développement rural, Kobenan Kouassi Adjoumani, de son homologue ghanéen, Owusu Afriyie Akoto, ministre de l’Alimentation et de l’Agriculture ainsi que du directeur général du Conseil du Café-Cacao, Yves Koné Brahima.  

hn

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Le Président de la Commission de l'Union Africaine, Moussa Faki Mahamat suit avec vive préoccupation la situation très grave au Burkina Faso.

Il condamne fermement la tentative de coup d’État contre le président démocratiquement élu.

Il appelle l’armée nationale et les forces de sécurité du pays à s’en tenir strictement à leur vocation républicaine, à savoir la défense de la sécurité intérieure et extérieure du pays.

Il les appelle à assurer l’intégrité physique du Président de la République ainsi que tous les membres de son Gouvernement.

Il encourage le gouvernement et tous acteurs civiles et militaires à privilégier le dialogue politique comme voix de solution des problèmes du Burkina Faso.

Agissant déjà étroitement avec la CEDEAO, le Président de la Commission déclare poursuivre sans relâche les efforts conjugués avec l’organisation régionale pour une solution rapide de cette crise.

hn

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A l'occasion de la rentrée solennelle 2022 du secrétariat d'État chargé de la Modernisation de l’Administration, le lundi 24 janvier 2022 à Abidjan, le secrétaire d'État chargé de la Modernisation de l'Administration, Brice Kouassi, a annoncé de nombreux chantiers pour 2022, non sans rappeler quelques acquis en 2021, afin d'accroître la célérité dans le traitement des dossiers et de renforcer la sécurité des documents administratifs.
 
Cette rentrée solennelle a été marquée par la remise de lettres de mission à 11 directeurs et responsables de service du Secrétariat d’État, ce en présence de la ministre de la Fonction publique et de la Modernisation de l’Administration, Anne Désirée Ouloto qui présidait ladite cérémonie.
 
Au titre des grands chantiers pour l’année 2022, Brice Kouassi a annoncé l’extension du Système électronique des courriers (SYGEC) et de la signature électronique ’’SIGNÉ’’ à toute l’administration et l’accélération de la dématérialisation des procédures administratives dans le cadre du projet "e-démarches administratives".
 
Le secrétaire d’État prévoit la mise en œuvre de la phase 2 du Programme d’appui aux réformes institutionnelles et à la modernisation de l’État (PRIME) et l’implémentation du dispositif d’accueil des usagers-clients dans les services publics avec la Caisse générale de retraite des agents de l’État (CGRAE) comme site de démarrage.
 
Le déploiement de "La Maison du citoyen" sur cinq sites, l’organisation des Journées des initiatives de modernisation de l’administration (JIMA) et l’intensification de la promotion des actions de modernisation de l’administration figurent parmi ces grands chantiers.
 
Enfin, l’on compte le renforcement et la poursuite de la déconcentration de l’Observatoire du Service public (Osep) et du projet de Profilage et Codification des postes (PCP).
 
Pour ce qui des acquis de son département en 2021, Brice Kouassi est revenu sur l’élaboration et la validation du Cadre stratégique de la Modernisation de l’État (CSME) et la conception de ’’SIGNÉ’’ qui est une solution de signature électronique.
 
Il s’est également félicité de la conception du Système de gestion électronique des courriers (SYGEC) et de son installation à titre pilote au sein du Secrétariat d’État.
 
La mise en ligne de 36 procédures administratives sur la plateforme www.servicepublic.gouv.ci dans le cadre de la version virtuelle de ’’La Maison du citoyen’’ et la déconcentration de l’Observatoire du Service public (Osep) avec l’installation de 26 points relais dans le District autonome d’Abidjan font partie des points de satisfaction. "L’utilisation de ces services en ligne par les usagers a permis de délivrer, à ce jour, plus de 1 500 actes administratifs (Rendez-vous médicaux au CHU de Cocody, des diplômes, etc.)", a indiqué Brice Kouassi.
 
Selon la ministre Anne Ouloto, toutes ces actions s’inscrivent "dans une démarche de résultats en faveur des usagers clients. "Des efforts ont été consentis depuis l’avènement du Président de la République Alassane Ouattara au pouvoir. Nous avons pour mission d’accélérer le processus de modernisation de l’administration publique. Nous voulons engager davantage les acteurs du Secrétariat d’État autour des défis à relever ensemble", a insisté Anne Ouloto.
mc

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