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La Jeune chambre internationale (JCI, Abidjan Ivoire) annonce, l'organisation du 11 au 12 mars 2022, d'un dépistage gratuit du cancer du sein et du col de l'utérus, visant plus de 1 000 femmes à l'hôpital général et au médico scolaire de Treichville.
"Plus de 1 000 femmes sont attendues du 11 au 12 mars 2022 dans la commune de Treichville à 08 heures précisément à l'hôpital général et au médico scolaire pour un dépistage gratuit", indique une note de l'organisation.
La JCI Abidjan Ivoire qui organise cette séance de dépistage en collaboration avec l'ONG hope life, annonce cette grande campagne de sensibilisation et de dépistage gratuit pour faire barrière à ces maux.
Tueurs silencieux, les cancers du sein et du col de l'utérus sont une véritable hécatombe humaine au sein des communautés, poursuit la note, qui mentionne que "le cancer tue et l'ignorance en est un facteur prépondérant".
Selon l'OMS, dans la région africaine, la charge du cancer devrait passer à plus de 1 million de cas de 2018 à plus de 2 millions en 2040 si rien n'est fait. La Côte d'Ivoire envisage, d'ici à 2025, d'investir 20 milliards Fcfa pour rendre accessible le traitement aux patients souffrant de cancer.
Source: APA
En tant que responsables de nos institutions respectives, l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) et la Banque européenne d’investissement (BEI) , en étroite coopération avec la Commission européenne (CE) et l’Union africaine, nous sommes ravis d’annoncer la création d’un partenariat solide visant à mobiliser un milliard d’euros d’investissements pour aider les pays à combler le déficit de financement dans la santé, à mettre en place des systèmes de santé résilients qui reposent sur des soins primaires solides, et à atteindre les objectifs de développement durable (ODD) liés à la santé.
Il s’agit de rétablir, d’étendre et de pérenniser l’accès aux services de santé essentiels et d’accroître la protection contre les risques financiers, d’améliorer l’accès aux vaccins, aux médicaments, aux diagnostics, aux appareils médicaux et autres produits de santé, de soutenir des modèles novateurs de prestation de services de soins primaires, ainsi que d’investir dans du personnel de santé pour offrir des soins efficaces et de qualité.
Dans cette optique, la puissante alliance trilatérale entre la Commission européenne, la BEI et l’OMS s’appuiera sur l’engagement des partenaires à compléter mutuellement les efforts respectifs qu’ils déploient.
Les objectifs communs du partenariat seront atteints en adoptant une approche impulsée et menée par les pays, en recensant les lacunes des systèmes de santé nationaux, en élaborant des stratégies d’intervention et des plans d’investissement correspondants, en investissant dans des projets et des programmes de santé, en réunissant des bailleurs de fonds, en appuyant la mise en œuvre et en surveillant l’impact.
Pour démarrer ce partenariat, la Banque européenne d’investissement mettra à disposition au moins 500 millions d’euros afin de soutenir le renforcement des systèmes de santé et, plus particulièrement, les soins de santé primaires dans les pays d’Afrique subsaharienne. L’objectif est de mobiliser au moins 1 milliard d’euros d’investissements, structurés en coopération avec la Commission européenne et l’OMS, pour soutenir cette initiative.
« La pandémie de COVID-19 nous rappelle avec force que, lorsque la santé est menacée, tout est menacé. Investir dans la santé sur l’ensemble du continent africain s’avère donc essentiel pour promouvoir et protéger la santé, mais cela servira également de base pour sortir les populations de la pauvreté et stimuler une croissance économique inclusive. L’OMS est heureuse de s’associer aux partenaires africains, à la Banque européenne d’investissement et à l’UE, et de concilier cet investissement important avec l’expérience et le savoir-faire de l’OMS en vue de mettre en place des systèmes de santé résilients et de bâtir un avenir plus sain, plus sûr et plus équitable pour l’Afrique », a déclaré Tedros Adhanom Ghebreyesus, directeur général de l’Organisation mondiale de la Santé.
« Le partenariat entre la BEI et l’OMS est au cœur de notre réponse à la pandémie à l’extérieur de l’UE, dans le cadre de l’Équipe Europe. Depuis le début de la pandémie, la BEI a renforcé son soutien aux investissements dans la santé, la production de vaccins et la résilience économique en Afrique et ailleurs dans le monde. Aujourd’hui, nous sommes heureux de confirmer que la BEI mettra à disposition 500 millions d’euros afin de mobiliser un milliard d’euros de nouveaux investissements en faveur de la santé publique en Afrique », a déclaré Werner Hoyer, président de la Banque européenne d’investissement
hn
La Turquie et les Émirats Arabes Unis ont signé treize accords de coopération dans plusieurs domaines, dont l’industrie de la défense, la santé et la culture.
La signature de ces accords bilatéraux intervient en marge de la visite du président turc, Recep Tayyip Erdogan, aux Émirats Arabes Unis, où il s’est réuni lundi 14 février 2022 avec SA Cheikh Mohammed ben Zayed Al-Nahyane, prince héritier d’Abou Dhabi, commandant suprême adjoint des forces armées de l’Etat des Émirats arabes unis, rapporte l’agence Anadolu.
Il s’agit ainsi de quatre mémorandums d’entente sur la coopération dans le domaine de la santé et des sciences médicales, l’action contre le changement climatique, la coopération dans les industries et les technologies avancées, la coopération culturelle, agricole, dans les domaines du transport terrestre et maritime, de la jeunesse, des catastrophes et de la gestion des situations d’urgence, et dans le domaine météorologique.
Les deux parties ont également signé la Déclaration conjointe ministérielle pour le lancement des négociations sur un accord de partenariat économique d’envergure.
La Turquie et les Émirats arabes unis ont, en outre, signé un protocole de coopération dans les médias et la communication, une lettre d’intention pour lancer les réunions sur la coopération dans le domaine de l’industrie de la défense, et un protocole de coopération concernant les archives.
HN
Le centre de secours d’urgence du Cavally (commune de Guiglo) a été inauguré, le samedi 12 février 2022, en présence du ministre de l’Intérieur et de la Sécurité, Vagondo Diomandé et sa collègue de la Fonction publique et de la Modernisation de l’administration, Anne Ouloto.
Bâti sur une superficie de trois hectares sur l’axe Guiglo-Bloléquin, le centre de secours d’urgence, comprend entre autres 13 bureaux, 1 réfectoire, 3 dortoirs. Il dispose également de 47 agents, deux ambulances, un véhicule de liaison et un véhicule de lutte contre les incendies.
Le ministre de l’Intérieur et de la Sécurité s’est réjoui de la réalisation de cet ouvrage et a exhorté les pompiers civils à beaucoup plus d’engagement dans leur profession. Il les a assurés de l’amélioration de leurs conditions de vie et de travail. « Je suis moi-même sapeur-pompier de formation donc mieux placé pour comprendre vos problèmes. Je ne peux pas être indifférent à votre situation », a-t-il indiqué.
Quant à la ministre Anne Ouloto, par ailleurs présidente du Conseil régional du Cavally, elle a affirmé que l’ouverture officielle du centre de secours de Guiglo rapproche l’Office national de la protection civile de la population qui se sent davantage en sécurité.
Aussi a-t-elle invité les populations de la région et toutes les forces de sécurité à une franche collaboration avec les pompiers civils pour la réussite de leur mission.
Le coût de réalisation de ce centre est estimé à 329,2 millions de FCFA.
MC
La Commission de l’Union africaine bénéficiera bientôt d’une subvention de 11,48 millions de dollars du Fonds africain de développement pour renforcer sa gouvernance et lui apporter un soutien institutionnel. L’approbation de cette subvention, qui s’inscrit dans le volet ‶financement des biens publics régionaux″ du Fonds, est intervenue quelques jours avant la 35e session ordinaire de l’Union africaine, qui s’est achevée dimanche dans la capitale éthiopienne Addis-Abeba.
Le 3 février, le président de la Banque africaine de développement, Dr Akinwumi Adesina, et la vice-présidente de la Commission de l’Union africaine, Dr Monique Nsanzabaganwa, lors d’une rencontre en marge de l’assemblée, ont discuté de l’avenir et des défis de l’organisation. Dr Nsanzabaganwa a exprimé la profonde gratitude de son institution pour cette subvention.
La subvention contribuera au projet de renforcement des capacités institutionnelles de l’Union africaine, un programme conçu pour améliorer la capacité de la Commission de l’UA à piloter l’Agenda 2063. L’Agenda 2063 est la vision de l’Union africaine pour « une Afrique intégrée, prospère et pacifique, dirigée par ses propres citoyens et représentant une force dynamique sur la scène mondiale ». Il comprend des programmes pour stimuler la croissance économique et le développement de l’Afrique et conduire à une transformation rapide du continent.
En 2017, la Commission de l’UA a lancé un vaste processus de réforme institutionnelle afin de rendre l’institution plus agile, plus efficace et plus autonome financièrement. Le projet poursuivra ces réformes en modernisant ses systèmes et en améliorant ses capacités de planification, de coordination et de prestation de services.
Dr Nsanzabaganwa a déclaré que les fonds alloués couvriront trois principaux volets : le renforcement institutionnel ; la planification et la coordination des politiques, ainsi que la fourniture de prestations de services ; et la gestion de projet. En outre, le projet comprend d’importantes garanties environnementales et sociales ainsi que des considérations liées à la dimension de genre.
Une partie des fonds sera allouée aux pratiques de réduction des risques de catastrophes et aux mécanismes d’adaptation au changement climatique de la Commission de l’UA. Le soutien aux femmes comprendra l’élaboration des lignes directrices et du tableau de bord de la Commission en matière d’intégration de la dimension de genre et de la jeunesse, ainsi que des activités connexes, en plus du soutien à la réforme institutionnelle de l’Union africaine.
La Banque africaine de développement est un partenaire de longue date du programme de développement de l’Union africaine, soutenant des projets tels que son programme d’Agence de développement — NEPAD pour le développement des infrastructures en Afrique. Elle soutient également le secrétariat de la Zone de libre-échange continentale africaine, les Centres africains pour le contrôle et la prévention des maladies et le programme Climat pour le développement en Afrique.
Le coût total du projet s’élève à 12,6 millions de dollars, et inclut une contribution en nature de l’Union africaine. Le succès du projet devrait encourager d’autres institutions de développement pour des contributions similaires.
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