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L’Union européenne (UE) et l’Inde ont repris lundi 26 juin 2022 leurs pourparlers en vue de conclure un accord de libre échange d’ici fin 2023, après neuf années d’arrêt, rapportent des médias indiens.
L’UE est le deuxième partenaire commercial de l’Inde après les États-Unis, mais les pourparlers avec le bloc ont échoué en 2013 sur des questions telles que les réductions tarifaires et la protection des brevets.
Les discussions, qui ont repris à New Delhi, vont notamment tenter de parvenir à un accord de libre échange, et à des accords sur la protection des investissements et les indications géographiques des produits.
L’UE est l’un des tout premiers partenaires commerciaux de l’Inde et la valeur de leurs échanges s’élève à 120 milliards d’euros en 2021, avait indiqué en juin dernier le commissaire européenne au Commerce Valdis Dombrovskis, lors d’une conférence de presse annonçant la reprise des négociations.
Surnommée le “roi des taxes douanières” par l’ancien président américain Donald Trump, l’Inde est devenue plus ouverte à l’abaissement des barrières commerciales ces dernières années et négocie des pactes avec plusieurs autres pays.
L’Inde est également en négociations commerciales avec le Canada, Israël et la Grande-Bretagne. Le Premier ministre Boris Johnson a déclaré lors d’une visite en avril que la Grande-Bretagne et l’Inde espéraient conclure un accord d’ici octobre.
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Au moins 24 personnes ont été tuées dans une nouvelle attaque perpétrée dans la soirée de samedi par des rebelles des Forces démocratiques alliées (ADF), un groupe rebelle ougandais basé dans l’est de la RDC et rallié à l’Etat islamique en Afrique centrale, dans le nord-est de la République démocratique du Congo (RDC), ont indiqué dimanche des sources sécuritaires et locales dans la zone.
Une dizaine de rebelles des ADF ont fait incursion dans le village de Samboko, situé entre le territoire de Beni dans la province du Nord-Kivu et le territoire d’Irumu dans la province de l’Ituri, en tirant plusieurs coups de feu, et ils se sont ensuite introduits dans des maisons des civils pour commettre les massacres et ont brûlé plusieurs maisons, selon les même sources.
Selon la Radio Okapi, soutenue par la Mission de l’Organisation des Nations Unies pour la stabilisation en RDC (MONUSCO), les forces armées de la RDC (FARDC) basées dans la zone sont intervenues pour chasser ces assaillants, qui ont également pris en otage une dizaine de civils.
Plusieurs corps ont été retrouvés dans la journée de dimanche par la population locale, ont indiqué des sources de la société.
Présenté par l’organisation Etat islamique (EI) comme sa branche en Afrique centrale (ISCAP en anglais), le groupe ADF est accusé d’être responsable de massacres de milliers de civils en RDC et d’avoir commis des attentats jihadistes en Ouganda.
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L’adhésion à la vaccination contre la COVID-19 est désormais en hausse en Côte d’Ivoire, l’un des premiers pays africains à avoir reçu des doses livrées par le mécanisme COVAX, l’an dernier. Depuis la première campagne de vaccination de masse en décembre 2021, le nombre de doses administrées a plus que doublé, passant de 4,8 millions à la fin décembre à 10,5 millions à la mi-mars 2022.
Le pays prévoit de continuer à mener des campagnes de vaccination de masse sur mesure et avec des cibles bien définies à intervalles réguliers en 2022, avec pour objectif de vacciner entièrement 70 % de la population.
En Afrique, les premiers enseignements tirés par les équipes multipartenaires de soutien aux pays montrent que les campagnes de vaccination de masse, associées à une forte implication communautaire, permettent aux pays de rapidement atteindre un grand nombre de personnes. Les pays qui combinent ce genre de campagnes à un engagement politique et un leadership puissant à tous les niveaux obtiennent de bons résultats.
Mobilisation des leaders d’opinion
En Côte d’Ivoire, les chefs de fil politiques, religieux et communautaires nationaux et locaux, ainsi que les médias, des figures publiques sélectionnées et des influenceurs des réseaux sociaux, ont été sensibilisés à l’importance de la vaccination contre la COVID-19 et encouragés à montrer l’exemple. De plus, l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) en Côte d’Ivoire a mis à contribution son réseau de 160 radios partenaires pour la diffusion des messages en boucle, la production d’émissions interactives de sensibilisation des populations en invitant sur les plateaux des personnalités influentes, y compris des chefs traditionnels et religieux, des représentants de la fonction publique et des enseignants. L’OMS a aussi réaffecté à la lutte contre la COVID-19 près de 40 consultants initialement recrutés pour lutter contre la polio.
« Nous avons réussi à mobiliser les leaders religieux et communautaires, mais surtout nous avons bénéficié de l’engagement des autorités au plus haut niveau, à commencer par la vaccination du Premier ministre et des membres du gouvernement face aux médias », retrace le professeur Joseph Bénié Bi Vroh, Directeur Général de l'institut national de l'hygiène publique. « Dès le début, nous avons su adapter nos stratégies de vaccination pour aller au plus près des populations. »
La Côte d’Ivoire prévoit de vacciner entièrement 70 % de sa population adulte d’ici décembre 2022, en donnant la priorité à tous ceux se trouvant en première ligne de la riposte à la COVID-19 ou à haut risque de développer une forme grave de la maladie, d’être hospitalisés ou de décéder en cas d’infection par la COVID-19.
« En voyant la campagne de vaccination, j’ai été convaincu que le vaccin était sûr et qu’il est mieux de prévenir que guérir », témoigne Yohan Aké, à l’entrée d’un centre de vaccination de la capitale économique ivoirienne.
Défis structurel
Les pays africains ont été confrontés à plusieurs défis structurels en voulant étendre la couverture vaccinale. Certains pays n’ont pas planifié de façon adéquate la vaccination au niveau des districts et il y a eu un manque de financement stable et prévisible, ainsi que de mécanismes permettant de s’assurer que les financements soient transmis à temps du niveau national au niveau local.
Pour faire face à ces obstacles opérationnels et financiers, des équipes multipartenaires de soutien aux pays, réunissant l’OMS, Gavi l’Alliance du vaccin, UNICEF, la Banque mondiale, les Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC) Afrique et des Etats-Unis et d’autres, ont été déployées dans 20 pays d’Afrique. L’équipe présente en Côte d’Ivoire assiste actuellement le Ministère de la santé au niveau de la planification logistique, du financement et des activités de communication du risque et communautaire, et de l’organisation de campagnes de vaccination de masse régulières.
« Les autorités sanitaires de la Côte d’Ivoire ont su mobiliser les leaders d’opinion et adapter leurs stratégies de vaccination au contexte changeant. Avec un effort renforcé de tous les acteurs de la santé publique, nous sommes confiants que le pays pourra atteindre les objectifs de vaccination en 2022 et ainsi protéger sa population contre la COVID-19 », a déclaré le Dr Jean Marie Yameogo, Représentant de l’OMS en Côte d’Ivoire.
Le ministre de la Santé, de l’Hygiène publique et de la Couverture maladie universelle, Pierre Dimba, a été instruit par le Conseil national de Sécurité (CNS), en vue de prendre les dispositions nécessaires pour qu’au moins 70% des populations cibles soient vaccinées contre la Covid-19 dans le Grand Abidjan, d’ici à la fin de l’année 2022.
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Pour la deuxième année consécutive le groupe Orange Côte d’Ivoire présente son bilan de Responsabilité Sociétale d’Entreprise durant une conférence à Orange Village, siège du groupe, ce vendredi 24 juin 2022.
Ce nouveau rapport a été l’occasion de mettre en avant celles et ceux qui sont au cœur de notre création d’impact et de notre engagement.
Après la publication d’un premier rapport RSE marquant une étape importante pour le groupe (Orange Côte d’Ivoire, Burkina Faso et Libéria), le Bilan de Responsabilité Sociétale d’Entreprise 2021 du Groupe Orange Côte d’Ivoire revient sur l’ensemble des actions réalisées dans le domaine par ce dernier et met ainsi en lumière l’engagement constant de l’opérateur. Cette année, l’entreprise met à l’honneur toutes ses parties prenantes et souligne leur contribution à l’atteinte des Objectifs de Développement Durable de l’agenda 2030 des Nations Unies.
« Cette année, nous avons décidé de laisser la parole à nos collaborateurs, à nos clients et à nos partenaires. À tous les hommes et les femmes qui nous ont fait confiance. Ce sont eux qui vont vous raconter notre année 2021. Nous sommes fiers du chemin parcouru ensemble et convaincus que le meilleur reste à venir. » a déclaré Mamadou Bamba, Directeur Général du Groupe Orange Côte d’Ivoire.
Les activités des fondations Orange Burkina Faso, Côte d’Ivoire et Libéria, les campagnes de sensibilisation dans le domaine de la santé, l’Orange Digital Center, nos initiatives en faveur du monde rural, les Projets Village, nos initiatives en faveur de l’environnement…sont autant de projets ayant un impact positif sur la vie des populations.
L’entreprise a par ailleurs montré l’importance d’une démarche inclusive et responsable. En effet Catherine Assanvo, Directrice de la DATA, l’IA et de la RSE Orange Côte d’Ivoire, a expliqué que « Orange est l’opérateur qui donne à chacune et à chacun les clés d’un monde numérique responsable. Notre raison d’être irrigue nos décisions et nos actions. Elle incarne notre engagement face aux enjeux des territoires sur lesquels nous opérons. Elle définit notre stratégie : penser le numérique de façon humaine, inclusive et durable.
Orange Côte d’Ivoire est pleinement consciente de ses responsabilités en tant qu’opérateur leader, employeur majeur et acteur de référence du secteur des télécommunications. Le groupe veut contribuer à faire émerger de nouveaux modèles de gouvernance en mettant au cœur de ses activités les questions sociales, sociétales et environnementales. Nos actions contribuent à l’atteinte de 12 des 17 Objectifs de Développement Durable. » a-t-elle conclut.
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L’Afrique a enregistré des progrès en matière de vaccination contre la COVID-19. À ce jour, le continent a reçu environ 824 millions de vaccins anti-COVID-19. Le Mécanisme COVAX, la plateforme qui regroupe plusieurs partenaires et qui a été établie pour faciliter une distribution mondiale équitable des vaccins, a fourni plus de 60 % de ces doses, alors que près de 33 % ont été fournies par les pays à travers d’accords bilatéraux ou de donations. Le Fonds africain pour l'acquisition des vaccins (AVAT) en a fourni environ7 % et le reste provient d’autres sources.
Bien que la couverture vaccinale reste faible, avec seulement 19 % de la population africaine entièrement vaccinée, certains pays ont accéléré le déploiement des vaccins au cours des six premiers mois de 2022.
Avec l’augmentation de l’approvisionnement des vaccins, le taux de vaccination s’est amélioré. En tout, 8 % de la population de l’Afrique a été entièrement vaccinée au cours des six premiers mois de 2022, par rapport à 6 % au cours des six premiers mois du déploiement du vaccin en 2021 (avril-septembre 2021).
Sur les 26 pays qui avaient entièrement vacciné moins de 10 % de leur population à la fin de 2021, neuf ont dépassé les 15 % fin mai 2022. Ces pays ont mis en œuvre des campagnes de vaccination de masse à l’échelle nationale et ont intégré la vaccination contre la COVID-19 aux campagnes de vaccination de routine. Six de ces pays sont ceux qui ont bénéficié d’un appui renforcé d’équipes de soutien impliquant plusieurs partenaires, dont l’OMS, UNICEF, Gavi l’Alliance du vaccin et d’autres.
Ces équipes continueront à soutenir les pays dont moins de 10 % de la population est entièrement vaccinée au cours des six prochains mois de 2022, afin de débloquer des financements, d’améliorer les stratégies de livraison des vaccins et de mettre en œuvre des campagnes de vaccination de masse jusqu’à la fin de l’année.
À ce jour, au moins 32 pays ont planifié des campagnes de vaccination de masse d’ici la fin de l’année. Lors de ces campagnes, l’OMS recommande que les pays mettre en place des stratégies de fourniture de services sur mesure pour cibler la vaccination de groupes prioritaires, tels que les travailleurs de la santé, les personnes âgées et les celles avec des comorbidités.
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