Contenu - LA DIPLOMATIQUE D'ABIDJAN
LDA Journaliste

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Abidjan, le vendredi 18 avril 2025(LDA)-Après une première édition réussie, KAIZENE annonce la 2e édition du Forum Économie et Gouvernance-Les Femmes en Parlent, le jeudi 24 avril 2025 à Pullman Hôtel-Abidjan, selon un communiqué transmis à la rédaction, le vendredi 18 avril 2025. La thématique centrale est : « Gouvernance, croissance inclusive et Résilience économique : quelles stratégies pour l’Afrique ».

Ce forum se veut un espace inclusif et dynamique de réflexion et d’action, réunissant femmes et hommes, pour débattre des enjeux majeurs de gouvernance et de développement économique en Afrique.

À travers des panels interactifs, des masterclass pratiques et des rencontres stratégiques, cette journée d’échanges vise à :

• Valoriser les contributions féminines à la gouvernance économique
• Encourager une gouvernance inclusive, transparente et efficace
• Favoriserlacollaborationentrelesgenrespourundéveloppementéquitable
• Créer des passerelles entre secteurs public, privé et société civile

« Si la parole est mise en lumière à travers l’expérience, la vision et les propositions des femmes leaders, décideuses et entrepreneures, les hommes sont également pleinement impliqués. Car les transformations économiques et politiques ne peuvent se faire qu’ensemble », souligne le communiqué, ajoutant que bâtir une gouvernance plus juste et une économie plus forte ne peut se faire sans la contribution de toutes et de tous.

Le panel d’ouverture s’intéresse à « La gouvernance d’entreprise contribue-t-elle à régler les défis de durabilité et de changements climatiques en Afrique ? ».

Le grand débat : « Pallier aux défis de la bonne gouvernance contribue au maintien d’un État de droit et des institutions fortes. Si oui, comment ? aura pour panelistes Annick Tohé Lasmel, directrice générale du Fonds d'entretien routier, Me Maryse Bohoussou, avocate au Barreau de Côte d'Ivoire, Guy Nassa, directeur général Moov Money Côte d'Ivoire et Emmanuel Babissagana, président commission scientifique Rebranding Africa Forum. A cela s’ajoutent un Déjeuner et réseautage et des Masterclass avec des panelistes comme Myriam Kadio-Morokro, secrétaire générale Orange Côte d’Ivoire, Solape Akinpelu, co-fondateur/PDG de HerVest, Directrice de section Women in Tech Nigeria, Dr Ekra Eliane, médecin et professeure d’anthropologie socio-familiale.

Le Forum mettra à l’honneur des voix engagées, des experts reconnus, ainsi qu'une nouvelle Génération de leaders, dans une volonté de transformation inclusive et durable.

 

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Abidjan, le vendredi 18 avril 2025(LDA)-La Direction des Dépenses Centralisées de l’État et de la Comptabilité des Matières (DDCM), dirigée par M. Koné Bassidi, annonce une mission de recensement des biens de l’État et de contrôle les abonnements d’eau et d’électricité. Cette action s'inscrit dans le cadre de l’optimisation de la gestion des biens publics.

 L'objectif est de mettre à jour les bases de données des biens d’équipement et d’assurer une meilleure maîtrise des coûts liés aux abonnements d’eau et d’électricité.

Le lundi 14 avril 2025, une séance de travail s’est tenue à la préfecture de Boundiali sous les orientations du Directeur Général du Budget et des Finances, M. Traoré Seydou. À cette rencontre, les modalités de l’opération ont été présentées aux autorités préfectorales, notamment au Préfet de la région de la Bagoué. Celui-ci a encouragé les équipes à mener cette mission avec rigueur et professionnalisme.

L’opération couvre les régions du Poro, du Folon, de Kabadougou et de la Bagoué. Elle se dérouleront sur une période de 12 jours dans les services publics du Poro et de 10 jours dans les autres régions concernées.

Depuis 2018, la DDCM recense et assure le suivi des acquisitions des biens meubles de l’État, des collectivités territoriales, des Établissements publics nationaux (EPN) et des sociétés d’État. Elle veille également au contrôle des abonnements, garantissant une gestion rationnelle des dépenses publiques. Cette action s’inscrit dans une volonté de transparence et d’efficacité, visant à identifier, localiser et marquer les biens à l’aide d’un inventaire électronique ; recenser les compteurs d’eau et d’électricité dans les régions concernées ; vérifier l’état des installations et recenser les bénéficiaires des abonnements ; actualiser les bases de données pour une meilleure gestion des équipements et des dépenses énergétiques.

Grâce à cette initiative, les services publics concernés disposeront d’une cartographie précise des biens et abonnements, permettant ainsi d’éviter les dépenses superflues et de garantir une gestion optimale des ressources. 

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Abidjan, le mercredi 16 avril 2025(LDA)-La Banque centrale des États de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO) a annoncé la fin des mesures dérogatoires appliquées aux titres émis par l’État du Niger. Ces titres retrouvent désormais le même traitement comptable et prudentiel que ceux des autres pays membres de l’Union monétaire ouest-africaine (UMOA), informe APA dans une publication du mardi 15 avril 2025.

Dans un avis officiel (n°005-04-2025) daté du 3 avril 2025, la Banque centrale des États de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO) a levé la dérogation temporaire accordée en janvier 2024 au Niger. Celle-ci permettait aux établissements de crédit de considérer les titres publics nigériens comme des créances saines dans leurs bilans, malgré les incertitudes du contexte politique et économique de l’époque.

Instaurée par l’Avis n°002-01-2024 du 22 janvier 2024, cette mesure visait avant tout à préserver la stabilité du système bancaire régional, en évitant une dégradation des portefeuilles des banques exposées aux titres du Niger.

La levée de cette dérogation marque une étape importante dans le processus de normalisation des opérations financières de l’État nigérien sur le marché régional. Elle témoigne également d’une amélioration du climat de confiance autour des finances publiques du pays.

Désormais, les titres de dette du Niger sont à nouveau traités sur un pied d’égalité avec ceux des autres États de l’UMOA.

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Abidjan, lundi 14 avril 2025(LDA)-Après sept années d’actions en faveur du renforcement de l’éducation en Côte d’Ivoire, le programme Education Impact Fund (EIF)touche à sa fin. Pour marquer cette étape décisive, la Fondation Jacobs Stiftung et Comoé Capital ont organisé une cérémonie de clôture le mercredi 9 avril 2025, à la salle de conférence de la CGECI à Abidjan, indique une note d'information transmise à la rédaction. Plus de 150 acteurs de l’écosystème entrepreneurial, éducatif et financier étaient à cette cérémonie.

Un fonds pionnier au service de l’impact éducatif

Lancé en 2017, le fonds EIF, géré par Comoé Capital et initié en partenariat avec Investisseurs et Partenaires (I&P) et la Fondation Jacobs à travers le programme TRECC, est le premier fonds sectoriel exclusivement dédié à l’éducation en Côte d’Ivoire. Doté d’un capital de 900 000 euros, ce fonds d’impact a permis de financer et d’accompagner six petites et moyennes entreprises (PME) éducatives à travers des investissements en fonds propres, en prêts d’associés et en assistance technique.

L’objectif : soutenir l’innovation éducative locale et améliorer l’accès et la qualité de l’éducation pour les jeunes ivoiriens. En conjuguant capital investissement et accompagnement managérial, EIF a démontré qu’un modèle de financement ciblé, même à petite échelle, peut produire des impacts économiques et sociaux significatifs.

Une cérémonie pour partager les leçons d’une expérience réussie

À travers des panels, des témoignages d’entrepreneurs bénéficiaires et des rencontres B2B, la cérémonie a permis de valoriser les réalisations du programme, mais aussi de souligner les perspectives qu’il ouvre pour l’avenir du financement de l’éducation en Afrique.

Parmi les principales leçons :

• La faisabilité de fonds de private equity à impact dans un cadre réglementaire ivoirien,

• L’efficacité des tickets d’investissement modestes (entre 30K et 150K euros) pour les PME,

• Le rôle essentiel des femmes entrepreneures dans le secteur éducatif,

• L'entrepreneuriat comme moteur de création d’emplois et de richesse inclusive.

Un plaidoyer pour un engagement renforcé des investisseurs dans l’éducation

Cette clôture du programme EIF a aussi été l’occasion de mobiliser l’attention des bailleurs de fonds, partenaires institutionnels et investisseurs privés sur le potentiel du capital investissement comme levier pour transformer durablement l’éducation en Afrique.

« EIF a été plus qu’un simple fonds d’investissement : il a été un laboratoire d’idées, de pratiques et de résultats pour démontrer que les PME éducatives peuvent être des vecteurs puissants d’innovation et d’impact social », a souligné Sabina VIGANI, Directrice Pays de la Fondation Jacobs.

Des résultats concrets

• Le programme a permis d’enregistrer des résultats probants :

• 6 entreprises financées, dont 83 % dirigées par des femmes ;

• Plus de 100 emplois créés et maintenus, dont 82 % formalisés ;

• Une croissance moyenne annuelle de 61 % du chiffre d’affaires entre 2019 et 2023, soit

un CA multiplié par 3,2 ;

• Un taux de réussite de 100 % aux examens nationaux (BEPC, BT et CAP) en 2024 pour

les apprenants bénéficiaires ;

• 50 % des entreprises ont réalisé une sortie du capital ;

• 119% % des montants investis ont été récupérés sur les 5 années du fonds.

Ces chiffres témoignent de l’impact tangible du programme EIF et de la pertinence du modèle d’investissement patient et responsable au service de l’éducation.

 

 

 

 

 

 

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Abidjan, le dimanche 13 avril 2025(LDA)-Africa24 TV sur sa page Facebook annonce l'élection de Brice Clotaire Oligui Nguema, le candidat du Rassemblement des Bâtisseurs, élu président de la République avec 90,35% de voix, à l’issue du dépouillement des votes du scrutin organisé le 12 avril 2025.

Brice Clotaire Oligui Nguema a été ainsi choisi par ses concitoyens, devant sept autres candidats, pour diriger le Gabon les sept prochaines années, à l’issue d’un scrutin historique qui aura connu une mobilisation massive des gabonais avec un taux de participation de 70,4%. Au total, 920 mille électeurs ont participé à ce scrutin. 

Il faut noter que le Général Brice Clotaire Oligui Nguema était le président de la transition gabonaise, après son coup d'État de 30 août 2023, déposant Ali Bongo du pouvoir et mettant fin à plus de 50 ans de règne sans partage de la famille Bongo.  

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Abidjan, le vendredi 11 avril 2025(LDA)-L’Institut Pasteur de Côte d’Ivoire en collaboration avec le Réseau Pasteur Afrique organise deux importantes réunions de niveau international du 14 au 16 avril 2025, au Noom Hôtel, à Abidjan. 

La première réunion du 14 au 15 avril 2025, sur la surveillance des eaux usées aura pour thème : « Renforcement de la surveillance de la santé publique en Afrique : mise en place d’un réseau complet de laboratoires pour la surveillance des maladies infectieuses en Afrique et plus spécifiquement des maladies entériques ».

Elle vise la portée de l'analyse situationnelle, en assurant l'alignement entre les parties prenantes de dix instituts du réseau Pasteur à travers l'Afrique, à savoir l'Algérie, le Cameroun, la République centrafricaine (RCA), la Côte d'Ivoire, la Guinée, le Maroc, le Niger, le Sénégal, la Tunisie et Madagascar.

La seconde réunion du 15 au 16 avril 2025 porte sur le renforcement de la collaboration régionale et la surveillance de la santé publique pour un système de santé résilient en Afrique.

Il s’agira d’une part de mettre en place une feuille de route stratégique du réseau Afrique pour les cinq prochaines années, et d’autre part de renforcer les capacités institutionnelles et l’accès aux financements.

Le Pasteur Network est une alliance de plus de 30 instituts qui joue un rôle essentiel dans la réponse aux défis de santé mondiaux par la science, l’innovation et la santé publique. Le réseau se distingue par sa diversité et sa large couverture géographique, qui s’étend sur 25 pays sur les 5 continents, favorisant une communauté dynamique de connaissances et d’expertises. 

Les activités du Pasteur Network sont guidées par quatre piliers stratégiques : 

1) la veille et préparation aux épidémies, avec un accent sur les maladies sensibles au Climat, 

2) la recherche, le développement et l’innovation, 

3) les communautés de connaissances, 

4) la gouvernance et l’équité. 

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Abidjan, le jeudi 10 avril 2025 ( LDA)- La troisième édition du Sommet Africa Political Outlook, tenue récemment à Bruxelles, a marqué une étape majeure dans la redéfinition des relations internationales.

Sous le thème : « Nouveau Sud, Vieux Monde », le sommet a rassemblé pendant deux jours décideurs africains et européens autour des transformations profondes du système mondial.

Au cœur des débats, la montée en puissance de l’Afrique dans la gouvernance mondiale. Pour Moses Vilakati, Commissaire de l’Union africaine pour l’Agriculture et le Développement rural, représentant le nouveau Président de la Commission de l’UA, Mahamoud Ali Youssouf, l’Afrique ne se contente plus d’accompagner les mutations globales, elle en devient un acteur moteur, notamment dans les domaines de la sécurité alimentaire et de l’innovation agricole.

« « L’Afrique ne se contente pas de s’adapter aux transformations mondiales ; elle les façonne. », a-t-il declaré.

L’architecture financière internationale a été vivement critiquée. Rania Al-Mashat, la ministre égyptienne de la Planification, du Développement économique et de la Coopération internationale, a dénoncé le déséquilibre au sein du FMI, où les pays en développement, majoritaires en nombre, restent sous-représentés dans les décisions, soit 75 % des membres du FMI. Un appel fort a été lancé pour une véritable redistribution du pouvoir.

« Ce déséquilibre n’est pas une abstraction », a-t-elle affirmé. « Il faut dépasser les discours sur l’inclusion et instaurer un véritable partage du pouvoir. », a critiqué la diplomate égyptienne.

A ce sommet stratégique, l’Afrique a présenté ses priorités stratégiques à savoir : souveraineté alimentaire, transition énergétique, industrialisation verte.

Dans un contexte de profondes mutations du développement international, de nombreuses voix se sont élevées pour appeler à une refonte des relations entre le Nord et le Sud.

Papa Amadou Sarr, directeur des partenariats à l’Agence française de développement, a relevé l’urgence d’un nouveau cap.

« L’Europe doit désormais changer de paradigme : investir, investir, investir.», a-t-il fait savoir.

Les représentants de l’Union européenne ont, quant à eux, ont plaidé pour un dépassement du modèle traditionnel donateur-bénéficiaire en mettant en avant l’initiative Global Gateway. Ce programme ambitieux prévoit de mobiliser 150 milliards d’euros pour financer des infrastructures via des partenariats public-privé novateurs.

A en croire Younous Omarjee, vice-président du Parlement européen, la nécessité d’un regard renouvelé sur le continent africain s’impose.

« Il faut voir l’Afrique pour ce qu’elle est : un continent d’avenir, une puissance géopolitique en devenir, un acteur clé du XXIe siècle. Il est temps d’abandonner définitivement les prismes obsolètes de condescendance ou de paternalisme », a souligné M. Omarjee.

La rencontre a aussi mis en lumière le potentiel africain dans l’intelligence artificielle. Des initiatives locales montrent déjà des résultats prometteurs dans la santé, l’éducation et la gouvernance.

Enfin, le Prix Africa Political Outlook a récompensé trois personnalités pour leur impact en matière de gouvernance, de paix et de développement, illustrant la diversité des talents engagés pour un avenir africain ambitieux.

mc

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Abidjan, le jeudi 10 avril 2025( LDA)-L'Unité de formation et de recherche (UFR) Information, communication et art de l'Université Félix Houphouët-Boigny organise le Festival universitaire des arts et cultures d'Afrique et d'ailleurs du 9 au 12 avril 2025, au sein de ladite université, rapporte Top News Africa. Cette rencontre scientifique met en honneur la star internationale du reggae,Tiken Jah Facoly, sous la thématique : "Tiken Jah Facoly : une voix du reggae au service du développement durable en Afrique".

A la cérémonie d'ouverture, la conférence inaugurale a été dite par Dr Sidiki Bamba, sous le thème, "l'art et l'artiste au cœur du local et du global". 

Selon l'universitaire, Tiken Jah, de son vrai nom Doumbia Moussa, est un artiste dont l'influence dépasse les frontières de son pays et même celles du continent africain. 

"De par le genre musical qu'il pratique, qui est le reggae, et grâce à l'universalité des thématiques qu'il aborde : migration, climat, panafricanisme, corruption, souveraineté alimentaire, Tiken Jah est dans la globalisattion », soutient-il, expliquant que l'artiste renouvelle le message en intégrant des problématiques spécifiques du 20ème siècle. 

Tiken Jah est, de l'avis du conférencier, un artiste engagé. Ses chansons, a-t-il insisté, critiquent aussi bien les régimes politiques de son pays que ceux d'autres pays africains. D'où l'exil qu'il a connu. 

"Tiken Jah adopte une posture plus radicale et panafricaniste. Refusant tout compromis avec le pouvoir en place. Il cible un public plus militant, particulièrement sensible aux enjeux africains", a-t-il fait remarquer. 

A travers plusieurs conférences animées en présentiel et en ligne par des intervenants de différentes nationalités, l'œuvre de Tiken Jah sera soumise à la critique durant ce colloque. Il s'agit notamment de son héritage musical, ses actions sociales et environnementales, ses efforts pour le rapprochement des peuples. 

Tiken Jah, ce sont 28 ans de carrière 125 chansons pour 13 albums. Il s'est dit honoré par les travaux scientifiques en son honneur. 

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Abidjan, le mardi 8 avril 2025(LDA)-Amnesty International a publié son rapport 2024, selon un communiqué transmis à la rédaction ce mardi 8 avril 2025 sur l’utilisation judiciaire de la peine de mort pour la période allant de janvier à décembre 2024 à travers le monde. L’organisation dit avoir enregistré 1 518 exécutions en 2024, ce qui représente une augmentation de 32 % (365) par rapport aux 1 153 exécutions recensées en 2023.

Il s’agit du chiffre le plus élevé enregistré depuis le pic exceptionnel de 1 634 exécutions en 2015 (voir Graphique 2 du rapport), précisant que ses informations proviennent de différentes sources : données officielles, décisions de justice, renseignements fournis par les condamnés à mort et leurs familles ou représentants, informations parues dans les médias, et rapports d’autres organisations de la société civile (auquel cas la source est indiquée).

Dans ce rapport de 52 pages intitulé "Condamnations à mort et exécutions 2024", Amnesty International y fait état des exécutions, des condamnations à mort et d’autres aspects de l’utilisation de la peine de mort, notamment des commutations et des disculpations lorsqu’elles ont été raisonnablement confirmées. Il met égalament en lumière des progrès significatifs dans plusieurs pays vers l’abolition de la peine capitale, mais alerte également sur une augmentation préoccupante des exécutions dans certains États.

L’organisation souligne que, dans beaucoup de pays, le gouvernement s’abstient de publier des données sur l’application qu’il fait de la peine de mort. « En Chine et au Viêt-Nam, les chiffres relatifs à l’application de la peine de mort sont classés secret d’État. Pour l’année 2024, il n’existe que très peu d’informations, voire aucune, sur certains pays, en particulier le Bélarus, le Laos et la Corée du Nord, du fait de pratiques restrictives de la part de l’État. Par conséquent, pour un grand nombre de pays, les statistiques d’Amnesty International relatives à la peine de mort sont des données a minima. Les totaux fournis sont probablement en deçà de la réalité », fait-elle savoir.

Et d’ajouter : « La hausse a été principalement due à des augmentations dans trois pays : l’Arabie saoudite, l’Irak et l’Iran, où le nombre total d’exécutions est passé de 1 041 en 2023 à 1 380 en 2024. Ce chiffre représentait approximativement 91 % du total relevé pour le monde entier ». Sans manquer de préciser que les totaux relevés ne comprennent pas les milliers de personnes qui ont vraisemblablement été exécutées en Chine, qui est restée le pays au monde ayant procédé au plus grand nombre d’exécutions, ainsi qu’en Corée du Nord et au Viêt-Nam, deux pays qui ont probablement continué d’exécuter à un rythme soutenu, mais où l’accès à l’information est restreint. Et aussi une augmentation significative des exécutions par rapport à 2023 a également été enregistrée en Égypte, à Singapour et au Yémen, tandis qu'une légère baisse a été enregistrée en Somalie.

Cependant, Amnesty International a constaté des avancées importantes en faveur de l’abolition de la peine capitale dans plusieurs pays, notamment la Zambie a accédé au Deuxième Pacte international relatif aux droits civils et politiques, visant à abolir la peine de mort, et le Zimbabwe a aboli la peine capitale pour les crimes de droit commun. En outre, plus de deux tiers de l’ensemble des États membres des Nations unies ont voté en faveur de la 10e résolution de l’Assemblée générale qui préconise l’instauration d’un moratoire sur le recours à la peine de mort.

"En 2024, la peine de mort a continué d’être utilisée par plusieurs gouvernements pour exercer un contrôle sur la population et étouffer la dissidence, ciblant en particulier les défenseur·e·s des droits
humains, les manifestant·e·s, les dissident·e·s et les opposant·e·s politiques, et touchant de manière disproportionnée les personnes appartenant à des minorités ethniques ou religieuses et issues de
milieux socio-économiques défavorisés", a dénoncé Amnesty International, s’opposant catégoriquement à la peine de mort, en toutes circonstances.

 

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Le Chef Honorat Konan a été reconnu parmi les meilleurs chefs de 2025 dans le cadre du prestigieux classement Best of Gastronomie. Cette reconnaissance, attribuée par ses pairs et les experts du secteur, témoigne de son excellence culinaire et de son engagement sans faille pour l’évolution de la gastronomie africaine et internationale.

Depuis ses débuts, Chef Honorat Konan a su allier créativité, maîtrise des techniques culinaires et passion pour la culture de son pays. Son approche innovante de la cuisine fusion, qui marie subtilement les saveurs africaines et européennes, a marqué les esprits et fait briller son nom sur la scène mondiale.

Repousser les frontières de la gastronomie

Chef Konan n’a cessé de repousser les frontières de la gastronomie, avec des plats inédits qui sont devenus des signatures incontournables. Que ce soit à travers sa cuisine authentique, sa recherche constante de produits de qualité ou son respect des traditions tout en y ajoutant une touche moderne, il incarne l’avenir de la gastronomie.

Figure emblématique

Cette reconnaissance vient couronner des années de travail acharné, d’innovations et d’influence dans le monde culinaire. Le Chef Konan est désormais une figure emblématique de la cuisine moderne et du développement culinaire africain. Il incarne une nouvelle génération de chefs qui portent haut les couleurs de l’Afrique à travers le monde.

Hommage aux racines ivoiriennes

Le Chef Konan ne manque jamais de rendre hommage à ses racines ivoiriennes et à ses mentors, qui lui ont transmis leur savoir et leur passion. Il a su, avec humilité et talent, faire rayonner la richesse de la gastronomie africaine tout en l’intégrant harmonieusement dans un contexte mondial.

Avenir prometteur

Cette reconnaissance est un jalon important dans la carrière du Chef Honorat Konan, mais elle ne fait que marquer le début d'une aventure encore plus ambitieuse. Avec des projets à venir, des collaborations internationales et une vision toujours plus audacieuse, il continue à inspirer la génération future de chefs.

Chef Honarat Konan, désormais membre du Best of Gastronomie 2025, a prouvé que la cuisine est bien plus qu’un art, mais un véritable vecteur d’identité, de culture et d’innovation. Un exemple à suivre donc !

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